Le Bonheur N Est Pas Le But Mais Le Moyen D Une Vie

Travailler moins est-ce vivre mieux ? (dissertation et proposition d'un autre plan ainsi que son contenu) Le travail apparaît comme le cheminement logique d'une vie humaine puisque déjà petit, on se surprend à rêver à la profession que l'on exercera « plus tard »... il paraît donc étrange de chercher dès lors à travailler moins. Est-ce la preuve que le travail n'est pas l'idéal que nous nous étions façonné ? Travailler c'est occuper une place déterminée, avoir un rôle dans l'économie qui nous

sophistiqués depuis l'invention du concept de l’argent. Ce dernier facilite la vie. Tout le monde en dépend, il est certainement le moyen d’échange le plus sûr et le plus utilisé. L’argent est un moyen d’assouvir nos désirs en nous permettant de développer notre condition et en nous faisant miroiter au bonheur. Il paraît naturel d’aimer l’argent, les rapports sociaux sont étalonnés par cette valeur. L’argent est un moyen permettant d’acheter ou de vendre des objets ou des services. Mais il semble

heureux a-t-il besoin d'amis ? Cette question peut sembler oiseuse : qui, se découvrant heureux, déciderait de rompre avec ses amis ? Mais elle en cache une autre : être heureux, est-ce se suffire à soi-même ? Il est logique de le penser, puisque le bonheur est pleine réalisation de soi-même. Mais dès lors, l'amitié devient superflue. Est-ce à dire que les hommes ne vivent ensemble et ne s'apprécient que parce que les échanges sont nécessaires, voire pour supporter leurs malheurs ? C'est contre cette

Toutefois, il devient difficile de prendre le temps de se questionner alors que le brouhaha de la vie quotidienne nous tient toujours en alerte et nous empêche de décrocher. Puisque peu à peu l'humain cesse de s'interroger, survient alors la question: une vie sans examen vaut-elle vraiment la peine d'être vécue? Contrairement à ce que certains peuvent espérer, non, une vie sans remise en question est une vie qui a perdu son sens primordial. En effet, il y a deux principales raisons qui expliquent ce raisonnement:

La recherche du bonheur Pour les matérialistes du XVIII ème siècle, comme le baron d’Holbach, le bonheur est avant tout un plaisir dont nous souhaitons la durée. Il se mesure à deux caractères : la longueur et l’intensité. Un bonheur très bref est appelé plaisir. Entre plaisir et bonheur il n’y a qu’une différence de durée, pas de nature. Le bonheur et le plaisir ne sont qu'une seule et même chose. Notre corps ne supporte qu’une intensité limitée de plaisir, au delà d’un certain seuil

Dissertation de philosophie : « Le bonheur, c'est de le chercher » tels étaient les mots de Jules Renard à propos de cette recherche. Car depuis toujours, il semble que l'homme soit à la quête du bonheur ! Car en effet, c'est le bonheur et lui seul qui pourrait nous rendre heureux. Ainsi l'on remarque que cette quête tant convoitée soit l'affaire de tous, cependant elle n'en demeure pas moins égoïste. Il est vrai que chaque individu recherche son propre bonheur et non celui de son voisin. Néanmoins

désirant vivre en société, ou du moins survivre. Dans notre société actuelle, l’argent se révèle être une des préoccupations majeures des individus. Pourquoi cherchons-nous à avoir de l’argent ? Est-ce un moteur inconditionné du bonheur ? La plupart du temps, le bonheur est défini comme étant une satisfaction absolue de tous nos désirs. Ainsi, assouvir tous ses désirs suppose de posséder assez d’argent pour acquérir tout ce que l’on veut. L’excès d’argent et donc de plaisirs et de jouissances mène

Philosophie Faut-il faire du bonheur le fondement de la politique ? L’insatisfaction des citoyens d’une nation face à sa politique n’est pas un phénomène récent, et les politiques on souvent été accusés de ne pas remplir leurs fonctions puisque les citoyens ne se sentent pas heureux : les individus attendraient donc de la politique qu’elle leur apporte le bonheur. Ceci ne peut qu’inciter à se poser la question : doit-on faire du bonheur le fondement de la politique ? Par « bonheur », on entend ici la

DE LA SAGESSE AU BONHEUR Nous vivons dans une société désirant le bonheur, «un état durable de satisfaction»1. Cependant, notre but est difficile d’atteinte, car nous vivons notre vie sans la remettre en question et nous ne sommes pas assez rationnels. Nous devons philosopher davantage afin d’aspirer la sagesse, dans le but d’être plus heureux. Ainsi, il serait possible d’affirmer que la sagesse de Socrate est garante de bonheur. Le sage de Socrate est conscient qu’il y a des limites à son

Désir et bonheur I/ La satisfaction du désir engage t-elle la fin du désire  Sens commun : le désir est désir de quelque chose  absence, manque d’un objet.  Le désir recherche la satisfaction  l’obtention de l’objet  Procure le plaisir différent (état de bien être sensible, sensation agréable)  Stop le manque lié à la frustration  Satisfaction du désir = mort du désir  on ne désire plus ce qu’on à obtenu Limites : Schopenhauer : -La satisfaction, courte, fait rapidement