Lancer du javelot

les bras deux grosses miches, qui avaient dû tomber dans le feu à en juger par leur croûte noircie. — Jette-les donc au cochon, crétin ! a hurlé sa mère. À qui veux-tu qu'on vende du pain brûlé ? Il a arraché quelques morceaux calcinés, qu'il a lancés dans l'enclos. Puis le carillon de la porte d'entrée a tinté, et la mère a disparu pour servir un client. Le garçon ne m'a pas accordé un regard. Moi, en revanche, je l'observais. À cause du pain, à cause de la marque rouge sur sa pommette. Avec quoi

dans les bras deux grosses miches, qui avaient dû tomber dans le feu à en juger par leur croûte noircie. — Jette-les donc au cochon, crétin ! a hurlé sa mère. À qui veux-tu qu’on vende du pain brûlé ? Il a arraché quelques morceaux calcinés, qu’il a lancés dans l’enclos. Puis le carillon de la porte d’entrée a tinté, et la mère a disparu pour servir un client. Le garçon ne m’a pas accordé un regard. Moi, en revanche, je l’observais. À cause du pain, à cause de la marque rouge sur sa pommette. Avec quoi

à corolle rouge. Hyacinthe Hyacinthe vient de mourir. Quel malheur ! Quelle tristesse! Apollon l'aimait. Mais le vent d'Ouest aimait aussi Hyacinthe et il était jaloux d' Apollon. Alors, un jour qu' Apollon et Hyacinthe s'amusaient ensemble à lancer le disque, le vent d'Ouest adonné un grand coup, comme il sait le faire. Il a saisi au vol le lourd disque de bronze et l'a violemment abattu sur la tête de Hyacinthe. Et le beau Hyacinthe gît là, tout ensanglanté. Mort. Apollon est au désespoir.

évènements Si A et B sont deux évènements, l’évènement (A et B) est l’évènement qui se réalise lorsque A et B ont lieu tous les deux simultanément.L’évènement (A et B) se note aussi (AB) et on parle de l’intersection de A et de B. Exemple Lors du lancer d’un dé à six faces non truqué, on appelle A l’évènement « obtenir un nombre impair » et B l’évènement « obtenir un nombre strictement plus grand que 2 ».L’évènement A est réalisé si on obtient l’une des faces 1 , 3 , 5. On note A={1 ;3 ;5}L’évènement

pour former une phalange, on peut se mettre d’accord avant la bataille pour choisir le lieu de la bataille, il faut un terrain plat et sans obstacles, au signal on part au pas de charge en restant groupé, les combats des deux premiers rangs chargent lances baissées en premier, les autres relèvent la lance, ils courent, le choc est très violent et après le choc on jette la lance brisée et on utilise l’épée, souvent les plus courageux sont derrières car les 1er rangs peuvent mourir étouffer, derrière

interlocuteur, le comte Withur, lui parle d’un monstre qui ravage l’est de l’île. Ce monstre fait des dégâts considérables dans les troupeaux et s’attaque même aux enfants. Withur et ses guerriers s’étaient attaqué à lui, armés d’arcs de flèches et de javelots, sans succès. La légende se greffe toujours autour de la vie des grands Saints. Comme le fera plus tard St François, Pol après avoir prié et jeûné, s’avance seul et sans armes vers le monstre marin. Celui-ci se redresse, fait entendre d’horribles

langues paumotu et au festival des langues mangaréviennes; il a également créé une classe de orero (art oratoire) au sein du Conservatoire territorial; il soutient également le Heiva (activités traditionnelles telles les spectacles de danse, le lancer du javelot, le lever de pierre, les courses de pirogues ou encore le tir à l'arc). En 1986, le gouvernement de la Polynésie française créait un Service de la traduction et de l'interprétariat afin de pouvoir utiliser les langues locales (Arrêté no 1266

qualification. Les espaces apparaissent définis, sont équivoques pour un seul type d’usage (terrain de football, vélodrome, parcours de golf, …). Structurés pour une pratique définie, ils peuvent être parfois le théâtre d’usage plus ou moins déviant (lancer de javelot sur un terrain de football, …) Leur requalification est d’autant plus difficile que leur niveau de structuration est élevé. L’exemple des piscines conçues pour des usages sportifs normalisés est d’autant plus éloquent qu’il montre les limites

avait aperçu la veille. Il lui fallut une demi-heure de recherches pour enfin les localiser dans une clairière éclairée par les rayons du soleil, ce qui laissait penser qu’il faisait beau temps à l’extérieur de cette prison de verdure. Il voulut se lancer sur le flanc gauche du troupeau, mais il remarqua une petite troupe de chasseurs verts. Susvalka commença à les compter. Il y en avait quinze. Ce qui signifiait que le camp n’était pas très loin. Il était préférable de chercher un autre troupeau de

A Moulvoudaye, dernier haut lieu du pouvoir forgeron, on trouve un autre mythe de refoulement. Les autochtones Gamgué cohabitent avec les Voula, nouveaux venus arrivant de l’est du Logone (Vouloum). Un jour, les jeunes gens s’amusaient à se lancer des javelots en bois, lestés de boules d’argile cuite. Dans une des versions locales du mythe, il s’agissait, en fait, d’une ordalie. Un Voula fut tué. Les Gamgué, effrayés, « ramassèrent de leur terre dans leurs mains » et s’enfuirent à Illi. Un mythe identique