L'amour est dans le pré

Les romantiques luttent contre la froideur des siècles précédents, ils s’opposent à la tradition Classique et au rationalisme des lumières. Les précurseurs du romantisme sont deux le premier est Jean-Jacques Rousseau, qui ouvre le pré- Romantisme français puisqu'il a été le premier à écrire sur Soi. Par exemple  « Les Confessions » (rédigées entre 1765 et 1770, avec publication posthume en 1782 et 1789) et « Les Rêveries du promeneur solitaire » (écrites en 1776-1778, publiées en

est exprimée au vers 22. Elégamment, Marot ne réclame pas de l'argent, mais un moyen pour être heureux. 3. Le pouvoir du Roi Celui-ci est défini par sa richesse (v. 6). Au vers 5, un compliment de circonstance réunit Marot et François Ier dans l'amour de la poésie, même si le roi est déjà beaucoup sollicité (v. 6). Particulièrement divertissante, l'épître doit faire la démonstration du talent du poète pour lui valoir une récompense. II. La virtuosité du poète Pour montrer son savoir-faire

qu’elle se maintient au cours de ses répétitions). Ces schèmes d’action (entre 0 et 2 ans) vont devenir des schèmes mentaux (après 2 ans). Il y a 4 stades de l'intelligence de l'enfant selon Piaget : Intelligence sensori-motrice (0-2ans) Intelligence pré opératoire (2-6ans) Intelligence opératoire concrète (6-12ans) Intelligence opératoire formelle (à partir de 12ans) Intelligence sensori-motrice, 6 sous stades :

beau, le juste et le vraie sont des catégories pérennes, qui durent, qui restent, chaque terme a une seule définition et la sagesse consiste à vivre en osmose avec la nature. On appelle ce monde, le monde prémoderne. C. Les caractéristiques de la pré modernité : l’ordre est la fin de toute chose 1. L’ordre est le référent absolu pour les Anciens Ce qui est ordonné selon la nature est juste, est bon. Chaque chose a une place et chaque chose doit être à sa place. Ceci est valable pour les hommes

de LF qui composent le livre XII sont des oeuvres qui illustre la maturité du poète. Ainsi dans l’amour et la folie = pas d’animaux, pas d’être vivant Mais des dieux et allégorie. La fable garde sa dimension d’apologue cependant originalité car => enseignement de l’auteur précède le récit + pt de vue neutre de l’auteur. On se demandera pk LF s’est inspiré de la mythologie pour montrer sa vision de l’amour comme folie. On étudiera la fable d’abord comme apologue allégorique ; puis comme divertissement

serait une grave atteinte aux lois de la fiction et aux exigences de la critique litte raire bien franc aise, comme le rappelle avec une bonne dose d'humour force Je ro me Garcin dans le Nouvel Observateur date du 23 aoït: é Le he ros et narrateur se pre nomme Michel et il a la quarantaine. (C'est donc l'auteur, s'e crieront ses contempteurs avec la stupide jubilation des gagnants de "Qui veut gagner des millions?").ê Michel, le narrateur donc, un fonctionnaire quadrage naire, apprend l'assassinat de

Aussitôt dit, aussitôt fait. Ils s’en retournent chez eux. Le paysan entre dans l’étable, prend la vache par sa longe[3] et va l’offrir au prêtre. Celui-ci était habile, et rusé. Il écoute. « Beau Sire[4], dit le paysan, les mains jointes, pour l’amour de Dieu je vous donne Blérain.[5] » Il lui met dans les mains la longe de la vache et il lui jure que maintenant sa femme et lui ne possèdent plus rien du tout. « Ami, tu viens d’agir comme un sage, dit le curé Dom Constant qui ne pense jamais qu’à

Les dieux pré-olympiens, Œdipe et Agamemnon Les dieux pré-olympiens sont nés du chaos qui n’est pas un dieu mais une immensité vide d’où sont sortis l’Erèbe (partie la plus profonde des enfers), Nyx (la nuit), Gaia (la terre) et Eros (l’amour). Gaia engendre alors Ouranos personnification du Ciel et en s’unissant avec lui elle devient la mère des Titans(les 6 géants de chaque sexe qui sont les enfants de Gaia) des Titanides, des Cyclopes (géant à un œil enfermés aux Enfers) et des Hécatonchires

son tour et dit » Multiplication des causes de son geste : « la faim, l’occasion, l’herbe tendre »  énumération Idée de tentation  « quelques diables me poussant » antéposition du C.C.Lieu : « En un pré de Moine passant »  idée de culpabilité divine petitesse du forfait  « je tondis de ce pré la largeur de ma langue » absence de maitrise du langage : «  je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net »  jugement expéditif sur un seul ver, immédiatement après le discours de l’âne. Le « on »

du poète G Apollinaire. Célébration du charme ambigu de l’automne (beauté de la saison + évocation de la mort ). Dans le texte, cette ambiguïté est signifiée par une fleur : le colchique.. Tous les grands thème lyriques figurent dans le poème : l’amour, la mort, la fuite du temps, la nature. Nous étudierons d’abord quels sont les éléments réalistes qu’Apollinaire introduit de façon inhabituelle dans un poème lyrique Nous verrons ensuite que d’autres éléments, au contraire, ont une signification