Le Bonheur Depend Il De La Liberté

Bentham avait lancé la formule : chercher le bonheur du plus grand nombre en identifiant toujours l'intérêt de l'individu à l'intérêt universel. En d’autres termes, Bentham établit les fondements moraux visant à augmenter le bonheur collectif compris comme la somme des bonheurs individuels. Sans combattre ce point de vue, Mill observe qu'on trouve d'autant mieux le bonheur personnel qu'on le cherche moins, et qu'on y parvient en travaillant au bonheur des autres, à l'amélioration du sort de l'humanité

Qu’est ce que la philosophie ? 2) Le sujet : Conscience et inconscient 3) Désir et bonheur 4) La liberté 5) Le devoir Pourquoi philosopher ? qu’est ce que la philosophie ? Intro Utile : *qui est un moyen pour avoir une fin *ce qui est apte à contribuer au bonheur de l’Homme. 1er sens : la philosophie ne sert à rien car elle n’est pas un moyen pour atteindre une fin DESIR ET BONHEUR Introduction Désir amoureux : chaque partie se sent incomplète, insatisfaite. Il y a

» ? Le sujet nous interroge bien entendu sur les causes de notre désir d’impossible, mais plus que sur les causes, également sur les fins. Car l’enjeu du sujet est éthique. Si nous désirons l’impossible, et que ce désir est la manifestation d’une liberté, alors il faut se demander s’il a un sens, c’est-à-dire, au fond, s’il nous conduit à une vie heureuse. La question nous invite dans un premier temps à nous étonner de la contradiction logique dont témoigne notre désir d’impossible. Le « Pourquoi

censure et affirment le droit à la liberté d’expression, facteur de progrès social. B) Le droit au bonheur. Les philosophes reconnaissent à l’être humain le droit à un bonheur terrestre immédiat, conforme à sa nature humaine qu'il doit accepter: ses passions, son goût du confort, voire du luxe, sa sensibilité, son amour-propre ne sont plus condamnables et sont des voies possibles d'accès au bonheur. Les Lumières tentent de concilier bonheur individuel et bonheur collectif. C) Le rejet du despotisme

lois la force qui leur est nécessaire ; elle favorise la population, l'agriculture et le commerce ; en un mot, elle procure au peuple le bonheur qui est le but de toute société. La guerre, au contraire, dépeuple les Etats ; elle y fait régner le désordre ; les lois sont forcées de se taire à la vue de la licence qu'elle introduit ; elle rend incertaines la liberté et la propriété des citoyens ; elle trouble et fait négliger le commerce ; les terres deviennent incultes et abandonnées. Jamais les triomphes

faut vivre. « Bonne » règle de vie : double sens. Une règle de vie peut être « bonne » au sens où elle nous est utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur. Mais est bon aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques, bref ce qui est moral Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Le projet d'accomplir tous les désirs est-il réalisable ? N'y a-t-il pas une contradiction implicite entre l'assouvissement de

Malgré les trois époques qui séparent ces quatre auteurs, il y a toujours eu la même notion importante pour l’Homme, la Liberté. Chaque texte est d’un genre littéraire différent, le premier est une fable de La Fontaine, Le Loup et Le Chien, qui parue au XVIIeme siècle, en 1668. Le seconde texte, Emile ou de l’Education, est un Essai de Rousseau publié au XVIII eme siecle. Le troisième texte est une poésie du visionnaire Hugo, Ultima Verba provenant du recueil Les Chatiments publié au XIX eme

peut ressentir. C'est à dire qu'elles diffèrent de la raison et de la volonté des personnes. Les croyances irrationnelles sont des choix honteux et des volontés corrompues de désirs selon PASCAL. La croyance en quelque chose dépend de deux choses. Tout d'abord, elle dépend de la raison. En effet, l'entendement humain, qui est la faculté intellectuelle qui permet de comprendre problèmes et situations permet aux hommes de donner des preuves et des vérités connues de tous qui permettraient de justifier

détermine le philosophe. La majorité des hommes, quels qu'ils soient, sont obsédés par leurs rêves les plus fous et par les moyens de les concrétiser. Les rêves qu'ils font sont pour eux le summum du bonheur qu'ils peuvent atteindre. Le philosophe ne se préoccupe pas du bonheur futur mais déjà du bonheur dont il peut jouir en ce moment présent. Il n'est pas obsédé par la manière de concrétiser ses rêves (probablement les mêmes que les autres hommes) mais il se préoccupe davantage du monde auquel il

précises et immuables! 2) La vie et la souffrance Cela dépend de vous. La vie en soi est une toile blanche ; elle devient ce que vous y peignez. Vous pouvez y peindre la souffrance comme vous pouvez y peindre le bonheur. Cette liberté est votre gloire. Vous pouvez utiliser cette liberté de telle sorte que votre vie entière devienne un enfer ou une bénédiction, une joie, une chose belle et céleste. Tout cela dépend de vous ; l'homme a toute latitude. C'est pourquoi il y a tant de douleur