Laïcité Et Service Public

- Religions et espace public - Problématique : Quelles sont les lois qui protègent la liberté religieuse mais aussi, qui imposent le respect d’une certaine neutralité au sein de l’espace public ; et pourquoi ? Et, quelles sont ces dérives auxquelles le droit français doit faire face pour garantir la liberté religieuse tout en préservant les libertés de conscience et d’opinions ? Introduction I. Un droit berceau des libertés A. Les fondements de la liberté religieuse 1. La liberté

L’APAJH, une association employeur remplissant une mission de service public 1 - L’APAJH se veut être le creuset et le rassemblement de forces collectives Favoriser la collaboration entre acteurs politiques, usagers, salariés, bénévoles, partenaires sociaux et publics autour d'un projet de solidarité commun. Ce rassemblement repose sur le principe de laïcité, c'est-à-dire le respect des opinions et des croyances de chacun tant au niveau humain que technique. C'est de la rencontre des différences

avec le politique saisir l'interprétation à faire entre le croire et la pratique, saisir le lien entre le croire et la pratique. Découvrir un domaine: la sociologie des religions. Faire de nous un citoyen critique dès qu'il s'agit de laïcité et religion. La force de la société moderne s'est que chaque personne est soit intégrée entièrement à celle ci, soit totalement éloignée et se suicide. On a d'abord à faire à des individus en quête d'identité. Exemple: les recherches sociologiques

chrétien de l’homme au service de la société » (Préambule du statut de l’Enseignement catholique de France, 14 mai 1992). Le projet éducatif est pratiquement construit : choix du personnel (non enseignant), formes d’accueil (crèches parentales..., halte garderies), ouverture toute l’année, visée éducative de « former tout l’homme » en ne se limitant pas à la seule dimension e l’instruction... Des pistes sont évoquées pour trouver des financements : municipalités, Etablissements publics de coopération intercommunale

(le divorce civil est admis alors que le mariage religieux est indissoluble), le plus souvent indifférentes (réglementation technique, droit des biens, droit des contrats…). Ces divergences confirment la séparation entre le droit et la religion. La laïcité affirmée de la République (art. 1er de la constitution) est à rapprocher de l’égalité de tous les citoyens, « sans distinction de religion » et du respect de « toutes les croyances ». Il ne s’agit plus pour l’État de garantir une religion, érigée

1 Travail de Recherche 1.1 Fiche élaboration problématique Le Thème de mon sujet est : L’intégration d’un élève dans une classe dépend-elle de ses origines ? Le champ sémantique du sujet : - égalité des chances - cohésion sociale - laïcité - pluralité culturelle - origines (ethnique, sociale, religieuse) - discrimination - ségrégation - mixité Je questionne le sujet : Comment ? - En fonction des origines sociales, ethniques et religieuses. Qui ? - Collégiens - Lycéens

Pour : Liberté d’expression Ecole public Signe de religion L'islam devient un moyen d'affirmer une identité communautaire face à des nations (occidentales) Droit à la différence Parce qu’on peut considérer que les symboles ont le sens que les personnes leur donnent Parce que la loi de 2004 constitue une atteinte fondamentale à la liberté individuelle de s’habiller comme on veut et de pratiquer librement son culte dans la République. La loi de 1905 sur la laïcité ne dit pas que la religion est

Droits de l’enfant c. Neutralité et laïcité Grands principes de l’enseignement public, du ressort de l’éducation nationale. L’enseignement est obligatoire, c’est une neutralité qui est philosophique, politique, cela devient de la laïcité qui s’applique à tous dans le milieu scolaire (adulte enfant). En place depuis la fin du XIXs. La loi gobelet a mis en place les maitres de l’école primaire. Depuis 1986 l’enseignement public est réservé aux personnes laïques. Instauré une obligation d’instruction laïque

caractéristique en France est le principe de la laicité : depuis loi de 1905 (séparation église / Etat) l’Etat ne subventionne, ne soutient ne reconnaît aucune confession en particulier. Au nom du principe de la laïcité, certains nombre de limite introduite : loi 13 mars 2004 interdit les signes religieux a l’école qq soit la confession. Dans les espaces publics scolaire ; loi Anti-burqa 14 oct 2010 interdisant la dissimulation du visage dans les espaces publics sauf dans les lieux de cultes. La CEDH

l’espèce Les faits de la cause, tels qu’ils ont été exposés par la requérante, peuvent se résumer comme suit. La requérante, alors âgée de seize ans et de confession musulmane, s’était inscrite, pour l’année 2004-2005, en classe de seconde au lycée public Lavoisier de la ville de Mulhouse. Le 2 septembre 2004, jour de la rentrée scolaire, celle-ci se présenta au lycée les cheveux couverts d’un voile. Le proviseur de l’établissement, estimant que cet accessoire était contraire aux dispositions législatives