Latifundios

3 : L’AGRICULTURE RESTE LE POINT FONDAMENTALE DES INEGALITES 3.1 : Une concentration foncière excessive. Les ressources agricoles ne manquent pas mais le problème est celui de la concentration foncière excessive. 1% des propriétaires ont des latifundios, de gigantesques propriétés, et détient 46% donc presque la moitié des terres cultivées. Ils les exploitent en plus, souvent de manière extensive. Des millions de paysans sont propriétaires de minifundios, de minuscules exploitations et passent

« La desigual distribucion de tierras, dieron por consecuencia el levantamiento y la ocupacion de las tierras por parte de los indigenas para hacer frente a esta cituacion el gobierno ideo la reforma agrarai que tendria por objetivo el fin de lso latifundios y que los indegenas tengan acceso a la propiedad y sobre todo se ponga fin a su explotacion y que con apoyo del gobierno se modernice la produccion , pero la falta de acceso à la maquinaria una falta de liquides por parte del gobierno que era

au problème de distribution des richesses dont la première d’entre elles, la terre. II) La terre, une source de tension sociale A) L’héritage social Dès le début, la couronne espagnole distribue d’immenses territoires cultivables, des LATIFUNDIOS aux nobles et aristocrates. Système social néo-féodal : l’homme blanc possède les terres, et a tous les droits dessus, les centaines d’esclaves noirs/indiens la travaillent. Le droit de cuisage était en vigueur, à l’origine des premiers métissages

L’Amérique du Sud possède une grande diversité des structures agraires. Il y a d’abord les minifundios (petite exploitation) qui ont le poids du nombre et une économie faible, ce sont des structures agraires originelles. Et par opposition les latifundios qui sont de grandes exploitations agricoles (certaines aussi grandes qu’un département). Les latifundistes (propriétaires) possède un important pouvoir car ils donnent du travail et sont les principaux acteurs économiques des pays, puisque ce sont

d’abord, le premier point à mettre en avant est la dimension extrêmement inégalitaire caractéristique de ces pays, et du monde latino-américain en général. Inégalités basées sur la possession par un petit nombre de la plus grande partie des terres (latifundio), et qui sont à l’origine de la dimension bipolarisée de ces sociétés archaïques. En outre, les relations sociales se réduisent donc presque uniquement à une domination d’une élite foncière exploitant une masse de travailleur, créant de profonds

en place guidée par Victor Paz Estenssoro et Hernán Siles Zuazo prônent une politique davantage sociale et prend parti aux côtés des classes défavorisées. Véritable révolution, une tentative de réforme agraire est menée pour en finir avec les « latifundios »11  et rendre la terre au peuple indigène qui la travaille ; certaines compagnies minières sont nationalisées ou encore le droit de vote est accordé aux amérindiens ainsi qu’a la population métisse. Le tournant de 1964 En 1964, la tentative

l’apport financier important , le narcotrafic apporte un nombre d’emplois considérable : en Amérique latine par exemple les « petits » paysans ont quitté leur culture originelle de céréales à cause de l’exploitation qu’on faisait d’eux à travers les « latifundios » (qu’on appelle aussi « Hacienda » , ce sont des coopératives exploitant les petits producteurs au bénéfice des grands) et à cause de la trop forte concurrence de l’agriculture intensive des Etats développés. Ils se sont tournés vers la production

financer les infrastructures et les multiples investissements requis par des pays. Le continent est aussi endetté à la fin du 19ème siècle qui le sera à la fin du 20ème siècle, les pays latinos restent fragiles et les inégalités de propriétés entre latifundios (gros propriétaire terriens) entraine une production insuffisante du secteur agricole ce qui provoque une tendance permanente a l’inflation par la demande. L’inégalité des terres est à l’origine de l’inégalité des revenus qui elle-même n’assure

se fait attendre jusqu’en septembre 1932. Elle provoque cependant malgré tous les espoirs placés en elle, notamment les perspectives d’améliorations pour les journaliers sans terre, la désillusion du monde rural espagnol, en particulier dans les latifundios (petites parcelles de terre) du Sud et du centre de l’Espagne. En effet de part la nouvelle réglementation du travail des jurys mixtes (représentants syndicaux des ouvriers) auraient du être implanté par les grands propriétaires terriens. Cependant

extérieurs, du paupérisme qui limite le marché intérieur, de la forme antédiluvienne d’exportation agricole ; un pays où la bourgeoisie industrielle est encore faible et se trouve en contradiction avec un système de propriété agraire dans lequel le latifundio [8] occupe une grande place ; un pays où l’économie petite-bourgeoise prédomine et où n’existe aucun parti politique de classe solidement organisé. Pour cette raison des mesures favorables à l’importation de produits étrangers ou à l’insertion