Lale Andersen

his position of CEO by providing fake evaluations. Question 5: Stakeholders who suffered of the Enron bankruptcy The stakeholders that suffered from Enron’s collapsed were: its employees, creditors, shareholders and the auditing company Arthur Andersen. * Employees: They were certainly the ones who suffered the most. Indeed, 25,000 employees have been fired with a very low severance pay of only $4,500 no matter how many years that had been in the company for. In addition, they suffered from

chaque entreprise. Il est donc nécessaire que l’information publiée offre de solides garantis quant à sa fiabilité en vue de prévenir des préjudices majeurs, à l’instar des récents scandales financiers, qui ont notamment mis en cause la société Arthur Andersen dans l’affaire Enron, puis jeté un doute quant à l’efficacité des auditeurs à répondre à leur mission initiale : vérifier si les comptes fournis par l’entreprise sont conformes à la réalité de l’entreprise. En France et parallèlement à la loi Sarbanes-Orley

spéculative qui affecte les valeurs technologiques, c'est-à-dire les secteurs liés à l’informatique et aux télécommunications sur les marchés d’actions.) Éclatera en 2000-2001, les bilans économiques d’Enron seront directement touchés. Le cabinet Arthur Andersen s’empresse de valider chaque année les manipulations sur les profits, alors que l’entreprise Enron se surendette , en vue de profits abusivement gonflés. On peut voir que l’action de l’entreprise Enron en août 2000 est à 90 dollars, c’est à ce

Louis-Michel BÉDARD Marie-Claude PERRON Sciences comptables SCO-343-10 Gr.71 Travail de session Le scandale Enron-Andersen Travail remis à Madame Janie BÉRUBÉ Certification : sujets avancés Département d’administration Université du Québec à Rimouski Campus Lévis 25 mars 2014 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION La profession comptable a beaucoup évolué au fil des années. Aujourd’hui, il existe des ordres professionnels à travers le monde avec comme mission d’assurer, de

normes professionnelles proposent un cadre très formalisé pour l’évaluation du risque et sont généralement à la base des méthodologies retenues par les grandes firmes d’audit, aujourd’hui communément appelées, depuis la disparition du cabinet Arthur Andersen et sa fusion avec Ernst & Young en France, « FAT FOUR » (Ernst&Young, Pricewaterhouse-coopers, KPMG France, Deloitte Touche Tohmatsu). Selon ces normes professionnelles (le SAS 47 pour l’AICPA et la norme 2-301 pour la CNCC), le risque d’audit

La profession a été durement touchée par de grandes affaires, la confiance accordée à l’auditeur semble s’être beaucoup altérée, surtout après les affaires Enron et Worldcom, qui ont abouti à la disparition d’un des Big five à l’époque, Arthur Andersen, et qui à ont conduit les régulateurs à renforcer de manière drastique leurs exigences en matière de certification et d'indépendance des cabinets ; on a assisté par exemple à l’apparition aux Etats Unis et la loi de 2002 sur la réforme de la comptabilité

étaient au nombre de huit au début des années 1980 et étaient par conséquent désignés dans le monde entier sous l'expression Big Eight : Arthur Andersen, Arthur Young, Coopers & Lybrand, Deloitte Haskins & Sells, Ernst & Whinney, Peat Marwick Mitchell, Price Waterhouse, Touche Ross. A la suite de fusions commencées en 1989 puis de la disparition d'Arthur Andersen à la suite du scandale Enron (2002), ils devinrent les Big Four, dès lors Qualifiés de Fat Four : Deloitte & Touche, Ernst et Young, KPMG, PriceWaterhouseCooper

prend ensuite de plus graves tournures lorsqu’à la sortie de prison de Milken, Lay s’y associe de nouveau mais cette fois-ci pour s’enrichir à des fins plus personnelles. Des pratiques comptables douteuses de la part de l’expert comptable Arthur Andersen témoignèrent aussi de la tombée d’Enron. En dissimulant les dettes et en augmentant les actifs, les dirigeants des paradis fiscaux remplissaient leur portefeuille. D’autres acteurs seraient entrés en jeu dont quelques analystes financiers. Ceux-ci

Riadh Manita 192 Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 41.105.89.20 - 12/04/2013 23h38. © AIMS 2. La taille du cabinet d’audit était considérée à la fois comme indicateur de compétence et indépendance et pourtant le cabinet Arthur Andersen a fait faillite suite à l’affaire Enron. 3. Batam une société de grande distribution très renommée localement, notamment en électroménager, et cotée à la bourse de Tunis. Cette société a fait faillite sans aucune alerte de la part du commissaire

les sources privées qui, quant a elles, fournissent des informations intéressantes mais peu opérationnelles. Elles doivent donc être exploitées avec prudence et complétées par des études plus approfondies. Les cabinets d’étude : IFOP, Arthur Andersen … Mettent parfois en ligne des notes de synthèse, des informations sur les possibilités d’investissement et plus rarement des études de marchés. Les banques et sociétés de la bourse Publient des notes de conjoncture, des analyses de marchés et des