Le Beau Subjectif Ou Objectif

d'arbitre. Synonyme statuer. Sens 2: Donner son opinion. Synonyme critiquer. Sens 3: Estimer. Synonyme estimer. beau : 1. Norme permettant le jugement esthétique ; cf. valeur. 2. Sens concret : objet du jugement esthétique ; ce qui provoque une émotion esthétique par l'harmonie des formes, l'équilibre des proportions. 3. (Par ext.) Ce qui suscite une idée de noblesse, de supériorité morale (un beau geste). 4. Pour KANT, le jugement de goût ne détermine pas son objet en le pensant sous un concept universel

Quand une individu observe un objet et le qualifie de « beau », l’individu fait un jugement de valeur  qui est propre a cet objet.  Ce jugement de valeur dépendra : de la personnalité, des principes ou encore des goût de l’individu..  Mais, le fait de regarder cet objet  permet d’exprimer de lui faire ressentir un certain plaisir. En caractérisant un objet de « beau », l’individu a une perception possitive, une perception heureuse de l’objet.  Il a un senstion de plaisir ou encore un sensation de

est question de « beau ». Le beau est un sentiment éprouvé par l'Homme, il est subjectif. Mais la notion de beauté est-elle la même pour tout le monde ? Et si c'est le cas, est-ce la beauté d'une œuvre d'art qui fait d'elle une œuvre d'art ? Aristote, philosophe grec, affirmait qu'une chose était belle si elle remplissait parfaitement son but. Ainsi, la beauté serait une forme adaptée à sa finalité : est laid ce qui est difforme, ce qui nous permet d'obtenir un critère objectif de la beauté. Mais

l’aurions fait nous-même, l’intériorité esthétique révélée par l’œuvre d’art est-elle réductible à notre monde introspectif personnel ? L’œuvre artistique n’y pointe-elle pas davantage un champ de prises de conscience perceptives au-delà de nos mondes subjectif ? I - L’art nous plongeant dans des visions du monde nous fait entrer dans la spécificité de la compréhension. A - L’art n’est qu’accidentellement lié au savoir explicatif mais il met essentiellement en jeu un exercice d’ouverture compréhensive

L’art -Problème : comment définir l'art ? Y a t-il des critères objectifs (clairs) permettant d'identifier et de délimiter la notion ? -L'art, un moyen d'expression ? Pour exprimer quoi ? -L'art, un moyen d'être libre ? Institution -L'art, un moyen d'éveiller l'homme ? -L'art véhicule t-il un enseignement ? -L'art est-il utile ? -Le problème du goût et du jugement de goût ? Le premier problème qui se pose est celui de l'identification de la notion d'art : un critère est nécessaire pour

possibilité de juger ainsi de manière objective ? Précisons : -juger : … jugement subjectif (donner son avis, son point de vue) jugement objectif : juger de manière vraie, objective, universelle (valable pour tous, même ceux qui n’y croient pas). … jugement de valeur (juger que c’est bien / mal, beau / laid, etc.) jugement de fait : juger la réalité telle qu’elle est. Quel sens retenir ? … Plutôt le sens de jugement objectif … il s’agit explicitement du juger une valeur : supérieur / inférieur. -peut-on

vérité. 3) L’art nous illusionne, elle modifie donc le réel. L’opinion commune a plutôt tendance à opposer l’art au réel : en effet on dit de l’art qu’il est hors de la réalité, qu’il est sans règles qu’il est subjectif par opposition au réel que l’on dit soumis a des règles, objectif et universel. Le réel vient confirmer ou attester l’existence de quelque chose et il s’oppose dans ce sens à l’illusoire. Selon Hegel en admettant qu’il n’y a pas de règles en art c’est parce que nous aimons croire

bien ni mal, ni beau ni laid. C’est le monde de Galilée. C’est l’ordre du fonctionnement (machines à laver qui tournent). Dans un tel monde, il n’y a pas de beau, pas de laid, pas de mal et donc pas de désordre. * Ce qui va remplacer les valeurs, ce sont les préférences donc des valeurs de plaisirs. Aucun être ne poursuit une fin, tout fonctionne. Ca veut donc dire qu’il n’y a ni bien, ni mal. Au lieu d’exprimer des sentiments objectifs, on va avoir des sentiments subjectifs. Donc que des préférences :

par opposition à ce qui est subjectif. Empirisme : doctrine qui pose que la connaissance repose sur les faits, l’observation de l’expérience Épistémologie : Etude des sciences Technique : L’ensemble des procédés définis et transmissibles par lesquels l’homme utilise les connaissances scientifiques pour opérer dans l’univers objectif. Animisme : Attribuer une Rationalisme : Doctrine qui pose que la connaissance relève de la raison. II. L’art : Beau : valeur à laquelle renvoie le

il ne part jamais de rien) la nature lui préexiste. Beauté : agréable, ce qui procure un plaisir des 5 sens, c’est « ce qui plaît »  Subjectif : « ce qui vient du sujet particulier » = ce qui est subjectif est relatif à chacun.  Objectif : « ce qui est reconnu par tous comme vrai/beau » = ce qui est objectif emporte une adhésion universelle. Le beau est un plaisir de l’esprit. L’agréable est un plaisir sensible. Lapsus : je dis qqc qu’il ne fallait pas dire. (de parole et d’audition)