Langues amérindiennes

ils ont porté un jugement de valeur sur leur mode de vie et sur leur organisation, en les considérant comme de pauvres : « sauvages » ou bien « des êtres primitifs ». Les colonisateurs européens ont ainsi imposé leur culture et leur religion aux amérindiens, comme si c’était eux qui venaient de découvrir cette nouvelle terre alors qu’elle y était habitée par le peuple autochtone depuis fort longtemps. De plus, les caractéristiques biologiques qui sont la source de l’intolérance sont poussées assez

inquiétantes. En 2000, 211 millions de Latino-américains vivaient sous le seuil de pauvreté[2], soit environ 40 % de la population. Haïti est un cas extrême de pauvreté endémique. - Les populations amérindiennes et afro-américaines souffrent davantage de la pauvreté. Au Brésil, 25,3 % des Amérindiens ne savent ni lire ni écrire ; 18,3 % des Afro-descendants alors que 8,1 % des Blancs sont dans ce cas. Le taux d’alphabétisation est encore inférieur chez les ruraux et les inégalités hommes-femmes sont

Selon Consensus Canada, plus d'un million d'individus s'identifiaient comme amérindiens au Canada en 2006. Parmi ceux-ci, 698 025 se classaient en tant que « premières nations » 389,785 se proclamaient métisses et 50,485 Inuit. En Ontario, 242,490 personnes s'identifient comme Aborigènes (Statistiques Canada, 2006). Ce travail de recherche tentera de répondre à la question « Pourquoi est-ce que les populations aborigènes du Canada sont marginalisées et ont des problèmes de dépendance ? » Des cultures

Québec, au 19éme siècle, la majorité des peuples Québécois étaient des francophones. Les anglophones et les Amérindiens constituaient la minorité de ces peuples. Bien qu’ils soient tous les deux des peuples minoritaires, il y avait une différence majeure: les anglophones se retrouvaient au sommet de la hiérarchie sociale. Dans le roman Le Bras Coupé par Bernard Assiniwi publié en 2008, un amérindien nommé Mendam, à été injustement puni en se faisant couper le bras droit par les anglophones. Il se retrouve

l’album à partir des illustrations (montrer comment les illustrations symboliques sont essentielles à la compréhension de l’histoire). -En histoire–géographie : Comparer l’environnent, les rituels des amérindiens du nord et ceux de Guyane, représenter sur un planisphère quelques groupes amérindiens -En arts visuels : Réaliser des œuvres en associant des collages et des dessins. -En sciences : Travailler la notion de cycle -Lectures en réseau : Le réseau des personnages (le guérisseur) le réseau

feuilles, vient de l'espagnol tabaco, lui-même emprunté à un mot arawak désignant une sorte de pipe, un instrument à deux tuyaux. Il est attesté sous sa forme espagnole depuis la première moitié du XVIème siècle. Les Arawak, ensemble de peuplades amérindiennes des Antilles et d'Amazonie, possédaient donc probablement un autre mot pour désigner la plante que nous appelons tabac (digo selon l'archeologue Benoît Bérard) ; ce mot est apparu en espagnol par glissement sémantique, le contenant (pipe, instrument)

Le débat sur l'origine et la date de l'arrivée des Amérindiens en Amérique du Nord n'est pas clos. Les découvertes archéologiques indiquent que l'est des États-Unis est habité depuis plus de 12 000 ans, alors que l'arrivée des premiers habitants du continent remonterait à plus de 30 000 ans. La découverte en 1996 de l'Homme de Kennewick (dans l'État de Washington) d'origine « caucasienne » et daté de 9 700 ans, ainsi que les restes d'un homme, en partie momifié, également de type caucasien retrouvé

historique : «Les peuples d'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres.» Comme les Européens ont exterminé les Amérindiens, il a fallut importer une main d’œuvre d'Afrique réduite en esclavage. «[...] ils ont dû ...» dénonce une nécessité impérative de remplacer une main d’œuvre indienne par une main d’œuvre africaine réduite en esclavage. Pour justifier le génocide amérindien, ils ont fait venir les noirs pour «[...] défraîchir tant de terres ...». - Le second paragraphe parle d'argument

par d'importants équipements : les États-Unis ont une capacité hôtelière équivalente au quart de la capacité de tout le continent africain. Par ailleurs, l'histoire des États-Unis est récente, pourtant il existe de nombreux sites archéologiques amérindiens : les plus importants sont le Chaco Canyon et Mesa Verde laissés par la culture Anasazi. Les villes de la Nouvelle-Angleterre offrent également un patrimoine architectural des XVIIe et XVIIIe siècles. La Louisiane est réputée pour ses maisons coloniales

surprenante qui va au-delà de la simple reproduction de technologies et institutions. En ce sens les Incas n'ont pas copié, mais ont profité de ce qui était appris pour l'améliorer et se renforcer.  AZTEQUES. Les aztéques était un peuple amérindiens basé principalement au méxique. L'empire Aztèque se constitue en un peu plus d'un siècle. Par la guerre et la diplomatie , les anciens parias imposent leur hégémonie sur les petites seigneuries du haut plateau. En 1375 , Acamapichtli devient le