Le Bicéphalisme De L

plusieurs structures, mais aucune de ces structures ne dispose de la personnalité juridique. 1. L’ADMINISTRATION CENTRALE Elle comprend un ensemble très vaste de services à la lecture de la constitution Sénégalaise de 2001, il apparaît un « bicéphalisme » au sommet de l’administration d’Etat. Aux structures administratives suprêmes ou supérieures, il faut envisager l’étude d’autres qui ont une mission de consultation et de coordination. 1. LES STRUCTURES ADMINISTRATIVES SUPREMES Elles

autorité : le chef de Gouvernement. Sous la Ve République, elle est sous la direction du chef de l’Etat. Avec la Constitution de la Ve République, le pouvoir de direction est partagé entre les 2 autorités de l’exécutif c'est à dire que l’on parle de « bicéphalisme administratif » ce qui pose des problèmes en période de cohabitation. Il y a 2 chasses gardés ; celle du 1er ministre et celle du Président de la République. Le Président de la République oriente les grandes lignes de la politique. Il se traduit

cette hégémonie : 1)- 1960 : interdiction du PAI de Majhemout DIOP , accusé d'être responsable des troubles survenus lors d'élections municipales à St-Louis. 2)- 1962 : l'éviction de Mamadou DIA, accusé d'avoir fomenté un coup d'Etat, mit fin au bicéphalisme de l'Exécutif et autorisa une révision constitutionnelle qui établit les fondements du présidentialisme au Sénégal ( - Voilà le contexte qui a donné naissance à la Constitution du 7 Mars 1963, toujours en vigueur : Cf. Magatte LO, Sénégal : l'heure

1830, on a changé de souverain, on est passé de monarchie de droit souverain à monarchie constit ⁃ Si on décide de faire comme les américains :instauration système présidentielle, or essentiel distinction entre système américain et français : bicéphalisme (président, premier ministre) en Amérique système monosépale. Si on efface l’expression 1er ministre en remplaçant par gouvernement ou président de la république. On aurait alors changé la nature du système politique : pouvoir constit originaire

aux pouvoirs étendus a) le bicamérisme - Dans la majorité des régimes parlementaires à qq exceptions près (Grèce, Danemark, Suède, pays de l’Est …) le législatif est divisé à l’image de l’exécutif dans un souci d’équilibre. Bicéphalisme de l’exécutif, bicéphalisme du législatif. Si il n’y a qu’une chambre = déséquilibre le système. Même si le chef de l’E a très peu de P. ici Soucis de symétrie pour le législatif. Origine aristocratique de la chambre haute = celle qui n’est pas issue du SU

On peut très bien voir un régime parlementaire avec la particularité d’un chef d’Etat élu au suffrage universel direct et en même temps doté de pouvoirs propres (non contresignés). Sous la 5ème république on a un régime parlementaire avec un bicéphalisme exécutif effectif parce que les deux pôles de l’exécutif possèdent une identité propre avec des fonctions propres. Section 1 : la dyarchie exécutive. C'est-à-dire un exécutif à deux têtes en insistant sur le fait que ces deux têtes de l’exécutif

divisions politiques. Il n’y a pas de « diarchie (double pouvoir) au sommet », comme l’a fait remarqué DE GAULLE en 1962. Mais les conditions politiques ont évolué en 1986. Depuis lors, cette organisation structurelle de l’exécutif, le bicéphalisme, doit tenir compte de la réalité politique à savoir le problème de la légitimité électorale du chef de l’État (SUD) confrontée à la légitimité de l’Assemblée nationale. Aussi, dans cette perspective, faut-il redéfinir la notion de diarchie car

administration centrales . Mais il existe aussi des services déconcentrés , au niveau des circonscriptions de l'état . 1/ L'administration centrale de l'état . Exécutif diarchique , puisque président de la rép et premier ministre se partage . Bicéphalisme administratif . Ils ont les attributions administratives . Administration présidentielle : PR place essentielle dans la disposition de la république . Art 5 de la constitution : PR veille au respect de la constitution ... Clé de voute

lui sont imposés et entretenant des relations pour le moins difficiles avec de nombreux chefs d'État, il a finalement annoncé en juillet 2006 qu'il ne souhaitait pas être reconduit pour un second mandat. À ces difficultés, s'ajoute également le bicéphalisme qui existe à la tête de l'organisation entre le président de l'Union Africaine et le président de la Commission, nuisible à l'efficacité de l'action de l'exécutif. La gestion confuse de la succession de feu Gnassingbé Eyadéma en avril 2005 a révélé

donc inégalitaire. Il est seulement rénové avec la réforme de 1954 qui a concerné aussi l’exécutif. L’exécutif ou la bicaméralisme institutionnalisé. Sous la 4ème République, l’exécutif est bicéphale ainsi que le prévoit la constitution. Ce bicéphalisme est donc institutionnalisé mais il traduit un effacement du Président de la République (1) et l’existence d’un cabinet dominé par la Président du Conseil (2). Le Président de la République ou le chef de l’Etat effacé. Le Président de la République