Le Bruit et la Fureur

personnage qui doute b) Un personnage qui tente de se convaincre et de légitimer le crime c) Un personnage agité et à la limite de la folie (résurgence de la fureur antique) III/ Importance de la dramaturgie pour représenter la violence et l’horreur a) Représentation du crime b) Une dramaturgie construite autour du bruit et du cri c) Importance du regarde d’Egisthe, signe de la culpabilité et des remords d’Electre Lucrèce Borgia (1833), Victor Hugo, Acte III, Scène 1 & 2

placer Henry dans un orphelinat catholique pour garçons dans lequel Henry, certainement atteint d’un trouble neurologique, subit les moqueries et le harcèlement de ses camarades et de ses professeurs. Il est surnommé « Le Fou » parce qu’il émettait des bruits particuliers avec sa bouche et faisait des gestes totalement discordants. Il montre par ailleurs une passion pour la guerre de Sécession, très présente dans la mémoire des adultes qui l’entouraient, cette passion se retrouvera dans son oeuvre. À l’âge

et revêts-toi de toutes les fureurs du Caucase. Tous les crimes qu'ont vus le Phase et le Pont, Corinthe les verra : je roule dans mon esprit des projets affreux, inouïs, abominables, qui doivent épouvanter à la fois le ciel et la terre. Blessures, meurtre, membres épars et sans sépulture, qu'est-ce que cela? mes premiers essais de jeune fille. Je veux que ma colère aujourd'hui soit plus terrible; femme et mère, il me faut de plus grands forfaits. Arme-toi de fureur, et prépare tout ce que tu as

Grèce. Aricie Ce n'est donc point, Ismène, un bruit mal affermi ? Je cesse d'être esclave, et n'ai plus d'ennemi ? Ismène Non, Madame, les dieux ne vous sont plus contraires Et Thésée a rejoint les mânes de vos frères. Aricie Dit−on quelle aventure a terminé ses jours ? Ismène On sème de sa mort d'incroyables discours. On dit que, ravisseur d'une amante nouvelle, Les flots ont englouti cet époux infidèle. On dit même, et ce bruit est partout répandu, Qu'avec Pirithoüs aux enfers

conduire vers la leçon. A2 Mais encore, pour mieux faire comprendre son propos, le narrateur nous propose un système d’oppositions systématiques. I2 Les champs lexicaux se répondent en s’opposant : -Le Torrent est associé au champ lexical du bruit : hyperboles « grand bruit », « grand fracas ». -Au contraire, la Rivière est associée au champ lexical de la tranquillité : « doux », « paisible », « tranquille ». -Le champ lexical de la peur « tomber », « trembler », « menaçante ». - S’oppose au champ lexical

patienter encore un peu avant d'être vengés. ⁃ 6ième Sceau ⁃ Lorsque l'agneau brise ce sceau, il y a un grand tremblement de terre, le Soleil est devenu noir, la Lune se rougit, les astres tombent sur la Terre et tous les hommes se cachent de la fureur de Dieu et de l'agneau. Quatre anges se disposent au quatre coins de la Terre et choisissent 144 000 personnes qui seront marqués sur le front du symbole de Dieu et les autres imploreront la pitié divine. ⁃ 7ième Sceau ⁃ Un silence d'une demi-heure

THESEE Perfide, oses−tu bien te montrer devant moi ? Monstre, qu'a trop longtemps épargné le tonnerre, Reste impur des brigands dont j'ai purgé la terre, Après que le transport d'un amour plein d'horreur Jusqu'au lit de ton père a porté sa fureur, Tu m'oses présenter une tête ennemie ! Tu parais dans des lieux pleins de ton infamie, Et ne vas pas chercher, sous un ciel inconnu, Des pays où mon nom ne soit point parvenu ! Fuis, traître ! Ne viens point braver ici ma haine, Et tenter un

VI Une louve je vis sous l'antre d'un rocher Allaitant deux bessons : je vis à sa mamelle Mignardement jouer cette couple jumelle, Et d'un col allongé la louve les lécher. Je la vis hors de là sa pâture chercher, Et courant par les champs, d'une fureur nouvelle Ensanglanter la dent et la patte cruelle Sur les menus troupeaux pour sa soif étancher. Je vis mille veneurs descendre des montagnes Qui bornent d'un côté les lombardes campagnes, Et vis de cent épieux lui donner dans le flanc. Je la vis

auriez−vous rassemblé votre armée ? MATAMORE. Mon armée ? Ah, poltron ! Ah, traître ! Pour leur mort Tu crois donc que ce bras ne soit pas assez fort ? Le seul bruit de mon nom renverse les murailles, Défait les escadrons, et gagne les batailles. Mon courage invaincu contre les empereurs N'arme que la moitié de ses moindres fureurs ; D'un seul commandement que je fais aux trois parques, Je dépeuple l'état des plus heureux monarques ; Le foudre est mon canon, les destins mes soldats : Je

ironique et donc plus efficace de la guerre ? [plan en deux parties, avec détail des sous-parties dans chacun des axes proposés] Nous verrons d’abord que la guerre est vue par les yeux de Candide, qu’elle est marquée par le bruit et la fureur et que cette stratégie narrative a pour objectif de gérer l’atrocité. Nous montrerons ensuite que ce passage est une parodie d’épopée dans laquelle la valorisation initiale des hauts faits d’arme laisse rapidement la place