Le Bonapartisme De

participation des Etats fédérés à l’Etat fédéral conduit à ce qu’on appelle le bicaméralisme. On créé deux Assemblées, une pour le peuple et l’autre pour les Etats. Le bicaméralisme existe également pour l’aristocratie. En ce qui concerne la période du Bonapartisme, on a eu jusqu’à 4 Assemblées en France. A. La composition de l’Assemblée qui représente les Etats fédérés On l’appelle le Sénat, le Bundesrat, la Chambre des Etats, le Soviet des Nationalités, le Conseil des Etats. La logique voudrait

Journaliste, il écrit plusieurs articles pro-républicains. Lorsqu’il découvre que son frère, Eugène, soutient Louis-Napoléon Bonaparte, il se met à douter de la victoire républicaine. Au soir du coup d’État, il change de camp et se convertit au bonapartisme. A la fin de La Fortune des Rougon, il s'apprête à quitter Plassans. Il réapparaît par la suite dans plusieurs volumes des Rougon-Macquart et plus particulièrement dans la Curée (où on le retrouve monté à Paris, marié à Renée Béraud Du Châtel et

Tunisie, de l'Annam et du Tonkin, avec les opérations au Congo ou à Madagascar... Il justifie sa politique après coup dans un contexte marqué par l'opposition de l'extrême-gauche (Clemenceau), de la droite monarchiste (de Baudry d'Asson) et du bonapartisme (Paul de Cassagnac). L'orateur utilise trois types d'arguments : économique, humanitaire, politique. L'argument économique se réduit en fait à sa dimension commerciale par l'évocation des débouchés que la métropole, selon Ferry, ne peut offrir

premier pas dans le basculement qui s’est opéré dans la sensibilité nationaliste. Dans un premier temps elle naissait de la gauche, pour glisser dans un second temps vers l’extrême-droite. En tant que courant républicain autoritaire inspiré du bonapartisme, le boulangisme a constitué un réel ennemi pour la République. Désormais les partisans de l’autorité ne sont plus considérés comme républicain. Cette modification sémantique est révélatrice de changements plus profonds que le boulangisme a pu opérer

décembre 1848 Les candidats : Bonaparte, Cavaignac, Ledru-Rollin, Raspail, Lamartine, Changarnier Les opinions politiques Les pamphlets Louis-Napoléon Bonaparte, élu Président 2 10 026 000 inscrits 7 497 000 votants Louis-Napoléon Bonaparte Bonapartisme 5 434 226 voix 74, 00 % Louis-Eugène Cavaignac Modéré 1 448 107 voix 19,81 % Alexandre Ledru-Rollin Démocrate-Socialiste 370 119 voix 5,06 % François-Vincent Raspail Socialiste 36 920 voix 0,51 % Alphonse de Lamartine Libéral 17 120 voix 0

par la culture illibérale de la monarchie républicaine, s'est écartée du souffle de 1789. Et le Conseil d'Etat, qui est créé par la Constitution de l'an VIII, et qui, plus que d'autres institutions, a été imbibé par cette culture autoritaire du bonapartisme, en porte une lourde responsabilité puisqu'il a progressivement établi une jurisprudence radicalement contraire à ces principes fondateurs, du moins pour ce qui concerne les impôts d'Etat. C'est un arrêt fameux, en 1901, dit arrêt Casanova, qui

certaine idéologie qui transparaît dès la proclamation du 2 décembre 1851 : « Il s’agit de fermer l’ère des révolutions en satisfaisant les besoins légitimes du peuple. »C’est un programme qui inquiète ses adversaires. Les libéraux savent que le bonapartisme exerce un attrait incontestable en rejetant à la fois la voie révolutionnaire et la voie conservatrice. C’est une monocratie à la fois de droite et de gauche. De droite : à l’élection à la présidentielle de 1848 Napoléon 3 a été le candidat de

socialistes qui veulent un chambre souveraine aux monarchistes, qui veulent la restauration. Pour la gauche boulangisme, projet plus cohérent , réelle volonté d elargir souveraioneté popullaire mais blanquisme des boulangistes s efface derriere le bonapartisme de boulanger ) * enfin le mouvement est totalement discredité lors de la révélation des Coulisses du boulangisme : d MERMEIX devoile sous x les confidences imprudents de la duchesse d uzes polemiques, et duels entre boulangistes publication

organisation fortement centralisatrice de l’Etat français, initiée par les jacobins (la Convention), puis reprise par Napoléon Bonaparte. Fort de ce constat, François Mitterrand constatera qu’« il existe dans notre pays une solide permanence du bonapartisme où se rencontrent la vocation de la grandeur nationale, tradition monarchique, et la passion de l’unité nationale, tradition jacobine. » C’est à partir de la Monarchie de Juillet et de la III° République que les institutions locales trouveront

du succès FN. A. L’implantation électorale du front national, nouvel acteur politique Depuis l’apparition du suffrage universel en France, a aura eu l’occasion d’observer quelques poussées de l'extrême droite (sous la IIIe République : le Bonapartisme, le Boulangisme, le Nationalisme). En 1956, le mouvement poujadiste représentera cette tendance de l’échiquier politique et disparaitra rapidement en 1958. En 1962 c’est le mouvement passéiste. Malgré ces diverses apparitions de l’extrême droite