Le Bourgeois Gentilhomme Portrait

rapidement. Molière le met à l!affiche en remplacement du Tartuffe, interdit. Dom Juan, héros complexe et mythique exercera une véritable fascination sur les foules. Le Misanthrope, Le Médecin malgré lui, Amphitryon, George Dandin, L!Avare, Le Bourgeois gentilhomme, Les Fourberies de Scapin, Les Femmes savantes… Dans son dernier chef-d!œuvre, Le Malade imaginaire, pièce comique mais hantée par la présence de la mort, Molière se moque de la médecine. Au cours de la quatrième représentation, il est pris

divertir, à faire rire (→ comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (castigat ridendo mores, dit l’adage latin). Pour Molière, il s’agit de « corriger les hommes en les divertissant »

tout, quand Frontin rend visite à la Baronne afin de recevoir d’elle un peu d’argent pour son maître qui prétend avoir tout perdu, elle ne peut pas s’empêcher de lui donner un diamant que lui a justement offert Turcaret ; elle reçoit en échange le portrait d’une comtesse que le Chevalier a connue. Arrive Flamand, le valais de Turcaret. Il transmet à la Baronne un billet de dix mille écus de la part de son maître, vivement remercié. De même, le Chevalier se montre très reconnaissant, à tel point qu’il

délimiter les lieux communs de la poétique on a tendance à limiter cela à la poésie versifiée. Ce préjugé vient du 17éme siècle (classicisme) qui cherche à imposer des règles d’écriture très strictes (alexandrins, rimes riches…). Dans Le bourgeois gentilhomme, Molière remet en cause cette classification entre poésie et prose « tout ce qui n’est point vers est prose, et tout ce qui n’est point prose est vers. » (Figure de l’antimétabole « il faut manger pour vivre et non vivre pour manger »). Dans

conjugales, y règle sans doute quelques comptes ! « Le Misanthrope » ne rencontre pas de succès immédiat mais est tenu pour une œuvre exceptionnelle. Molière continue d’écrire différents types de pièces telles que « L’Avare » ou encore « le Bourgeois Gentilhomme »…Madeleine Béjart décède en 1672 et Molière un an plus tard lors d’une représentation du « Malade Imaginaire ». 2 – « Le Misanthrope » [pic] Paris

Sommaire « Chanson d’après-midi » de Charles Baudelaire Ce poème se présente donc comme une sorte de portrait quelque peu atypique dans sa forme, d'une femme sensuelle et charmeuse Si la sensualité est l'une des caractéristiques évidentes de cette femme, on constate cependant qu'elle est loin d'être la douce maîtresse prête à tout pour le plaisir de son amant. L'étude de son portrait révèle une ambiguïté étrange et menaçante Cette femme étrange semble pourtant fasciner totalement le poète et

qui soulignent l’omniprésence du personnage ? Quels sont les défauts du personnage ? Comment et par quelles figures de style, procédés le personnage est-il caricaturé ? L’auteur juge-t-il son personnage ? Si oui, où et comment ? Quel est le ton du portrait ? Ce genre de personnage existe-t-il encore aujourd’hui ? A votre avis, quelle fut la réaction d’Arrias ? B. Lecture Des femmes « Il y a des femmes déjà flétries, qui par leur complexion1 ou par leur mauvais caractère sont naturellement la ressource

l'expérience théâtrale des élèves de seconde 5 ? Un simple questionnaire nous en donnera une idée : Quelles pièces avez-vous étudiées les années précédentes ? Pièces citées : Le Médecin malgré lui ; Les Fourberies de Scapin ; L'Avare ; Le Bourgeois Gentilhomme ; Les Femmes savantes ; Le Cid. Avez-vous déjà assisté à une représentation théâtrale ? a) dans le cadre de l'école : 20 élèves sur 36 ont assisté à une représentation théâtrale en matinée scolaire ou dans le cadre d'un club théâtre présentant

pièce est un énorme pas en avant pour le monde du théâtre c’est le début de la liberté et de la dissolution des limites. La seconde pièce est de loin la plus controversée de Molière, « Dom Juan », perpétue les critiques en effet elle y dresse le portrait d’un libertin matérialiste et imbu de sa personne, il tourne en dérision le sujet sérieux qu’était le foi en Dieu et franchies toutes les limites. La dernière réplique de cette pièce est des plus significatives : « Voilà par sa mort un chacun satisfait

jusqu’à ce que l’on eût retrouvé son acte de baptême, qui établit qu’il a été baptisé le 16 août 1645 à l’église Saint-Christophe, dans l'île de la Cité. Il était le fils aîné de Louis de La Bruyère, contrôleur général des rentes de l’Hôtel de Ville, bourgeois de Paris, et d’Elisabeth Hamonyn. Son trisaïeul paternel, Jean de La Bruyère, apothicaire dans la rue Saint-Denis, et son bisaïeul, Mathias de La Bruyère, lieutenant civil de la prévôté et vicomté de Paris, avait joué, au xvie siècle, un rôle actif