Lac de Bienne

saint-Pierre au milieu du lac de Bienne en Suisse. La nature y est un élément important puisque c'est seulement grâce à elle que le calme et la détente de l'auteur va être possible que celui-ci va pouvoir être amené à rêver. Dans sa " cinquieme promenade ", Rousseau énumère les nombreux éléments de la nature. Au fur et à mesure qu'il se balade sur l'île, il décrit les paysages. Ainsi, il trouve un lac, puis s'assoit sur des réduits qu'il choisit parmi les plus riants et solitaires, ou bien sur les terrasses

De toutes les habitations où j'ai demeuré (et j'en ai eu de charmantes), aucune ne m'a rendu si véritablement heureux et ne m'a laissé de si tendres regrets que l'île de Saint-Pierre au milieu du lac de Bienne. Cette petite île qu'on appelle à Neuchâtel l'île de La Motte est bien peu connue, même en Suisse. Aucun voyageur, que je sache, n'en fait mention. Cependant elle est très agréable et singulièrement située pour le bonheur d'un homme qui aime à se circonscrire ; car quoique je sois peut-être

dernier : * Seul au monde, seul, peu fréquenté, solitaires, silence, chez nul autre, moins de ville et de maison, se circonscrire. Le nom du livre « Les rêveries du promeneur solitaire » le montre également. De plus, Rousseau parle bel et bien d’une île, qui par définition n’est pas rattaché à la terre, ce qui fait ressortir encore plus ce sentiment de solitude, d’éloignement de tout. Lorsque l’on pense à une île, l’image d’un Robinson perdu et seul nous vient immédiatement à l’esprit. Pas

aspects de la société. Ils servent aussi à faire l’éloge de la nature ou bien d’une personne. Ce texte est un récit autobiographique où l’auteur fait, à travers un point de vue omniscient, une rétrospection sur ses ballades près du lac de Bienne. Il y a un type descriptif car le texte est locatif, le lieu où le narrateur se trouve est fixé. C’est aussi un texte épidictique car il y fait l’éloge de ses ballades au bord du lac. A travers un point de vue subjectif, le narrateur arrive à nous communiquer

faisant un parallèle entre la ville et la campagne. L'auteur décrit la nature de cette île de manière laudative. L'auteur exprime clairement sa subjectivité en employant des comparatifs de supériorité : « Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève » (l 8-9). De cette façon, il compare ce lieu à un endroit presque merveilleux. L'auteur emploie également le champ lexical de la nature : « les rochers » (l 9); « les bois » (l 9); « l'eau » (l 9); « prairies »

plus heureux » de sa vie. Pour lui, tout passe par la nature. Il compare les rives du lac de Bienne à celles du lac de Genève. En les comparants, il vante les mérites de ce lieu considéré comme unique à ses yeux : « les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève, parce que les rochers et les bois y bordent l’eau de plus près ». La conjonction « parce que » nous montre bien le désir de persuader le lecteur. Il nous indique que c’est un lieu de charmes, ce qu’il

rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celle du lac de Genève […] mais elles ne sont pas moins riantes ». Il réfère une nature sauvage. On constate alors une opposition des deux rives par les mots « plus » et « moins ». Cela souligne le fait que la nature représente le refuge et le lieu protégé, dans lesquels il peut oublier la société et la réalité. Cette nature à qui il peut se confier. Il écrit de façon plus lyrique et mélioratif. Pour lui les rives du lac de Bienne sont romantiques

solitaires ainsi que les rares arbres tout au fond du tableau, mettent en valeur le teint « mat » du lac. De plus, l'arbre principal ici à droite (seul élément présentant un contraste chaud avec le reste de la peinture ) se fond complètement dans un décor assez minimaliste, et complète parfaitement la touche naturaliste que l'artiste cherche a faire percevoir dans son travail, grâce à une coordination très bien étudiée avec le thème principal de la rivière. Enfin, le ciel est un élément extrêmement important

ni aucun espoir sur ce qui l’attend. Les éléments de son identité est fournis par déduction grâce a ses pensée même -Les paroles sont rapportés au discours direct - C. Les lieux du roman -Ces lieux sont l’île Saint-Pierre au milieu du lac de Bienne -Ce roman a était écrit entre 1776 et 1778, il se situe dans la période du siècle des lumières, ce qui nous permet de le situer c'est que Rousseau et lui même un philosophe des lumières en raison du caractère révolutionnaire de ses idées.

quand on dit "tu perds ton temps", on entend généralement un gaspillage sans aucun profit. Le temps est alors considéré comme de l'argent qu'il faut investir et rentabiliser pour ne pas le gaspiller. On jugera alors que le temps employé à produire un bien ou un service, à apporter une amélioration et un enrichissement, n'est pas perdu. Ainsi, travailler à l'école permet de se constituer un capital de savoir et de compétence. De même travailler dans une profession permet de subvenir aux besoins et éventuellement