Laideur La Fille Laide

Descente aux Enfers (catabase) et retour 4 Autres documents Quatrième de couverture Sur une île au large de Cherbourg, un vieil homme et une jeune fille vivent isolés, entourés de serviteurs et de gardes du corps, à l'abri de tout reflet ; en aucun cas Hazel ne doit voir son propre visage. Engagée pour soigner la jeune fille, Françoise, une infirmière, va découvrir pourquoi Hazel se résigne aux caresses du vieillard. Elle comprendra au prix de quelle implacable machination ce dernier

20) Bonne lecture Rsum (la pagination est celle du tome IV de la Pliade) I Paris, en juillet 1862, le peintre Claude Lantier, lun des fils de Gervaise (dj vu dans Le ventre de Paris), un jour de pluie violente, trouve en bas de chez lui une jeune fille venue de Clermont et perdue dans Paris, quil convainc de se rfugier chez lui. Au matin, dcouvrant sa beaut, la figure quil avait inutilement cherche pour son tableau (page 19), il la saisit dans un dessin alors quelle dort encore puis, son rveil

puis trouver parmi ces pâles roses Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Ce qu'il faut à ce cœur profond comme un abîme, C'est vous, Lady Macbeth, âme puissante au crime, Rêve d'Eschyle éclos au climat des autans ; Ou bien toi, grande Nuit, fille de Michel-Ange, Qui tors paisiblement dans une pose étrange Tes appas façonnés aux bouches des Titans ! Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, Ô Beauté ? ton regard infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le

l’imaginaire. - Les personnages du conte ont une absence totale des profondeurs. Ils ne sont pas bons et méchants à la fois comme nous le sommes tous dans la réalité. Chaque personnage est tout bon ou tout mauvais. Une sœur est belle et vertueuse, l’autre laide et cruelle; un frère est stupide, l’autre est intelligent. Les personnages sont des stéréotypes, ils sont avant tout au service de l’intrigue, au sein de laquelle chacun occupe une fonction bien précise. Ainsi, ils n’ont ni épaisseur psychologique

en commun un magnifique dauphin d’or, qu’ils prétendaient n’adjuger qu’à la plus belle. Ils allaient donc par le monde cherchant et quêtant cette beauté, et après avoir successivement rejeté la reine de Golconde, la princesse de Trébizonde, la fille du Grand-Khan de Tartarie, etc., etc., Labour et Clergé, Noblesse et Marchandise étaient venus se reposer sur la table de marbre du Palais de Justice, en débitant devant l’honnête auditoire autant de sentences et de maximes qu’on en pouvait alors

la déesse Aphrodite qui représente la réalisation du plaisir physique. Le mythe choisit en annexe 1 celui d’Eros et Psyché aborde plusieurs aspects du thème de l’amour et rend bien compte des comportements humains à son égard. Psyché, jeune fille d’une beauté extrême et possédant toutes les vertus est la figure allégorique de l’âme. Eros tient lui aussi une place symbolique dans ce mythe voire allégorique : il est l’objet de l’errance de l’âme (que symbolise Psyché) sans cesse à la recherche

bé, pé Toine ? Il répondait invariablement : – Un brûlot, mon gendre, ça chauffe la tripe et ça nettoie la tête ; y a rien de meilleur pour le corps. Il avait aussi cette coutume d’appeler tout le monde « mon gendre », bien qu’il n’eût jamais eu de fille mariée ou à marier. Ah ! oui, on le connaissait Toine Brûlot, le 6 plus gros homme du canton, et même de l’arrondissement. Sa petite maison semblait dérisoirement trop étroite et trop basse pour le contenir, et quand on le voyait debout sur sa

souffrance, souffrance de poète. -Refus de l'hypocrisie. Il refuse le mensonge, le paraître (chap 18,p.131). Ce refus n'est qu'un refus de complète destruction. 3) Un art poétique a)Association entre douleur et laideur Cohen entend fournir une description réaliste de la douleur dans ses manifestation mais aussi dans la mort (chap 16, p.126 et chap 18, p. 129). Aucune sublimation poétique comme avec Lamartine. b)Le choix de la prose lyrique C'est une

en commun un magnifique dauphin d'or, qu'ils prétendaient n'adjuger qu'à la plus belle. Ils allaient donc par le monde cherchant et quêtant cette beauté, et après avoir successivement rejeté la reine de Golconde, la princesse de Trébizonde, la fille du Grand-Khan de Tartarie, etc., etc., Labour et Clergé, Noblesse et Marchandise étaient venus se reposer sur la table de marbre du Palais de Justice, en débitant devant l'honnête auditoire autant de sentences et de maximes qu'on en pouvait alors

intervention au colloque de Loches sur le thème, « Avant-garde et Nouveau Roman » in La Quinzaine littéraire, n° 102, du 16 au 30 Septembre 1970, p. 10, 11 et 12 18 Portrait d’un inconnu rapporte la vie d’un couple formé par un vieil homme et sa fille; ces deux êtres évoluent parmi les bassesses et la médiocrité dont est empreint le quotidien, sous le regard scrutateur d’un narrateur. Dans Le planétarium, nous observons un jeune ménage : Alain et Gisèle Guimier, victimes de leur attirance pour les