Le Bonheur Depend Il De La Liberté

attentif à plein de problèmes . Apprendre permet d’acquérir du dicernement et ainsi de ne pas etre le dupe des préjugés de notre époque. Montesquieu, dans Considération sur les humains (1734) dit «La tyrannie se fortifiait, on ne parlait plus que de liberté». La tyrannie est un régime marqué par la cruauté, la peur du peuple. Montesquieu, parrain des hommes fait cette antithèse, les deux mots ensemble ne sont pas comptatibles . Apprendre permet de résister à la faillite toujours possible du monde présent

La seule liberté concédée à l’homme, puisque sa liberté d’action a été retirée, est celle de penser librement. Une fois que la nature est connue, il faut lui donner un ordre notamment grâce à la vertu qui est donc commode. La vertu ne sert pas de contemplation mais s’applique comme une véritable technique. Ainsi il faut alors distinguer ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas. Par exemple l’ordre du monde ne dépend pas de moi. En revanche mon attitude devant cet ordre dépend de moi. J’ai

pour des femmes qui se sont battues contre la religion pour se libérer», «Une bonne partie d'entre elles le font par choix et non par choix idéologisé. C'est un choix, au terme d'un processus où il y avait liberté dans la décision. Il faut être conséquent avec soi-même. Si on est pour la liberté d'expression, de choix, dans la façon dont on s'habille, dont on développe ses croyances et ses comportements, il faut respecter ces choix», «C'est malheureux que le voile prenne autant de place. Dans la

jugement détermine sa volonté et sa faculté intelligente détermine son jugement. (74) [1007 :] Je ne suis pas libre de vouloir mon mal mais ma liberté consiste à ne vouloir que ce qui me convient. Ne suis-je pas mon maître ? « Sans doute je ne suis pas libre de ne pas vouloir mon propre BIEN, je ne suis pas libre de vouloir mon MAL ; mais ma liberté consiste en cela même que je ne puis vouloir que ce qui m’est convenable, ou que j’estime tel, sans que rien d’étranger à moi me détermine. S’ensuit-il

sommes-nous libres ? Le thème de la liberté est depuis l’Antiquité un sujet que les philosophes aiment traiter car ce sujet apporte la possibilité de prendre des positions très diverses. Durant tous les siècles, les penseurs ont débattu en fondant des thèses sur la liberté et la volonté d’être libre. Le tout est de savoir si l’on peut associer volonté et liberté, est-ce que la volonté de faire nous rend libre ou au contraire apporte des barrières à notre liberté ? Si nous faisons une chose, cela veut

être un homme libre, liberté. Citer sartre. Il note les differentes fonctions que l'h peut avoir ? L'animal mortel, la conscience ne suffit pas à caracteriser l'h, elle est loin d'être la grandeur de l'homme, la conscience apparaît plus comme celui de sa finitude. Libre de penser, d'avoir ses propres opinions. Citer sartre et la psychanalyse.comprendre et prendre conscience de quelque chose c'est l'accepter. Ce n'est pas une philosophie QUE théorique. Sartre : je suis une liberté, « l'existence précède

la "liberté" est un pouvoir de dire non à tout, à tout ce que je n'ai pas et que je pourrais désirer . Ne voulant pas, par une puissance infinie de la volonté , tout ce que je ne peux pas avoir, je ne peux pas souffrir de ne pas l'avoir. Plûtot que d'être soumis aux choses, la volonté se soumet toutes choses en n'adhérant pas à ce qui nous est refusé. La liberté est un principe qui va donc permettre la distinction entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Or, ce qui dépend de

conseils et qu’il parlait à tous avec beaucoup de liberté et de franchise malgré son rend social. Epictète n'a rien écrit lui-même. C’est son disciple, Arrien qui a rédigé et résumé les leçons du grand stoïcien. Le stoïcisme fait du bonheur la fin naturelle de l’existence humaine par la sagesse. Mais la sagesse ne peut nous apporter que du contentement, jamais de grandes joies et par la même jamais de grande souffrance. Le manuel est il le secret du bonheur ? Que nous dit-il donc ? Est-il applicable aujourd’hui 

Le but de la vie est donc le BONHEUR ; c’est donc une philo « eudémoniste ». Mais pour l’atteindre, il faut savoir comment AGIR ! Il va falloir prendre quelques habitudes. Pour Epicure, il y a quatre remèdes pour « prendre soin de son âme » (on file la métaphore de la médecine). Il expose aussitôt ces quatre remèdes : 2- Premier remède : ne pas craindre les dieux, 3- deuxième remède : ne pas craindre la mort. 4- Troisième et quatrième remèdes : se dire que le bonheur est facile à obtenir et la douleur

s’il n’y a plus d’attente, plus de manque, il n’y a plus de désir non plus. Peut-on alors faire une sélection des désirs ? Et dans ce cas, en renonçant à certains désirs pour éviter ainsi quelques souffrances, ne risque-t-on pas de passer à côté du bonheur ? D’autre part, le désir n’est-il pas aussi ce qui permet à l’homme de trouver de l’énergie ? Connaître ce qui constitue son propre moteur ne permettrait pas alors de se réaliser ? 1. Par définition, le désir implique la souffrance A. Le désir