Laforgue Salome

et de maquillage. L’omniprésence de la figure de Salomé interpelle également. On peut y voir un lien direct avec cette conception de la femme. Salomé est un personnage biblique présent dans l’Evangile de Saint Matthieu et de Saint Marc. Elle est la fille d’Hérodiade et exécute une danse de séduction devant le roi Hérodias. Complètement envoûté, celuici lui promet de lui accorder tout ce qu’elle lui demandera. Ne sachant pas quoi faire, Salomé s’en remet à sa mère qui lui demande la tête de Saint

Classe de seconde & première : le mythe de Salomé, 2 séquences Séquences proposées par Valérie Moulinot professeur au lycée Jeanne d'Arc. Public : Les séquences ont été mises en oeuvre auprès d'élèves de seconde d'un niveau tout-à-fait satisfaisant et très motivés, dont près de la moitié pratiquait l'option "musique lourde", et le tiers environ, l'option "arts plastiques".Elle peut être facilement transposable pour une classe de première L, dans le cadre de l'objet d'étude n°7 : les réécritures

Salomé: Selon l’historien juif Flavius Josèphe, Salomé, princesse juive morte vers 72 après J.-C., est la fille d’Hérodiade et la belle-fille d’Hérode Antipas (21 av. J.-C. env.-3 apr. J.-C.), tétrarque de Galilée et de Pérée, fils d’Hérode Ier le Grand (73 av. J.-C.-4 apr. J.-C.). Elle se marie deux fois, tout d’abord avec le tétrarque Hérode Philippe Ier (le demi-frère d’Hérode Antipas) puis avec Aristobule [le fils d’Hérode Agrippa II (27-env. 93), roi de Chalcis]. Il ne faut pas la confondre

Commentaire composé de Salomé, Alcools Introduction: Le poème Salomé se situe entre deux courts poèmes, l'Adieu et La porte, qui tous deux participent à la thématique de la séparation. Apollinaire y utilise le thème biblique de la danse de Salomé, figure machiavélique et intrument de la sensualité, et le transpose dans un univers fantaisiste. Ce texte évoque en fait la peine causée à l'auteur par Annie Playden, jeune gouvernante anglaise d'une famille allemande alors qu'il y est précepteur et

Exemple d’introduction L’histoire de Salomé, la jeune danseuse biblique voulant obtenir la tête de St Jean-Baptiste, est devenu un véritable mythe puisqu’il a inspiré de nombreux auteurs depuis des siècles tels que Wilde, Huysmans ou Appollinaire. En fonction des auteurs et des oeuvres, Salomé n’est pas représentée de la même manière. Flaubert, dans le recueil Trois Contes (1877) et plus précisément dans le dernier de ces contes Hérodias, décrit la danse de Salomé. I- Une princesse a. belle

l'art. B°) Salomé et Narcisse : modernité des mythes 1°) Salomé Episode de la Bible, présent explicitement dans le seul évangile de Mathieu, le mythe de Salomé connaît une multiplicité de traitements artistiques en amont du mouvement symboliste (comme chez Flaubert), dans l'accompagnement de sa genèse et de son affirmation (avec Mallarmé où Salomé prend le nom d'Hérodiade, ou chez Huysmans, Stuart Merril, Milosz, Pierre Louÿs, Oscar Wilde, Jules Laforgue, avec Moreau en peinture)

Dossier d'Histoire des Arts Salomé, variations sur une figure Gustave Moreau Joris-Karl Huysmans Sommaire Introduction 3 Variations sur un mythe : la figure de Salomé privilégiée à la fin du XIXème siècle 4 Les Écritures 4 Une nouvelle figure de prédilection 5 Salomé figure privilégiée de la femme fatale ou la Beauté sophistiquée 5 Gustave Moreau L'Apparition 7 Huysmans À rebours (extrait) 8 Transposition stylistique de l'aquarelle l'Apparition 9 La fidélité à la composition

Laforgue et le « genre complainte » Dans plusieurs dictionnaires récents, Trésor de la Langue Française ou Larousse Universel, l’article « complainte » mentionne comme exemples privilégiés, après Rutebeuf (« Que sont mes amis devenus... ») ou Fualdès («Ecoutez, peuples de France... »)[1], le recueil laforguien de 1885. Mieux, le T.L.F., après une définition du genre[2] comme « chanson populaire à déroulement généralement tragique, ayant pour thème un sujet pieux ou les faits et gestes

réalité supérieure à travers des images et des symboles. Très vite, Stéphane Mallarmé s’impose comme le chef de file du mouvement et ainsi réuni plusieurs artistes à la recherche d’un nouveau langage : Maurice Maeterlinck, Gustave Kahn, Jules Laforgue ou encore Claude Debussy. Ils formalisent leurs orientations dans le Figaro du 18 septembre 1886 en publiant l’article « un manifeste littéraire. Le symbolisme » écrit par Jean Moréas. 2) Les caractéristiques de ce mouvement L’œuvre

réécritures. On retient pour exemple la figure de Salomé pour laquelle on trouve très peu de choses dans la Bible et qui devient, notamment à la fin du XIXème siècle, une des figures mythiques les plus importantes de l'imaginaire collectif. Ce phénomène a été analysé par Mireille Dottin-Orsini qui observe le développement important de la misogynie au XIXème, période durant laquelle se développe notamment la figure de la femme fatale (rappel cours L1). Salomé est calibrée au top pour le rôle puisqu'elle