Le Bonheur Communisme

réussite industrielle de l'URSS . Dimension : 25 m et de 80 tonnes Commanditaire : Staline, dirigeant de l'URSS veut montrer au monde entier, la gloire du communisme. C'est une œuvre de propagande. Contexte historique : a partir de 1929, Staline entreprend la collectivisation des terres et décide d'accélérer la mise en œuvre du communisme en URSS et la transformation de l'économie. La collectivisation des terres a pour but de moderniser l'agriculture et d'industrialiser le pays. Mouvement :

développement du mouvement socialiste. Souvent vu comme un homme radical, il a contribué de vaste majorité. Le marxisme sont des théories sur la société, l'économie et la politique. Il croyait que le socialisme serait finalement remplacé par le communisme, une société sans classes, sans argent et sans état. De plus, sa critique de la religion est un facteur important dans ses théories. Il y a de nombreuses théories que Marx a contribué à ce monde, je ne présente que quelques-uns que j'ai trouvé

bonne pour nous, ou, au contraire mauvaise pour notre société ? Nous allons explorer plusieurs pistes qui vont pouvoir nous donner une partie de la réponse, notamment grâce aux régimes politiques antérieurs. Mais aussi, grâce aux principes de liberté/bonheur, de contrôle. Mais également, ces dangers, ces dérives. Et pour finir, nous imaginerons un système utopique implanté dans notre société. Suite à tout cela, nous pourrons dire si oui ou non, un système utopique a encore sa place dans notre monde.

Peut-on dire, comme le chef des Tahitiens de Diderot dans le Supplément..., que le bonheur consiste à mettre tout en commun ? Aimer, être aimer, s’amuser, faire du bon travail et en être félicité, faire des trouvailles et compléter ses idées, exciter ses sensations et faire impression,… être heureux, tout simplement. Chacun définit son bonheur comme il l’entend et chacun est satisfait avec quelque chose de différent mais moi, je choisis de vous présenter celle du dictionnaire… Il s’agit d’un état

terme plus récent, crée plus tard et plus rare. Dys = en grec quelque chose ne vas pas Le préfixe eu en grec ) le bien le bonheur, l’idéal La dystopie = genre littéraire ou cinématographique apparu au 20 ème siècle en Europe, il a pour vocation de s’inscrire contre l’utopie. La dystopie présente un monde inventé, avec un projet qui doit être celui de la perfection et du bonheur . Le monde rêvé devient par la suite cauchemar. Eugène Zamiatine dans Nous autres décrit une civilisation ultra technologique

socialisme). Les autres enfants vont vers Staline comme les enfants vont avec confiance dans les bras de leur père. Un autre garçon a le foulard rouge des Pionniers. Il souligne ainsi l’utilité de faire partie des pionniers et donc d’être formé au communisme. La petite fille est bien habillée, elle porte des fleurs, pour remercier Staline. «Merci à notre cher Staline pour notre enfance heureuse » dit le texte de l'affiche. Le slogan: «Merci à notre cher Staline pour notre enfance heureuse» 3)Interprétation:

solidarité, on peut noter le vocabulaire du communisme et de la justice : "ils connaissaient la justice''; "sollicitude commune pour l'intérêt commun", "liés par la droiture", "union". Parmi ses principes, il y a la religion. Les troglodytes accordent une place fondamentale à la religion, avec notamment le champ lexical de la religion : "dieux"; "des fêtes en l'honneur des dieux"; "temples"; "sacrifice". Montesquieu montre que la religion et le bonheur sont deux choses absolument complémentaires

père des peuples Intro : Le sujet que je vais vous présenter est une affiche de propagande affichée dans tout l’URSS en 1950 pour la propagande stalinienne. Il est utilisé dans l’optique de montrer aux russes une autre image de Staline et du communisme. C’est le parti communiste russe dirigé par Staline même qui fit faire cette affiche en l’honneur de l’ « homme d’acier ». Je vais donc vous présenter une biographie de Joseph Djougachvilli, dit Staline (l’homme d’acier). Il est naît le 21

Mais son activité militante est surtout théorique comme d’ailleurs son activité théorique est essentiellement militante : « Il me fallait mettre à profit chaque instant où je pouvais travailler pour terminer mon œuvre à laquelle j’ai sacrifié santé, bonheur et famille […]. Je me ris des gens soi-disant pratiques et de leur sagesse. Si l’on voulait se comporter comme une bête, on pourrait évidemment tourner le dos aux tourments de l’humanité et ne s’occuper que de sa propre peau. Mais je me serais vraiment

précédemment combattues. Ce pour dénoncer, dans le cadre d’un apologue animalier, une subversion de la promesse du communisme par une nouvelle classe de dictateurs. À moins que ce fut, comme l’indique une lecture attentive du Manifeste du communisme, dans la nature même du projet que le ver de la tyrannie résidât. Fallait-il plutôt, en nos utopies, planifier scientifiquement le bonheur ? C’est ainsi que Le Meilleur des mondes d’Huxley prétendait résoudre pour le mieux commun le problème des classes