Langage Et Parenté Claude Levi Strauss

Exposé Yamella & Eva : Séance 7 (12 - 16 novembre) Thème et cours : Le langage du corps Exposé 2 : MAUSS Marcel, 1997 [1950], Sociologie et anthropologie, Paris, PUF-Quadrige, « Les techniques du corps », pp. 363-386. LE BRETON David, 2008, « Entre signature et biffure : du tatouage et du piercing aux scarifications », Sociétés & Représentations, n° 25, pp. 119-133. Introduction Le langage du corps est un langage universel qui dispose d'un « vocabulaire » très varié. Tout le monde le

il lui faut des obligations. Certaines sont universelles comme la prohibition du meurtre entre les membres du groupe ou la prohibition de l’inceste au sens large d’une interdiction de certaines femmes comme Claude Lévi-Strauss (né en 1908) l’a montré dans Les structures élémentaires de la parenté (1949). Dès lors, il paraît nécessaire de changer nos désirs lorsqu’il porte sur les interdits sociaux. Toutefois, on pourrait arguer avec le sophiste Thrasymaque du livre I de La République de Platon que

transplantation : pas info ou besoin d’$$_ des pauvres du Sud aux supérieurs du Nord _ marchandisation des organes = biens de consommation avec valeur et prix = fétichisme de la marchandise SchneiderDavid Schneider (1918-1995)3 : parentéProf à Chicago _ parenté n’existe pas car expériences trop diverses _ trop importance aux liens de sang = conception occidentale SimoneAbdoumaliq Simone1 : qu’est-ce qu’anthropo ?_ erreur de surinterprétation : villes divisées, structures d’inégalités = oxymores qui perdent

Habermas Jürgen 42 Habitus Voir aussi « Habitus clivé » 42 Habitus clivé 43 Hall Stuart 43 Hawthorne (effet) (sociologie du travail et sociologie des organisations) 44 Hégémonie (selon Gramsci) 45 Les Héritiers (ouvrage de Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron) 46 Herméneutique 46 Hexis corporelle (nom généralement considéré comme féminin) 46 Holisme 47 Homo œconomicus 48 Homo sociologicus intentionnel 48 Homogamie 48 Homophilie 48 Hovland Carl (psychologie des médias de masse, de la propagande

constitue le langage. Lanalyse de la base du contexte communicationnel a mené à lapparition de la critique stylistique (des figures et des tropes) et de la critique sémiotique et sémiologique (analyse des codes symboliques, de la forme signifiante, etc.) 3. la critique formaliste, structuraliste qui envisage lœuvre comme système, ensemble, « organisme », structure, modèle constitué dun ensemble de relations, fonctions, niveaux, structures, combinaisons (représentants : Roland Barthes, Claude Bremond

certains concepts fondamentaux (distinction entre langage, langue et parole, entre synchronie et diachronie, caractère arbitraire du signe linguistique, etc.) qui inspireront non seulement la linguistique ultérieure mais aussi d'autres secteurs des sciences humaines comme l'ethnologie, l'analyse littéraire, la philosophie et la psychanalyse lacanienne. Sommaire * 1 Biographie * 2 Travaux * 2.1 Les sources * 2.2 Définition du concept de langage * 2.3 Diachronie et synchronie *

crédits théories anthropologiques cM 21h unité de l’homme et diversité des cultures cM 21h lectures complémentaires td 21h enquête ethnologique td 21h Au choix : Complément de majeure 10 crédits domaines et pratiques de l’anthropologie cM 21h corps et langage cM 21h analyse des pratiques td 21h ou Majeure B 10 crédits une Majeure au choix parmi : •Géographie et Aménagement •Science politique •Compétence en langue anglaise •Espagnol UE Transversale 10 crédits période d’intégration tice (td) langue cleS

significative. 11. 4. 2. Arbitraire et motivation en linguistique. 11. 4. 3. Arbitraire et motivation en sémiologie. II. 5. La Valeur. 11. 5.1. La valeur en linguistique. 11. 5. 2. L'articulation. III. SYNTAGME ET SYSTÈME III. 1. Les deux axes du langage. III. 1.1. Rapports syntagmatiques et associatifs en linguistique. III. 1.2. Métaphore et Métonymie chez Jakobson. III. 1.3. Perspectives sémiologiques. 111. 2. Le syntagme. 111. 2.1. Syntagme et Parole. 111. 2. 2. Le discontinu. 111. 2. 3. L'épreuve

[…] sont toujours sciences d’un homme agissant, capable de se représenter ses agissements », précise Jean-Claude Passeron [1999, p. 6]. La double séparation nature/culture et animalité/humanité a longtemps été considérée (et est encore largement, au moins implicitement, considérée) comme un repérage de base pour l’ouverture du champ propre des sciences sociales. Écoutons Claude Lévi-Strauss : « La distinction entre état de nature et état de société, à défaut d’une signification historique acceptable

fond, ces deux définitions qui semblent s’opposer, partent du même postulat selon lequel l’art appartient à l’espace occidental, c’est-à-dire à un mode de pensée spécifique. En effet, l’esthétique primitiviste, bien qu’affirmant l’universalité du langage artistique ne voit pas réellement l’existence d’un art dans les sociétés dites primitives qui serait fonction du mode de pensée desdites sociétés. Autrement dit, si ces sociétés connaissent de l’art, si elles produisent des œuvres d’art, celles-