Larme Rimbaud

Donc je rentre chez moi arriver devant mon hall bah j'avanceee !!! J'arrive devant la porte de chez moi. Et ouai j'aurais jamais cru que j'aurais un « chez moi » apres avoir changer plusieurs fois de prison.. Ouai j'appelle sa une prison !! Wallah laba tu pouvais rien faire les moniteurs ils etaient toujours deriere toi pour te gueuler dessue et meme te de foncer frenchemen ils avaient pas de cœur gamine ou pas ils ont n'ont rien a foutre !!! -----------------------------------------------Flash

Mesdames et Messieurs les jurés, Je tiens tout d’abord à vous dire que même si pour vous je ne suis qu’un homme, je vous demande un jugement impartial et équitable. Aussi, je vais vous prouver et démontrer que l’humanité ne mérite pas la mort. Face à vos paroles je reste consterné et outré ! Comment osez-vous, avec tout le respect que je vous dois, parler ainsi de l’homme ? Comment pouvez-vous critiquer ainsi notre espèce en ne la jugeant que par ce que vous voyez et non par ce que vous pourriez

Julien Sorel, jeune homme modeste et timide, se présente chez Mme de Rênal pour être le précepteur de ses enfants. Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d’entrée la figure d’un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer.(…) Mme de Rênal s’approcha, distraite un instant de l’amer chagrin

Sujet : Dans le texte de Marc Dugain, La chambre des officiers, le héro ne s’est pas encore vu car les miroirs ont été retirés de la salle où il est soigné. Un matin, il se voit dans le reflet d’une fenêtre. Imaginez la scène, ce qu’il découvre, les émotions qu’il ressent et les pensées qui l’assaillent au fur et à mesure d’une telle révélation. Votre texte, rédigé à la première personne, comportera au moins une quarantaine de ligne. Ce matin, cela fait deux jours que je suis enfermé dans

Haut les mains! Lorsque j’étais au primaire, mes parents me faisaient garder chez ma grand-mère. Cette journée-là, mes cousins qui n’avaient que huit et dix ans pouvaient eux aussi se reposer après une longue semaine d’école car ils avaient –tout comme moi- une journée pédagogique. Mes cousins avaient choisit d’aller se dégourdir les jambes dans l’incommensurable sous sol de ma grand-mère, alors que je préférais regarder la télévision avec ma grand-mère. Paisiblement, ma gardienne et moi commencions

  Roman      Vincent Brunner Platine (2014) Eva Pratriat, jeune adolescente fan de rock'n'roll. Elle ne vit que pour la musique, son lecteur mp3 c'est toute sa vie. «​ Je commence juste à me détendre et la musique y est pour quelque chose, elle m'isole dans ma tête des mauvais jours, je n'entendrai rien​ ». Pourtant, un événement va changer son petit train-train quotidien. Un jour alors qu'elle rendait visite à ses grands-parents, Carlotta sa grand-mère lui donne un sac remplis de vinyles appartenant

Eve commencait à être fatiguée de marcher, comme chaque soirs, dans les ruelles de Paris, les pavés mouillés claquant sous ses talons. Comme tous les soirs, cette jeune etudiante en droit, ayant rejoint un groupe de théatre très réputé faisait le meme chemin, afin de retrouver son appartement, tous les soirs, après une représentation, une fois la capitale endormis. Soudain, un homme, d'une quarentaire d'années, de triste allure avec le visage sculpté par le tenps, l'interpella. -Bonsoir madame

        Max  Sarah Cohen­Scali est une écrivaine française née à Fès au Maroc le 16 octobre  1958. Lors de l’écriture de son roman à succès Max, en 2012, elle avait 54 ans.  Même si elle n’a pas vécu pendant la seconde guerre mondiale, on pourrait s’y  méprendre étant donné la documentation impressionnante que contenait le livre.  Cette oeuvre, bien qu’il y ai un fond de réalité, n’est qu’une fiction, malgré le fait  que le personnage de Lucas fut inspiré par quelqu’un qui a vécu la guerre.  Habituée aux romans ado

38. Lettre aux jumeaux Hermile Lebel ouvre la troisième enveloppe destinée aux jumeaux. HERMILE LEBEL. Le temps se couvre. Il va pleuvoir, c'est sûr, c'est sûr, c'est sûr. Vous ne voulez pas rentrer ? Remarquez, je vous comprends. À votre place je ne rentrerais pas. C'est un beau parc par ici. Dans son testament, votre mère vous réservait une lettre si vous vous acquittiez de ce qu'elle vous demandait. Vous vous en êtes acquittés grandement. Il va pleuvoir. Dans son pays il ne pleut jamais. On

Je me réveille comme toutes les après-midi car j'ai très faim . Aujourd'hui je ne suis pas chez moi, je suis chez le nouvel ami de ma maman ,Bernard. Je voudrais manger mais ma mère est dehors avec lui. Je ne supporte pas ce garçon, vraiment, j'ai comme l’impression qu'il veut me piquer ma maman mais ma maman c'est la mienne et je ne partage pas. Tiens la voilà qui vient, je l'entend dans les escaliers, c'est elle ! Je fais mon plus beau sourire et je l'attend les bras tendus. Elle a compris, elle