Le Bonapartisme De

Elle se compose d’élus des travailleurs et de patrons parisiens. Ainsi les premiers mois de l’année 1848 sont un tournant dans le rapport qu’entretiennent les ouvriers (petite et grande industrie) avec le gouvernement. b- L’Empire et le bonapartisme ouvrier * Malgré la crainte persistante des élites vis-à-vis du mouvement ouvrier le Second Empire eut un programme social volontariste et à partir du début des années 1860 un rapprochement entre le pouvoir impérial et le monde ouvrier.

mains, ce qui obligea la police à investir la salle. Mais, au moins, les représentations faisaient salle comble. C'était un immense succès, car toute une jeunesse voyait dans l'oeuvre non seulement le mépris libéral des rois (nuancé d'une pointe de bonapartisme), mais l'étendard enfin brandi de la liberté dans I'art, et y reconnaissait ce mélange diffus d'espérance er de nostalgie qui précéda et suivit la révolution de 1830. Le 7 mars, à minuit, Hugo nota, parmi les «choses vues» : «On joue ''Hernani''

C. La Vème République une tentative de synthèse pour remédier aux échecs antérieurs Première chose la peur du référendum, certes pas de référendum dans la III et IV République, cette peur du référendum car cela rappel le plébiscite donc le Bonapartisme. Le refus du régime présidentiel car c’est l’autoritarisme. La nécessité de rationnaliser ou le caractère indispensable de rationnaliser le régime parlementaire c’est-à-dire : Renforcer le pouvoir du Président de la République (qui auparavant

collectivité n’a pas à prendre en charge la misère individuelle. Sous le Second Empire, on essaye de contrer cette philosophie. Napoléon III développe un programme social : il prétend résoudre la question sociale par des méthodes autoritaires. Le bonapartisme social a consisté en une action de l’Etat sur les forces économiques libérales, afin d’améliorer le mieux-être de tous. Sa proposition d’agir a été mise en échec par les élites orléanistes, les contraintes budgétaires (politique extérieure de prestige)

dépolitisation des acteurs et des enjeux politiques ? Répression et violence Pourquoi n’est-ce pas une caractéristique des régimes totalitaires ? Types de régimes autoritaires Autoritarisme patrimonial Oligarchies clientélistes Bonapartisme et dictatures populistes Bureaucraties autoritaires Les régimes totalitaires Hannah Arendt Raymond Aron Juan Linz Qu’est-ce qui distingue fondamentalement un régime autoritaire d’un régime totalitaire ? Les caractéristiques

territoire à un Etat. Consistant, à partir de la question posée, à approuver ou non la politique d'une personne, la notion de plébiscite recouvre celle du référendum. Il se rencontre souvent dans les régimes autoritaires (Cf. Napoléon III et le bonapartisme) qui transforment la consultation démocratique en un simple rituel électoral à l'aide d'une propagande qui parvient à imposer un seul choix au peuple en le laissant ignorant des véritables enjeux. Par extension, le plébiscite désigne une élection

catholiques, le pouvoir avait encouragé la fondation de L’Opinion nationale (par Adolphe Guéroult, ancien st-simoniste) et l’empereur appuie une délégation ouvrière qui rejoint la Ière Internationale (1864). L’idée est aussi de développer un bonapartisme ouvrier autour du prince Jérôme au sein du « groupe du Palais-Royal ». Mais beaucoup d'ouvriers suivent la voie de Proudhon qui propose un projet fondé sur un réseau d’associations mutuelles dans un ton réformiste. Schéma récapitulatif :

Lavau). On peut faire remonter cette tradition à l’analyse qu’a faite Karl Marx des luttes politiques sous la Seconde République dans Le 18 brumaire de Louis-Napoléon Bonaparte. Dans ce texte célèbre, Marx associait chacune des tendances politiques (bonapartisme, légitimisme, orléanisme) à l’expression des intérêts des différentes fractions de la classe dominante. Malgré cette première esquisse d’analyse matérialiste des partis politiques, échappant à une vision étroitement déterministe de la superstructure

plusieurs mois, les agents de B, dont Persigny, exploitent, par une active propagande, la légende napoléonienne, vivace encore, dans les campagnes, où les vieux paysans en ont souvenance. L’épisode des Cents-Jours, avec son double caractère de bonapartisme populaire puis libéral, a contribué fortement à préparer l’image d’un « Napoléon du peuple » estompant celle du conquérant autoritaire. La gloire nationale n’est pourtant pas absente dans le souvenir dans les souvenirs des vieux soldats de l’Empire

moment-là qu’il tente la révision constitutionnelle avec des opposants acharnés comme V. Hugo : « Quoi, après Auguste, Augustule! Quoi? Parce que nous avons eu Napoléon le Grand, il faut que nous ayons Napoléon le Petit ? », Ce qui créé une colère bonapartisme. Selon lui, Louis-Napoléon Bonaparte est un minable et n’a rien à voir avec Auguste, Charlemagne ou Napoléon 1er … Selon lui, Louis-Napoléon Bonaparte veut rétablir un régime d’autorité. Ce dernier change alors de stratégie. Le coup d’état se fait