Le Bonnet rouge

« Adieu jusqu’à un petit moment » L36-37 : innocence = C’est une enfant, elle est jeune, innocente et égocentrique  elle a donc besoin d’occupation comme les enfants B- Des préoccupations futiles, superficielles et ennuyeuses - « les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps » « j’ai ma harpe, mon dessin et des livres »  elle s’occupe comme une enfant, n’a rien à faire à cause de l’absence de sa mère « le reste du temps et à ma disposition » « voilà bien du temps » « seules

habits. Il y a beaucoup de couleurs chaudes comme le rouge, différents tons de bruns, de l’ocre et des couleurs terreuses. Le personnage féminin se distingue des autres car c’est la seule femme présente sur le tableau. Elle est éclairée et c’est le seul personnage à avoir le visage totalement de profil. Elle a le sein nu et se tient en hauteur sur les cadavres comme sur un pied d’estral . Elle porte sur elle des symbole de la liberté comme le bonnet phrygien et le drapeau tricolore qu’elle hisse au-dessus

Rouget de Lisle pour les soldats de l’armée du Rhin. Les paroles mettent en avant la liberté et dénonce la tyrannie. Le pavillon national : le blanc représente le roi, le bleu et le rouge sont les couleurs de Paris = Union du roi et du peuple. Marianne : c’est une allégorie. Elle représente le liberté grâce au bonnet phrygien. La devise nationale : c’est « Liberté, Egalité, Fraternité ». Moments et lieux de la République : 14 juillet 1789 (Bastille), 11 novembre 1918 (armistice), 8 mai 1945 (capitulation)

portrait en buste vu de trois quarts sur un fond sombre, s'inscrit parfaitement dans la tradition picturale de l'époque. La pose est un peu maladroite car le peintre devait sans cesse se regarder dans le miroir. Il porte un costume raffiné : petit bonnet rouge à pompons, élégant vêtement de dessus dont le gris bleuté contraste avec le blanc de la chemise à large échancrure brodée. Le visage conserve certains traits enfantins de son précoce Autoportrait dessiné (1484, Vienne, Graphische Sammlung Albertina)

combien ce mobilier est vieux, crevassé, pourri, tremblant, rongé, manchot, borgne, invalide, expirant, il faudrait en faire une description qui retarderait trop l’intérêt de cette histoire, et que les gens pressés ne pardonneraient pas. Le carreau rouge est plein de vallées produites par le frottement ou par les mises en couleur. Enfin, là règne la misère sans poésie ; une misère économe, concentrée, râpée. Si elle n’a pas de fange encore, elle a des taches ; si elle n’a ni trous ni haillons, elle

3 est un texte extrait du journal de bord de Christophe Colomb et a pour titre « Colomb débarque aux Bahamas » Colomb parle de ses hommes en des termes peu flatteurs voici un extrait du texte : « J'ai donné à quelques-uns d'entre eux quelque bonnets rouge et quelques perles de verre et beaucoup d'autre choses de peu de valeur dont ils eurent grand plaisir ». Il agit en colonisateur : « Ils doivent être bons serviteurs et industrieux » et pense aussi à imposer la religion chrétienne : « je crois

cavaliers avec des "chiens conduisant un troupeau le long d'un champ", le chien symbolise la fidélité au maître. – Les soldats restent impassibles, à la fois silencieux et immobiles → image poétique : "la brise du printemps qui passait sur les bonnets à longs poils des grenadiers attestait l'immobilité des soldats" pour mettre en valeur cette attitude. C - La peinture réaliste de la scène Balzac peint la réalité de son époque, le xixe siècle. – Les lieux sont réels → le palais des Tuileries

simple. Hugo apparaît comme l'instigateur d'une révolution dans l'utilisation des mots. S'il continue d'utiliser une forme classique de vers les « alexandrins carrés », il provoque une révolution dans le choix des mots: « vent révolutionnaire », « bonnet rouge », vers 27 et le mot « tempête ». II)Un texte polémique - style provocateur car mention des plus grands auteurs français mais pour les critiquer, nombreux points d'exclamation traduisent engagement de Hugo. - paroles retranscrites au discours

couché sur elle. Derrière cette dernière une femme, vêtue d’une robe violette et d’un bonnet rose à la main posée sur l’épaule d’un enfant qui est lui aussi tourné vers la basilique St Pierre. Cet enfant a les mains liées comme si il priait. Une autre femme venant de la droite « chasse »deux enfants nus en levant sa main droite. A droite de ce premier plan, on aperçoit dans l’ombre un homme vêtu d’un habit rouge faisant passer des vases précieux remplis d’eau. Une chaine humaine semble se former

impersonnelle et anonyme. Cela appuie la démesure du carnage. Pour appuyer la violence des images, dans ce poème les couleurs ont une place importante. Elle sont vives : «crachats rouge de la mitraille» , « écarlates» les sonorités aussi sont rudes, il y a beaucoup d'allitération de « r », « f » et « s »: « crachat », « rouge »,mitraille », écarlate », »verts », « roi », « raille », « croulent » « sifflent », « infini », « ciel », « masse », « feu », « folie », « cent », « fumant » Dans cette