Labyrinthe De Salomon

completely every so often and slip over into a limbo of total re-creation, because we love our Culture so much. We try to remake it again and again, and look what we get! Although nothing is going to make me stop loving Mozart, Beethoven, and the Salomon Symphonies of Haydn, this insistence on Culture, and the relativization that it entails, forces Americans to live in a continual frustration of solutions that fall apart in their very hands, and a continual tension of "wanting to do something about"

trône, s'insinue jusque dans les derniers rangs du peuple. Quelques froides chroniques, quelques allégories mal comprises, des chants de vengeance et d'orgueil, des chansons de volupté, décorés des noms de Josué, de Ruth, de Samuel, de David, de Salomon, [XXXI] usurpent la place du Sépher. Moyse est négligé ; ses lois sont méconnues. Les dépositaires de ses secrets, investis par le luxe, en proie à toutes les tentations de l'avarice, vont oublier leurs serments. La Providence lève le bras sur

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bientôt, désabusé, sceptique. L’esprit de l’humanisme, que l’on peut bien appeler le génie de la Renaissance, proche de Dieu par son art et sa puissance créatrice exaltant l’homme universel, ne sera plus, sous la plume de Montaigne, qu’un « profond labyrinthe » dont la raison est bien vaine... La fin du siècle ouvre déjà sur un autre monde : fin de la Renaissance, préclassicisme, âge baroque, là encore les mots hésitent à formuler l’héritage ou la rupture, la continuité ou le divorce. La belle Renaissance

monnaie altérée, les mots dont ils abusent et qui les trompent ! (...) Les maximes sont à l’intelligence ce que les lois sont aux actions : elles n’éclairent pas, mais elles les guident, elles dirigent, elles sauvent aveuglément. C’est le fil dans le labyrinthe, la boussole pendant la nuit. JOUBERT Mais le trop grand recours aux citations peut avoir ses inconvénients comme ceux de cacher sa véritable pensée et d’habiller ses préjugés sous les écrits d’autrui, ou de manipuler les idées et les personnages

monnaie altérée, les mots dont ils abusent et qui les trompent ! (...) Les maximes sont à l’intelligence ce que les lois sont aux actions : elles n’éclairent pas, mais elles les guident, elles dirigent, elles sauvent aveuglément. C’est le fil dans le labyrinthe, la boussole pendant la nuit. JOUBERT Mais le trop grand recours aux citations peut avoir ses inconvénients comme ceux de cacher sa véritable pensée et d’habiller ses préjugés sous les écrits d’autrui, ou de manipuler les idées et les personnages

monnaie altérée, les mots dont ils abusent et qui les trompent ! (...) Les maximes sont à l’intelligence ce que les lois sont aux actions : elles n’éclairent pas, mais elles les guident, elles dirigent, elles sauvent aveuglément. C’est le fil dans le labyrinthe, la boussole pendant la nuit. JOUBERT Mais le trop grand recours aux citations peut avoir ses inconvénients comme ceux de cacher sa véritable pensée et d’habiller ses préjugés sous les écrits d’autrui, ou de manipuler les idées et les personnages

enslaved by their insatiable desires. From Les 120 journées de Sodome (1785) through the three versions of Justine (1787–99) to Les Prospérités du vice (1799), Sade’s obsessive fictions imprison his reader in a world of dark forests and subterranean labyrinths which have less to do with the Gothic than with the jails in which he spent a third of his life. They show none of the literary qualities of his tales and, in so far as they constitute a uniquely documented case-history, belong to medicine or law

voyage et études, Paris : Plon 1893, p. 242. 68 Le grand Bazar, […], couvre un immense espace de terrain, et forme comme une ville dans la ville, avec ses rues, ses ruelles, ses passages, ses carrefours, ses places, ses fontaines, inextricable labyrinthe où l’on a de la peine à se retrouver, même après plusieurs visites. Ce vaste espace est voûté, et le jour y tombe de ces petites coupoles dont j'ai parlé tout à l’heure, et qui mamelonnent le toit plat de l’édifice […] J’entrai par une arcade sans

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