Latinus

ainsi de Virgile? dit Candide. -- Je conviens, dit Pococuranté, que le second, le quatrième et le sixième livre de son Énéide, sont excellents; mais pour son pieux Énée, et le fort Cloanthe, et l'ami Achates, et le petit Ascanius, et l'imbécile roi Latinus, et la bourgeoise Amata, et l'insipide Lavinia, je ne crois pas qu'il y ait rien de si froid et de plus désagréable. J'aime mieux le Tasse et les contes à dormir debout de l'Arioste. -- Oserais-je vous demander, monsieur, dit Candide, si vous n'avez

ainsi de Virgile ? dit Candide. Je conviens, dit Pococuranté, que le second, le quatrième et le sixième livre de son Énéide sont excellents ; mais pour son pieux Énée, et le fort Cloanthe, et l'ami Achates, et le petit Ascanius, et l'imbécile roi Latinus, et la bourgeoise Amata, et l'insipide Lavinia, je ne crois pas qu'il y ait rien de si froid et de plus désagréable. J'aime mieux le Tasse et les contes à dormir debout de l'Arioste. Oserais−je vous demander, monsieur, dit Candide, si vous n'avez

ainsi de Virgile? dit Candide. — Je conviens, dit Pococurante, que le second, le quatrième et le sixième livre de son Énéide sont excellents; mais pour son pieux Énée, et le fort Cloanthe, et l’ami Achates, et le petit Ascanius, et l’imbécile roi Latinus, et la bourgeoise Amata, et l’insipide Lavinia, je ne crois pas qu’il y ait rien de si froid et de plus désagréable. J’aime mieux le Tasse et les contes à dormir debout de l’Arioste. — Oserais-je vous demander, monsieur, dit Candide, si vous n’avez

ainsi de Virgile ? dit Candide. -- Je conviens, dit Pococuranté, que le second, le quatrième et le sixième livre de son ةnéide sont excellents ; mais pour son pieux ةnée, et le fort Cloanthe, et l'ami Achates, et le petit Ascanius, et l'imbécile roi Latinus, et la bourgeoise Amata, et l'insipide Lavinia, je ne crois pas qu'il y ait rien de si froid et de plus désagréable. J'aime mieux le Tasse et les contes à dormir debout de l'Arioste. -- Oserais-je vous demander, monsieur, dit Candide, si vous n'avez

de Virgile? dit Candide. Je conviens, dit Pococurante, que le second, le quatrième, et le sixième livre de son Énéide, sont excellents; mais pour son pieux Énée, et le fort Cloanthe, et l'ami Achates, et le petit Ascanius, et l'imbécile roi Latinus, et la bourgeoise Amata, et l'insipide Lavinia, je ne crois pas qu'il y ait rien de si froid et de plus désagréable. J'aime mieux le Tasse et les contes à dormir debout de l'Arioste. Oserais-je vous demander, monsieur, dit Candide, si vous

les alliées du peuple latin. Habite là un peuple autochtone et qui voit d’un mauvais œil arrivé un migrant qui veut s’installer sur leur terre. De plus parmi ces alliés étrusques. De plus, le chef de ce groupe, Turnus, été promis à la fille du roi Latinus, mais le roi la promet aussi à Enée. Guerre entre les deux. Enée tue Turnus dans une fin violente. La mort de Pallas est pleurée dans les deux camps. Réflexion très humaine dans ce chant. Si on avait deux adjectifs pour l’Enéide on parlerait

la Grèce. Sans doute la Grèce a déposé dans l'Italie un germe antique et fécond ; sur les rives du Tibre, on trouve à chaque pas les traces d'Enée , les vestiges de la Grèce. Mais sous cette couche étrangère , il y a un fond national : Evandre et Latinus avant Enée, et avant eux Tarchon et Lydus. Ovide n'a point, suivant nous, assez remué ces terres primitives; il n'a pas pénétré dans les entrailles du Latium pour en tirer la sagesse antique que Tagès y avait mise ; il s'est arrêté à l'écorce grecque

Èques et les Volsques aimaient passionnément la guerre ; ils étaient autour de Rome ; ils lui firent une résistance inconcevable et furent ses maîtres en fait d’opiniâtreté. Les villes latines étaient des colonies d’Albe qui furent fondées par Latinus Sylvius [12]. Outre une origine commune avec les Romains, elles avaient encore des rites communs, et Servius Tullius [13] les avait engagées à faire bâtir un temple dans Rome, pour être le centre de l’union des deux peuples. Ayant perdu une grande

of Virgil?” said Candide. “Why, I grant,” replied Pococurante, “that the second, third, fourth, and sixth books of his Aeneid, are excellent; but as for his pious Aeneas, his strong Cloanthus, his friendly Achates, his boy Ascanius, his silly king Latinus, his ill–bred Amata, his insipid Lavinia, and some other characters much in the same strain, I think there cannot in nature 80 VOLTAIRE be anything more flat and disagreeable. I must confess I prefer Tasso far beyond him; nay, even that

málbeinið á henni: Ef þú ert að spurja um jómfrú Snæfríði lögmannsdóttur kona góð, þá situr hún hér í Skálholti, sumir segja í festum; það hefur meira að segja heyrst hún eigi eftir að pluma sig með greifafrúm. Eitt er víst, hún er látin læra hér bæði látínu, historíam, stj örnubókarlist og önnur fræði lángt ofar standi þeirra kvenna sem verið hafa á íslandi. Sjálf lét hún á sér heyra í vor að hún ætti von á dálitlu með Bakkaskipi og ekki var þar við komandi hún færi með systur sinni vestur þrátt fyrir