Larme

ému Mon ami !... CYRANO Mon ami, j'ai de mauvaises heures ! De me sentir si laid, parfois, tout seul... LE BRET, vivement, lui prenant la main Tu pleures ? CYRANO Ah ! non, cela, jamais ! Non, ce serait trop laid, Si le long de ce nez une larme coulait ! Je ne laisserai pas, tant que j'en serai maître, La divine beauté des larmes se commettre Avec tant de laideur grossière !... Vois-tu bien, Les larmes, il n'est rien de plus sublime, rien, Et je ne voudrais pas qu'excitant la risée,

inconciemment je lui ai couru apres a la sonnerie en lui demandant de m'attendre comme si le destin nous forcait la main , Et c'est a partir de ce jour la qu'une belle et lingue amitié commenca . 1 année de fou rire, 1 année de bonheur , 1 année de larme 1 année de soutien , 1 année de connerie , 1 année de repas tout les midis , 1 année de cours , mais surtout 1 année d'amour , Ca commenca par justine puis ma puce puis mon cœur , mon amour , mon ange et maintenant ma confidente , ma vie , ma moitié

restiez pas fixé sur des trucs débiles qui vous bouffent la vie avec plaisir. C'est vrai sérieusement, je suis sûr que vous pleurer pour des trucs de m****. Alors qu'on est jeune, on se doit de profiter. On a le droit d'avoir mal et de verser une larme, mais on a pas le droit d'abandonner. Les problèmes viendront plus tard et là vous vous direz qu'avant, ce dont pour quoi vous pleuriez c'était n'importe quoi. Moi, quand je regarde mes grands parents qui racontent leurs histoires d'amourettes de jeunesse

horreur et douleur. Louis tourna légèrement la tête vers le boucle, laissant apparaître ses larmes sur son profil droit. Il prit une longue inspiration, avant de s'adresser a lui. -Va t'en Harry ... Je sais que tu ne veux pas voir ça ... Une autre larme glissa sur sa joue, étouffant un sanglot, puis repris sa position pour regarder au loin. Harry lui, s'effondra a genoux derrière lui, ne cachant plus ses sanglots, regardant son ami...Son amour basculé vers le vide. "Pourquoi en était il arrivé la

seuls les vrais y ont leur place. ♥ -J'αimerαis être celle qu'il αime . Être celle α qui il pense constαmment .Celle αvec qui il voudrαit être et pαsser tout son temps .Être celle qui luidonnerαit le sourire αux lèvres -J'aimerais être une larme pour naître dans tes yeux, vivre sur ta joue et mourir sur tes lèvres. -La gourmandise d'amour est le plus doux des péchés. -Si ton coeur s'arreterai de battre je te donnerai le mien de toute façon s'ne toi il ne me sert à rien. -Les amis sont comme

L’antit. est crée d’une part par l’alternance entre description d’un monde ->de l’autre / par le fait que les termes de description entre une partie de la strophe (A) et l’autre partie (B) s’oppose a chaque fois : « mais qu’importe riez/ce peuple en larme » D’autre part le narrat. S’adres au fil du texte plus directmt au bourgeois , c’àd : -au début, il décrit : « l’orchestre rit »/ « la fete empourpre les fenetres » -au milieu, description subjective : « serait-on empereur,prélat,prince,ou princesse

quand même. Je vais songer aux chemins les plus courts mais est-ce vraiment un raccourci ? Dans ma tête toute ma vie c’est le doute. J’ai écrit pour me dénouer c’est dur d’avouer. Ce n’est pas le principe mais là c’est plus fort que moi. C’est une larme qui coule désormais. Ce manque va m’achever, c’est plus la joie car là je perds toute confiance en moi. J’ai juste besoin de l’essentiel pour être bien mais pour l’instant j’ai l’impression que cet essentiel est loin.

avait le visage tout pâle, ses traits étaient marqués et on pouvait lire dans ses yeux toute la tristesse qu’elle éprouvait. Jeanne était une jeune femme est pourtant l’image rendu par son miroir lui faisait ressembler à une femme âgée. Soudain, une larme coula sur son visage anéantie, et du revers de sa manche, elle l’essuya, mais plusieurs larmes glissèrent le long de sa joue et cette fois si Jeanne ne put s’empêcher de les laisser s’écouler. Jeanne qui était restée immobile, tourna subitement la

plus mal. La blessure n’est pas dans son âme. Elle s’approche et touche le carreau sale. Il est froid. Il est chaud. Elle ne sait plus, ne veut plus savoir. Elle se projette vers cet ailleurs. De toute la force de son être abimé. Et elle voit. Une larme, une autre. Elle se détourne, repart. Le monde est-il plus laid qu’autrefois? Elle ne peut pas y croire. L’autre pleure aussi. Elle la sent. Dans le noir, seule. Comme elle. Deux amis de tristesses réunies un instants qui pourtant voudraient ne pas

lui, caressant ses cheveux : Oui Oskar, je pleure. Rire et pleurer ne sont pas incompatible, tu devrait le savoir maintenant, tu es un grand garçon. En tentant de le serrer dans ses bars malgré son indifférence. Tu es mon grand garçon. Versant une larme invisible. OSKAR se dégageant des bras de sa mère en s’éloignant avec fureur de celle-ci à l'autre bout de la pièce tout en lui tournant le dos : Combien pleures-tu ? Moi je pleures comme trois hommes. En élevant le ton encore plus. Combien pleures-tu