Lapsus

peut pas expliquer car « les données de la conscience sont extrêmement lacunaires » car elle ne réussit pas a comprendre l’origine et le sens de plusieurs symptômes psychiques et phénomènes compulsionnels, par exemple les rêves, les actes manqués, lapsus (linguis/scripteur), certains gestes non voulus et peut-être des oublis, et aussi les névroses, type angoisses, phobies, les obsessions ou les hystéries (Freud classifie les névroses pour les hommes malades). Comme on ne peut pas accéder á la cause

cette réaction. Or, c’est parfois dans l’inconscient que se cache l’origine de nos comportements. Freud explique ainsi que le refoulement ou la maitrise de soi peut nous apprendre des choses sur nous même. On peut prendre pour exemple, les lapsus révélateur : lorsqu’un individu emploie un mot à la place d'un autre. Comme Rachida Dati qui prononce lors d'une émission de télévision le mot « fellation » en voulant parler d'inflation, pour Freud, cette chose révèle des intentions inconscientes

inconscient nous est totalement inconnu car comme son nom l’indique nous n’en sommes pas conscients comment être sur qu’il existe réellement dans ce cas? Il y a plusieurs indices qui nous prouvent l’existence de l’inconscient: les actes manqués, les lapsus, les rêves, les maladresses et les maladies de l’âme. Pour pouvoir s ‘exprimer l’inconscient doit un « moment de faiblesse » de la conscience. L’inconscient représentant 9/10° de notre esprit il est absurde que de pouvoir prétendre se connaître.

psychique semble souvent m’échapper. Je crois souvent agir en toute connaissance de cause alors même que je suis plutôt « agi » par des pulsions inconscientes. (Convoquer ici la théorie freudienne du refoulement et du « retour du refoulé » : rêves, lapsus etc.) Si je ne suis pas ce que je prétends être, comment avoir une saisie globale et quelque peu satisfaisante de moi-même ? J’ai besoin du regard des autres => « Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même » dira Sartre. Il entend

révélations à apporter. Elle éclaire des faits que chacun peut observer dans la vie quotidienne, comme les rêves, et ce que Freud appelle les « actes manqués », c’est-à-dire en quelque sorte les petits « ratés » de la conduite dans la vie courante, tels que lapsus, erreurs involontaires de toutes sortes, oublis, etc. (chapitre 3). Mais l’intérêt ultime de la psychanalyse c’est de fournir, en dehors de l’explication des maladies psychiques et de certains faits de la vie quotidienne, une clef pour interpréter

révélations à apporter. Elle éclaire des faits que chacun peut observer dans la vie quotidienne, comme les rêves, et ce que Freud appelle les « actes manqués », c’est-à-dire en quelque sorte les petits « ratés » de la conduite dans la vie courante, tels que lapsus, erreurs involontaires de toutes sortes, oublis, etc. (chapitre 3). Mais l’intérêt ultime de la psychanalyse c’est de fournir, en dehors de l’explication des maladies psychiques et de certains faits de la vie quotidienne, une clef pour interpréter

vie de l’homme. La vie de l'homme est donc ouverte à l'influence de son inconscient non comme une force extérieure et incontrôlable mais comme une force souterraine grondant du plus profond de nous-même jusqu'à immerger dans nos rêves, nos paroles (lapsus) ou à la surface de notre corps (manifestations corporelle). La notion d’inconscience n’est pas un simple manque de conscience, mais c’est un mécanisme de notre nature corporelle dont l’exercice ne requiert aucune conscience (exemple: les réflexe)

alors au sens propre du terme, le langage de l’inconscient. Pour Freud, tout processus psychique, dont nous pouvons constater les manifestations et où nous ignorons tout, fait partie de l’inconscient. Ainsi, certains gestes ou certaines paroles ( lapsus…) qui nous échappent, que nous prononçons involontairement révèle des intentions, des désirs profondément ancrés en nous et dont nous ne connaissons pas l’existence.CONCLUSIONJe ne suis pas nécessairement ce que j’ai conscience d’être. Mais livrée

avec un saisissant réalisme — celui d’un témoin? — il commença une phrase par « J’avais bien souvent prévenu ce pauvre roi… » qu’il s’empressa de corriger par un « On avait bien souvent prévenu ce pauvre roi… ». On comprend l’effet de tels pseudo lapsus corrigés. L’interlocuteur entendait un double message « j’ai été témoin de ce que je rapporte » et « par délicatesse, à l’endroit des personnes évoquées dans l’anecdote et à l’endroit de l’interlocuteur qui n’en saura jamais autant que moi, je m’efface

renvoie à ce dont le sujet va se plaindre, qui le fait souffrir et ce qui le pousse à consulter. Concrètement il se présente comme quelque chose qu'il faut supprimer. C'est une formation de l'inconscient comme l’acte manqué, l'oubli de noms, le lapsus les rêves etc. Il renvoie à un sens dans l'attente d'un déchiffrage. Le contenu latent, la signification n'est pas manifeste car elle a fait l'objet d'un refoulement avec lequel il est en lien. Parler de la satisfaction pulsionnelle autour du