Le But Dun Artiste Est Il De Plaire

les suivantes rcit bref, peu dactions, peu de personnages personnages rgne animal (ou vgtal) mais caractristiques dhumains anthropomorphes allgories (exprimer une ide, qqch dabstrait grce des images, des scnes, des lments concrets) et symbolique but didactique et morale apologue (petit rcit moral). Morale implicite ou explicite, en dbut ou en fin de texte construction antithtique quantit doppositions, structure duelle ( et ) souvent pour marquer lopposition entre les personnages peu de happy-end

I Au dbut de la matine Scne 1 Arlequin, valet dAraminte, annonce Dorante quil va lintroduire auprs de Marton, la suivante dAraminte. Scne 2 Dorante retrouve un de ses anciens valets, Dubois. On apprend que, jeune bourgeois de belle mine, mais fils dun avocat ruin, il est amoureux fou dAraminte, veuve roturire fort riche, et veut se faire engager par elle comme son intendant sur la recommandation de son oncle procureur, M. Remy. Dubois, se faisant son complice, se charge doeuvrer en sa faveur, de

romans. Face aux refus des diteurs (une demi-douzaine par mois) et aux menaces de ses parents, il fut sur le point dabandonner la littrature dix ans et demi, lorsquil croisa Greta Garbo dans un restaurant. Du hasard de cette rencontre naquit lide dun entretien imaginaire. De larges extraits en parurent dans le courrier des lecteurs de Tl-7-jours. Cette premire publication inespre sauva ses ambitions dcrivain. Il reprit donc son stylo, ses enveloppes et le fichier des diteurs parisiens. Aprs quelques

autobiographie) qui devint rapidement sa meilleure amie. Aprs la Premire Guerre mondiale, la famille Beauvoir fut contrainte par manque de ressources de quitter lappartement cossu du boulevard Raspail pour un autre appartement, sombre, exigu et au sixime tage dun autre immeuble du mme boulevard. Simone en souffrit, dautant plus quelle voyait les relations entre ses parents se dgrader. Son pre dut sincliner quand elle dcida de poursuivre ses tudes au lyce. Elle y brilla dans plusieurs matires littrature, grec

lintrt psychologique (page 27) lintrt philosophique (page 45) la destine de luvre (page 48) ltude dun passage (page 50). Bonne lecture Rsum Premire partie Chapitre 1 Prsentation de Verrires, petite ville de Franche-Comt. Chapitre 2 En 1830, son maire est lultraroyaliste M. de Rnal. Chapitre 3 Le cur est le vieil abb Chlan. M. de Rnal dcide dengager comme prcepteur de ses enfants Julien Sorel, le fils dun charpentier. Chapitre 4 Prsentation du charpentier et de Julien, jeune homme instruit par de nombreuses

annonce quil pourra lui faire voir son fils grce un artifice. Avant cela, il demande Dorante de partir (sc.2). Dorante parti, Alcandre commence par raconter Pridamant que son fils a vcu une vie de picaro depuis son dpart et quil sest mis au service dun brave dans la rgion de Bordeaux (sc.3). ACTE II Au dbut du 2me acte, Alcandre et Pridamant regardent lartifice du magicien grce auquel ils peuvent voir les deux fantmes vains qui reprsentent Clindor et son matre Matamore (sc.1). Clindor coute avec complaisance

contenus et de style de la période classique. Ce texte prend pour exemple la tragédie classique. Il n'y a plus de pôles élévés ou bas. Le texte se strucure autour du terme voir, le roman devient témoin de la réalité. Le roman n'est plus obligé de plaire mais une de ses fonctions est d'obliger à regarder la réalité. Toujours une éthique de romancier ''libérté et franchise''. Ne rien cacher c'est montrer le peuple. Le peuple est une classe laborieuse et ouvrière. On rejette les interdits, les normes

Art du silence (l') • Art et l'autre (l') • Art japonais • Art perdu (un) • Artiste critiqué par son oeuvre (l') • Artistes de la montagne* • Artistes s'exposent (Les) • As de pique (l') • Ascendance, romance et descendance • Asperge (l') • Asphyxie des villes (L') • Assis ou debout • Association de menteurs • Association lucrative sans but • Astrologie niçoise • Astuce du pro (L') • Atelier numéro huit (l') • Athlète

modernisée) I. César, voyant un jour, à Rome, de riches étrangers qui portaient entre leurs bras de petits chiens et de petits singes auxquels ils prodiguaient les caresses, leur demanda si chez eux les femmes ne font point d’enfants. Cette question, digne dun homme d’état, était la censure de ceux qui épuisent pour des animaux l’affection et la tendresse que la nature a mises en nous, et qu’on ne doit exercer qu’envers les hommes1. N’en peut-on pas dire autant du désir d’apprendre et de connaître que notre

douloureux du chercheur, qui veut non pas le bonheur et la paix, mais la vérité, la vérité à tout prix, fût-elle terrible et hideuse et il marche tout seul d'un pas souvent mal assuré, l'âme troublée, la conscience angoissée, le cœur déchiré « vers le but éternel du Vrai, du Beau, du Bien- ». Pour Nietzsche la question, posée en ces termes, était résolue d'avance il eût été objective de cette croyance) ; : leurs cette foi prouve quoi infidèle à ses instincts les plus forts, il eût agi