Le Beau Et Le Laid

transforme un objet laid en œuvre d’art, synonyme de beauté au même titre que la femme aimée. Voir également « les métamorphoses du vampire » qui repose sur l’idée de la métamorphose inverse, du beau vers le laid, contrairement à « Une Charogne ». Voir également la section « le Vin » qui transforme la réalité en poésie. Ces mouvements, quasiment oxymoriques, rattachent l’alchimie à la notion de « réversibilité » et séparent de ce fait la notion de morale de la notion du beau, puisque le poète change

dramaturgique, un élément rythmique ; 6 apparitions dans les didascalies, créant un va-et-vient de Bérenger, perpétuelle tentation pour interroger cette glace, moderne fontaine d’un pitoyable Narcisse qui, a contrario, cherche à se persuader qu’il n’est pas si laid. Les photos et les tableaux eux-mêmes sont à considérer comme des glaces possibles, puisque Bérenger finit par se reconnaître dans les êtres qu’ils sont censés représenter : Oui, je me reconnais ; c’est moi, c’est moi ! l.42. Et ce, jusqu’au dépassement

transforme-t-il en beau ? MOUVEMENTS : 1) Exposition des enjeux. (v.1 à 4) 2) Portrait ambivalent des petites vieilles. (v.5 à 20) 3) Progression d’un commentaire du poète comme un dialogue avec lui-même ou avec le lecteur, à un nouveau portrait qui se focalise sur les yeux des petites vieilles. (v.21 à 36) Enjeux : - Portrait des petites vieilles dépréciatif/esthétiser. - Laid en beau. -

ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! 10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; 15 Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant

(cf. N. et CN. : « Sur un texte burlesque, un jeu dramatique, sur un texte dramatique, un jeu burlesque. ») c. Un héros qui se déteste * Rejet : anaphore : je ne suis pas beau (2 fois); comme je voudrais être comme eux; que c’est laid; je suis un monstre (2 fois); je ne peux plus me voir; comme je suis laid; mes traits tombants; mes mains moites; j’ai la peau flasque : texte saturé de termes péjoratifs (dont l’effet est redoublé par le lexique mélioratif inverse à destination des rhinocéros)

et une nouvelle société se forme, s’éveille aussi une nouvelle poésie. Ce nouveau mouvement de pensée permet d’amener, en conséquence, les abstractions de la poésie antique à la vérité et au réel. Face à cette vérité, on aperçoit que le laid existe á côté du beau, le grotesque au revers du sublime et le mal avec le bien. C’est-à-dire, le grotesque est quasiment obligé de s’imposer dans l’art pour représenter la vérité, car, Dieu a créé les deux parts. Supposons qu’on fasse abstraction du groteque

Thème : L’Art et le Beau : Platon : Hippias mineur Kant : La critique de la faculté de juger, L'Analytique du Beau. Mishima : Le Pavillon d’Or Victor Hugo : Le Chef d’Œuvre inconnu Introduction  La Beauté, ou le Beau : Déf : notion abstraite liée à de nombreux aspects de l’existence. Couramment : Comme l’amour : la beauté est un qualificatif marquant une opinion Employé constamment, souvent à tort à travers Belle femme, belle idée, beau match, beau costume…  Pente naturelle

l’intérêt, sont colorés par nos désirs). Selon Zemach, les propriétés esthétiques sont tertiaires, car justement « colorées par le désir ». D’après Zemach les propriétés esthétiques se laissent classer en deux groupes : le premier comprend « beau » et « laid » ; le second « criard », « vulgaire », « délicat », gracieux »…La différence entre ces deux groupes serait que les propriétés du premier groupe « informent sur la valeur globale d’une chose sans dire comment cette chose possède cette valeur »

parviendra pas sans bousculer la poésie telle qu’elle existait à l’époque. Il décide alors de faire ce que personne n’a encore fait : comme un alchimiste changerait le plomb en or, il entreprend de changer le laid (la boue) en beau (en or). En d’autres termes, il cherche à montrer ce qu’il y a de beau dans les sujets sombres et parfois dégoûtants, comme c’est le cas dans « À une mendiante rousse » : il croise dans Paris une jeune mendiante, qu’il n’hésite pas à décrire avec des termes très crus (« ton

Dissertation de Français____________________________________ Aux alentours de 1861, le poète Charles Baudelaire écrit un épilogue pour la deuxième, et officielle, édition des Fleurs du Mal, il y écrit "Comme un parfait chimiste [...] Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or" en voulant clamer son amour pour la ville de Paris la "capitale infâme". Baudelaire se revendique-il comme un alchimiste au grand cœur, changeant le chaos du monde, en belles fleurs dorés, étrangères à la réalité ? Et