Laïcisme

sociologique car ils sont des témoins précieux de la vie quotidienne de l'époque (mœurs, superstitions populaires…). Les pénitentiels sont désordonnées et contradictoires car ils contiennent des tarifs différents pour des mêmes péchés. On note un laïcisme des pénitentiels récents car certains prévoient la sanction normale pour une faute mais certains pénitentiels pensent qu’il est possible d’avoir des sanctions plus douces. Du fait de ce très grand laxisme, les pénitentiels contredisent souvent la

sociologique car ils sont des témoins précieux de la vie quotidienne de l'époque (mœurs, superstitions populaires…). Les pénitentiels sont désordonnées et contradictoires car ils contiennent des tarifs différents pour des mêmes péchés. On note un laïcisme des pénitentiels récents car certains prévoient la sanction normale pour une faute mais certains pénitentiels pensent qu’il est possible d’avoir des sanctions plus douces. Du fait de ce très grand laxisme, les pénitentiels contredisent souvent la

dans une autonomie absolue et à s'affranchir de toute loi qui la dépasse. [C'est, mot pour mot, remarquons-le, "l'Homme de l'Impiété, l'hommesans-loi", ce monstre odieux, ce véritable suppôt de Satan, selon saint Paul.] «C'est dans un temps où le laïcisme semble découler normalement de la pensée moderne et représenter la sagesse dernière de l'ordre social temporel [...]. Un temps où l'on peut remarquer enfin, même dans les grandes religions qui se partagent des peuples de la terre [sic], des signes

spécialement des juristes qu’on appel des légistes (ceux qui connaissent les Leges romaines et peuvent donc utiliser le droit romain au profit du pouvoir politique). Cette affirmation incontestable de l’esprit laïc, au 14ème siècle, n’est pas synonyme de laïcisme : il n’y a pas l’idée de séparer l’église de l’Etat. Le roi de France, jusqu’à la Révolution, reste un personnage sacré et pour gouverner, il s’appui en partie sur l’église de France (théorie du Canicanisme). En ce qui concerne l’indépendance du

civil. Elles existent avant ou elles sont en germes. Ce qui change, c’est que la législation civile les consacre. Le législateur contemporain confirme le caractère laïc du lien matrimonial, sa nature contractuelle et son caractère public. I/ Le laïcisme Il apparaît dans la Constitution de 1791, titre 2 article 7, que « la loi ne considère le mariage que comme un contrat civil ». C’est une disposition de la révolution. On a évoqué le contexte politique troublé de la révolution, dans lequel pointe

l’empereur et compose de Defensor pacis en 1324. Il fait une théorie de l’indépendance du pvoir politique vis-à-vis de la papauté. On voit en lui la source du gallicanisme (indépendance à l’Eglise de France fac au pape), mais aussi un défenseur du laïcisme. Machiavel ne fait aucune référence au christianisme, c’est un païen car il fait référence à la religion des Romains, et dit que la religion fonde la concordia et le patriotisme (cf. Fustelle de Coulanges : La cité antique  dont la théorie sera reprise

de Khomeiny et l'émergence d'Internet. Les deux premiers ont un élément commun important : ils indiquent la fin de façons de penser en apparence opposées et, dans tous les cas, extrêmes. La chute de l'Union soviétique marque l'échec et le rejet du laïcisme extrême et de la vision mondiale matérialiste, alors que la mort de Khomeiny a mis un terme à la religiosité et à la théocratie exclusives. La vision à la fois séculière et religieuse unidimensionnelle de l'humanité, de la nature et du monde s'est

bourgeoisie en tant que classe dominante et injustement bénéficiaire des effets inégalitaires du capitalisme. Un autre thème, populaire dans les années '60 parmi certaines tendances du nationalisme socialiste, est celui de l'anti-cléricalisme ou du laïcisme. Ce thème fut affirme avec beaucoup de vigueur chez Parti pris. Il paraît virtuellement abandonné aujourd'hui, soit qu'on trouve qu'il n'ait plus d'objet -l'Église n'étant plus le pouvoir qu'elle fut naguère - soit qu'on craigne de froisser inutilement

l'impératif catégorique de la démocratie est une interférence extérieure, une forme d'aliénation qui porte atteinte à une identité nationale ou religieuse dont les principes ne seraient en communion ni avec l'égalitarisme démocratique ni avec son laïcisme intrinsèque. Toutefois, la démocratie est supérieure à la dictature du prolétariat, à la théocratie, au gouvernement des ayatollahs, à la monarchie absolue ou à la 72 VICTOR MASSUH présidence à vie. Parce qu'elle a surmonté les exclusions internes

de mettre en place les éléments d'un puzzle qui aurait permis la mobilisation de la classe moyenne, pièce maîtresse en vue d'une organisation démocratique de la vie politique. On le sait, la réaction a été brutale, sous couvert d'islamisme ou de laïcisme. Tous les réseaux qui se sont sentis menacés mobilisèrent leurs troupes, détruisant définitivement ce qui restait d'équilibre. On connaît la suite. Les Réformes ont subi les foudres du système qui, à ce jour, n'en finit pas d'en démanteler les derniers