Lâcheté

la repousse. Inès deviendra donc méchante envers Garcin en lui soulignant sa lâcheté et en l’oppressant de son regard. Pour terminer avec Garcin, lui, n’en a guère affaire d’Estelle mais il va se rapprocher et lui faire croire qu’il a des sentiments pour elle afin d’ennuyer Inès. Il sera pris dans son ego par le rappel constant d’Inès sur sa lâcheté et fera en sorte que ses actes passent pour tout autre que pour lâcheté. Ce jeu entre eux nous montre à quel point l’avis du monde qui nous entoure est

Extrait du chapitre 5 de la partie 1 - Bel-Ami - Maupassant Annonce des axes I : Faiblesse du personnage et incapacité à résister II : Ironie du narrateur vis à vis du personnage Etude I- Portrait psychologique : la lâcheté A) Engrenage de la lâcheté En trois jours, on assiste à la « démission » de Bel-Ami et on peut étudier ses sentiments en différents moments : 1er moment : le soir même (l. 1 à 25) Stupéfaction (l.12) : « il demeura stupéfait » Il comprend (l.20) : « tout

le font t-il pas? Comment expliquer la minorité d'un si grand nombre d'Hommes, de la grande majorité des hommes? Selon Kant, la paresse et la lâcheté sont les causes de cette minorité intellectuelle. La paresse est la répugnance à l'effort: chez l'Homme, le goût de l'effort est une conquête, tandis que la paresse est une attitude spontanée. La lâcheté est le fait de se laisser dominer par sa peur, par opposition au courage qui est le fait de savoir surmonter sa peur. Un individu qui n'a pas peur

et l’allégorie de la misère dans Melancholia //le nez allongé : Cyrano de Bergerac, personnage de Rostand Refus d’être classé comme une caricature b) La révolte du poète : Contre lui-même : il s’accuse de lâcheté à deux reprises : « Il faut savoir jusqu’où je poussais la lâcheté », « ma lâcheté retrouvée », « mon héroïsme, quelle farce » Assimilation entre sa ville recouverte de boue et lui-même : « cette ville, ma face de boue », image dégradée du poète, marquée par la répétition du participe passé

prouve-t-elle pas que la conscience a une part d'ombre qu'elle souhaite cacher ? Finalement, l'homme ne se ment-il pas en croyant être grand grâce à l'appendice malhonnête que semble être la conscience ? La conscience ne fait-elle pas plutôt la lâcheté de l'homme, une lâcheté inassumée par la conscience et inconnue de l'homme lui-même ? Tout d'abord, force est de remarquer que la conscience est le propre de l'homme, qu'elle permet de le définir. L'essor de la conscience vient avec Descartes qui la place au

mais de sa lucidité qui pousse le héros à cette confession. Et cette lucidité, il l’exerce sur son propre caractère. Une composante essentielle de ce caractère se trouve être dans ce que l'on a trop rapidement interprété comme de la lâcheté : or, c’est une « lâcheté » d’un type très particulier. Malgré son désir d’être parfaitement honnête, Adolphe est incapable de dévoiler la véritable nature de ses sentiments pour Ellénore car il a peur de la faire souffrir. Paul Delbouille appelle cela sa « religion

Un roman d'une profonde noirceur qui met à nu les lâchetés de l'âme humaine Ce sera peut-être notre seule contribution à l'effervescence de la rentrée littéraire et de ses innombrables sorties qui s'empilent chez les libraires. Mais nous étions sortis frustrés de notre lecture précédente de Philippe Claudel : le Café de l'Excelsior; sa plume méritait donc une seconde chance : Le rapport de Brodeck. Bien sûr, on y retrouve les tournures savamment peaufinées qui nous avaient un peu agacés dans

Hippolyte. Elle déguise son aveu de manière à laisser penser qu'elle parle de son amour pour Thésée , tout en faisant comprendre en réalité à Hippolyte qu'elle parle bel et bien de lui , ce qui à mon sens témoigne d'une hypocrisie certaine et d'une lacheté puisqu'elle laisse Hippolyte comprendre et agit ensuite comme s'il était fou de penser qu'elle, sa belle mère , oserait même une seconde éprouver un tel amour pour lui. Ensuite, lorsqu'on apprend que Thesée n'est jamais mort et est toujours en vie

reconnaît simplement en entendant « des bruits d'armes », « j'ai peur » et, tout aussitôt, le dégoût que cela lui inspire : « Quel dégoût, après avoir méprisé les autres, de se sentir la même lâcheté dans l'âme. » Lui qui a méprisé pour leur lâcheté ceux qu'il a condamnés à mort, retrouve cette même lâcheté en lui, il ne vaut pas mieux. Derrière le justicier qu'il a voulu être vis-à-vis des autres, c'est l'humain qui se révèle avec toutes ses faiblesses, il n'est qu'un homme parmi les autres. Il

cet extrait Céline dénonce la misère psychologique de l’homme, qui est à tel point méprisable qu’il en devient inhumain. Ce qui nous envois logiquement sur l’impuissance de l’innocence (et donc du bien) face au mal. Il insiste également sur la lâcheté de l’homme, qui en effet s’avère être la seule issue pour survivre. STRUCTURE DU PASSAGE 1. Début-l.52 - « Elements-déclencheurs » 2. L.53-l.91 - « La scène » 3. L.92-Fin – « L’amour sordide » ANALYSE * Première partie :