Le Bonheur Depend Il De La Liberté

Peut on faire le bonheur d’autrui?Le bonheur est un état de satisfaction globale et durable. Autrui peut symboliser l’autre en tant qu’individu comme un ami, notre famille, mais aussi les autres en général, l’humain dans son ensemble. Pour finir autrui peut symboliser le prochain, c’est à dire les générations futures.Faire le bonheur d’autrui voudrait alors dire octroyer cet état de satisfaction aux autres. Nous nous demandons alors si nous avons la capacité de faire cela. On pourrait autant symboliser

contradiction insurmontable ? Faut'il satisfaire tous les désirs ou bien faut-il les maîtriser? Ne faut-il pas plustôt les hierarchiser en renoncant à certains d'entre eux ? Mais cela ne conduit-il pas à des frustrations ? Qu'en est-il alors de notre bonheur ? Quels sont de se fait les objets vers lesquels le désir doit se porter pour éviter ses frustrations ? Faut-il les distinger ou les assimiler aux objets concernant nos besoins ? I - Le désir : force ou faiblesse ( la valeur du désir ) - Définition

Alors, peut-on exclusivement considerer une prise de conscience comme étant libératrice? Ainsi, nous étudierons comment prendre conscience constitue t-il un acte libérateur, puis, est-ce que la conscience peut-être considérée comme une entrave à la liberté? Mais ne faudrait-il pas finalement trouver un juste milieu afin de ressentir ce sentiment d'ataraxie? La conscience morale constitue un ensemble de valeurs qui aident à déterminer, chez l'Homme, si une chose est bonne ou mauvaise. Ainsi, la conscience

L'argent: Bonheur ou Malheur. L'argent est un véhicule universel permettant de définir une valeur à un bien ou un service, et ainsi de le comparer à d'autres biens ou services. L'argent ne sert qu'à définir la valeur que l'on donne à quelque chose. Cette valeur dépend de nombreux facteurs : rareté, offre et demande, temps et argent utilisé à sa conception et/ou sa distribution etc... En effet , dans un monde matérialiste moderne, l'argent commence même à donner de la valeur à la vie de chacun.

référence aux dieux (pure représentation de l'idée que les hommes s'en font, des rêves en quelque sorte), présente l’avantage de favoriser une morale de la béatitude par la recherche du calme de l'âme vidée de toute crainte et de toute superstition (« Le bonheur ne consiste pas dans la possession des troupeaux et de l'or. C'est l'âme qui est le siège de la béatitude »). Sa philosophie annonce celles d'Épicure et de Lucrèce. Platon 427-347 av. J.-C. est élève et hériter de Socrate (La République, la Belle

vie présente : vivre heureux, c’est vivre une certaine plénitude, un certain accomplissement. Et il n’y a nul doute pour Calliclès qu’on puisse vivre parfaitement heureux. Il nous dit d’ailleurs en quoi consiste négativement et positivement ce bonheur : négativement, être heureux, c’est ne dépendre de personne et n’être soumis à personne. Positivement, c’est jouir au maximum des potentialités même de la vie, ou tout au moins de ce que Calliclès considère comme les potentialités de la vie : à savoir

ARGENT ET SOCIETE « L'argent ne fait pas le bonheur de ceux qui n'en ont pas. » Boris Vian SOMMAIRE Introduction I) L'argent ne fait pas le bonheur...II) Mais il y contribue. Conclusion Bibliographie Annexe Introduction L'argent est aujourd'hui omniprésent dans notre société. Sur le plan économique, l'argent constitue avant tout un moyen d'échange; mais il assure également de multiples autres fonctions. Il assure la sécurité, en permettant de répondre à des besoins de base:

plus, le « pouvoir du choix » entraîne lui-même une autre notion : la liberté. La liberté de choisir, de penser ou encore d’agir. Ainsi nous pourrions nous demander si la possibilité de choisir est le fruit du renoncement à sa liberté ? Dans un premier temps, vaut-il mieux obéir ou avoir le choix ? Choisir représente t’il une détermination qui manifeste l’exercice de la liberté où y a t’il véritablement une notion de liberté dans « le pouvoir de choisir ? » Lorsqu’on parle de « mutilation »,

est d'autre nature, selon laquelle toutes choses sont sujettes à Dieu. Descartes. Lettre à Élisabeth 1645. Un homme peut-il vouloir le mal pour le mal ? A cette question, me semble-t-il, nous pouvons répondre par la négative. Où il y a liberté, il n'y a pas de place pour le mal. Aucun individu dont la conscience serait souveraine*, n'engendrerait le mal pour le mal. * Si la conscience de l'homme gouvernait entièrement sur ses pulsions, il n'y aurait plus de transgression. La transgression

peut être animé par la même tendance. C'est du moins ainsi que Sartre le décrit dans L'Être et le Néant. Selon cette analyse, le désir est volonté de s'approprier le corps d'autrui tout en sauvegardant dans ce corps son identité, sa conscience, sa liberté. Il est clair que ces deux tendances sont contradictoires car l'instinct de possession est aux antipodes du respect de l'autre en tant qu'autre. Tout désir amoureux serait donc désir de l'impossible, ce qui le voue à l'échec. On peut cependant l'accepter