Le Burlesque Dans Candide

Dézert tient le rôle d’un « figurant ». 4. Le père de Jean Dézert est seulement « sous-directeur ». Cela peut sembler être un détail, mais cela montre néanmoins qu’il s’agit d’un personnage toujours caractérisé par le moyen, le médiocre. L’image burlesque d’un individu qui « compt(e) les réverbères » à défaut de compter les « étoiles » va dans le même sens, ainsi que l’image du personnage figurant, prêt à adopter toutes les identités pourvu qu’il reste anonyme. On peut lire ici la satire d’une

classicisme s’installe. • Maintient des tendance baroques : Charme de cette période : la diversité. Baroque est encore présent dans les courants précieux illustré par Saint-Amant, Vincent Voiture et Madeleine de Scudéry (roman). Il marque le burlesque pratiqué par Scarron et Cyrano de Bergerac (théâtre). Il imprègne la pensée libertine, sensible au relatif et au hasard pour mieux saisir le monde. • La recherche de vérité Pascal et Descartes annoncent la pensée classique éprise de certitudes

crédibilité. ➢ Deux grandes traditions Romanesques : a) Courant précieux : (Amour idéal, roman interminable) ➢ Honoré d’Urfé « Astrée » 1627 ➢ Mme Scudéry « le grand Cyrus » et « Le Clélie » b) Romans burlesques et satiriques Scarron «le roman comique» Eugénie Grandet Félix Grandet a été tonnelier. Il a réussi à faire fortune en profitant de l’époque instable. Il fait croire à sa femme et à sa fille Eugénie

proprement dits (y compris les contes merveilleux et les contes religieux) ; les contes facétieux ; les contes à formule. Il existe en fait d’autres types de contes bien connus : les contes philosophiques (les plus célèbres sont ceux de Voltaire : Candide, Zadig...) qui sont des constructions destinées à illustrer un point de vue ; les contes fantastiques nés au XVIIIe siècle avec le Diable amoureux de Cazotte qui jouent sur la confusion entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel ; les contes explicatifs

monde très proche de ces stéréotypes. Le risque est grand car les plus têtus se complaisent dans cette mascarade, mais l’effet recherché gagne également en ampleur : on se pose véritablement des questions face à ces personnages tantôt à la limite du burlesque, tantôt à la 4 frontière du tragique. Les deux chemins choisis sont donc excessivement différents, et pourtant, les deux œuvres racontent la même « histoire », partagent le même objectif. Cet objectif, quel est-il ? Pour répondre à cette question

deux trois fois dans le roman, de l’auteur qui donne son «  âme au diable » pour reprendre un titre de Jean- Pierre Gattegno. Séduire pour mieux convaincre permet de vendre des livres et donc de faire beaucoup de signatures, dédicaces pour des âmes candides, rêveuses, en mal, elles aussi, de reconnaissances. De la prostitution à la campagne politique, Jean – Pierre Gattegno, regarde cela avec beaucoup d’ironie, de distance critique et amusée à la fois. Il semble nous inviter à prendre cela avec davantage

III- La violence du combat, une parodie des romans de chevalerie (l. 18 à 22)Rabelais cherche à parodier les romans de chevalerie.Accumulation : l. 18 à 22 → violence trop exagéréeComique gras : scène d’empalement → sadismeTonalité burlesque : Au lieu d’être célébré, le courage des soldats est ridiculisé.Conclusion  : La Dive bouteille dans Pantagruel. Parodie de la recherche du Graal par les chevaliers du roi Arthur. Le vin exprime la volonté de rire de tout.ET –

bienveillante. Texte 3 – La guerre picrocholine p. 426 (L/ES/S) OBJECTIFS EN ENJEUX – Étudier l’art du récit. – Dégager la double critique de la guerre et de la religion. LECTURE ANALYTIQUE désastre. La description du combat relève du massacre burlesque. Les termes techniques du lexique médical, qui traduisent la connaissance du corps pour mieux le soigner, sont détournés ; les ennemis sont décrits à travers le corps meurtri et désacralisé ; aucune partie du corps n’est épargnée, de la tête « il

Ovide, Les Métamorphoses, « Arachné » Prolongements 6 S O M M A I R E Séquence 7 Les pouvoirs du discours Bossuet, Sermon du mauvais riche V. Hugo, Discours sur la misère TEXTE 2 Voltaire, Candide D’UN TEXTE A L’AUTRE 2 A. Césaire, Discours sur le colonialisme ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Voltaire, Candide TEXTE 3 Beccaria, Des délits et des peines D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 R. Badinter, Discours à l’Assemblée nationale ANALYSE D’IMAGE W. Ronis, Rose Zehner TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES

à rédiger une petite nouvelle, Le tempérament de Saint-Preux, suite burlesque au roman de Rousseau. Julie n'est pas morte et, à Clarens, où l'on parle toujours autant de vertu, Saint-Preux est devenu à la fois l'amant de Claire et de Julie; pour faire bonne mesure, le vigoureux jeune homme s'est encore assuré les faveurs de la servante Fanchon. Le parfait Wolmar, bien sûr, n'a rien vu, et le récit s'achève sur la lettre candide qu'il adresse à Milord Édouard : «Tout va toujours ici le mieux du monde