Le Beau Moyen Age

FÉLONS Andret, Gondoïne,Guenelon et Denoalen forment un groupe solidaire uni parle désir de nuire à Tristan et Iseut. BRANGIEN Elle est la servante d’Iseut.Sa négligence est à l’origine de l’amour passionnel des deux amants. Elle essaie par tous les moyens de soulager leur souffrance. GOVERNAL Il est d’abord l’éducateur de Tristan. Il devient par la suite son ami et son fidèle écuyer. Il l’accompagne dans tous ses déplacements et partage la vie du couple dans la forêt du Morois. PERINIS Il est le

Musset Barberine 1835 La pièce se déroule en Hongrie, à la fin du Moyen Age. Acte I Une route devant une hôtellerie. Un château gothique au fond, dans les montagnes. Scène 1 Rosemberg, L'hôtelier ROSEMBERG. – Comment ! point de logis pour moi ! point d'écurie pour mes chevaux ! une grange ! une misérable grange ! L'HOTELIER. – J'en suis désolé, monsieur. ROSEMBERG. – A qui parles-tu, par hasard ? L'HOTELIER. – Excusez-moi, mon beau jeune seigneur. Si cela ne dépendait que de ma volonté, toute

parcours des courants------------------------------------------------- PARCOURS DES COURANTS 1. Le Moyen-âge (V → XVe) Le Romantisme s'intéresse au Moyen-âge à cause de l'appellation l'opposant à la Renaissance. Période de l'histoire de 10 siècles, mais seuls 5 durant laquelle la langue française apparaît. ------------------------------------------------- LE THEOCENTRISME Période marquée par des croyances. Dieu au centre de l'homme. Tout tourne autour de la religion : naissance : baptême

physiquement, ce duc est parfait, et moralement aussi. Ainsi, les deux premières phrases nous permettent de conclure que cet homme parfait est admiré des femmes. La litote est utilisée dès la première phrase, avec l’expression du fait qu’être le plus beau du monde est la qualité la plus faible du duc. Ensuite, l’utilisation du mot « prince » le place dans l’excellence. La phrase 3 nous présente les sentiments et la passion qu’il suscite auprès des femmes qui sont toutes amoureuses de lui, alors que

une fille unique. Ce coup est un peu rude à l’esprit le plus fort ; Et je doute comment vous portez cette mort. Le vieil Horace Sire, avec déplaisir, mais avec patience. Tulle C’est l’effet vertueux de votre expérience. Beaucoup par un long âge ont appris comme vous Que le malheur succède au bonheur le plus doux : Peu savent comme vous s’appliquer ce remède, Et dans leur intérêt toute leur vertu cède. Si vous pouvez trouver dans ma compassion Quelque soulagement pour votre affliction

ECRITURE POETIQUE ET QUETE DE SENS DU MOYEN-AGE A NOS JOURS AUTEURS -CLEMENT MAROT L'adolescence clémentine (1532) Lettre adressé au roi François 1er Enfermé pour hérésie et pour avoir aider à libérer quelqu'un. Écrit épître adressé au roi et celui-ci lui rend la liberté -RENE MAGRITTE XXe La tentative de l'impossible Il est le représentant le plus ocnnu du surréalisme belge influencé par l'artiste italien DE CHIRICO Thème : rêve, folie, féminité -FRANCIS PONGE Le parti pris

……………………………………………………………………………………………………………  1   II. La  notion  de  Beauté………………………………………………..…………………………………………………2   III. La  silhouette  féminine  vue  par  les  premières  civilisations  …………..…………………………..2   IV. Du  Moyen-­‐Âge  à  la  Renaissance  :  Les  artifices  de  la  silhouette  féminine  ………………….4   V. XVII  et  XVIIIème  siècle  :  De  la  sophistication  au  naturel  …………………………………………...5

est dans le changement », maxime gnomique, présent de vérité générale, reprise ligne 24-25 « Mais lorsqu’on en est maître une fois, il n’y a plus rien à dire ni à souhaiter ». Opposition à la conception classique et à l’idéal de l’amour unique du Moyen-Age B- Impossibilité de résister à l’excitation de l’inconnu, au désir du désir D-J raille le sacrement du mariage, ligne 3 à 6=ironie de l’antiphrase « la belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle »=adjectif « faux » qui souligne

caractères abrégés, rapprochant deux lettres d'un mot dont les autres avaient été démesurément distendues. Ses vitraux ne chatoyaient jamais tant que les jours où le soleil se montrait peu, de sorte que, fît-il gris dehors, on était sûr qu'il ferait beau dans l'église ; l'un était rempli dans toute sa grandeur par un seul personnage pareil à un Roi de jeu de cartes, qui vivait là-haut, sous un dais architectural, entre ciel et terre (et dans le reflet oblique et bleu duquel, parfois les jours de semaine

 LES PRINCIPAUX MOUVEMENTS LITTERAIRES XVI L’HUMANISME Mouvement qui développe une nouvelle image de l’homme, libre et épanoui. Il s’élève contre les terreurs du Moyen Âge, au nom d’un retour à l’Antiquité, mais aussi de l’intelligence et du savoir. XVI LA PLEIADE Courant poétique formé par un groupe de sept poètes. Nom emprunté à une constellation de sept étoiles. Participant à l’Humanisme, ils veulent retrouver l’inspiration qui a fait la grandeur de la culture antique