Le Cabinet des Antiques

l'espionne sans relâche et découvre la présence de Luigi, qu'elle apprend à toutes ses compagnes. Elle n'apparaît sous ce nom que dans l'édition Furne (auparavant, ce personnage s'appelle Mlle de Monsaurin). Son histoire est racontée dans Le Cabinet des Antiques, où elle est devenue Mme Camusot de Marville ; et elle joue un rôle important dans Splendeurs et misères des courtisanes et dans Le Cousin Pons. – Louis VERGNIAUD : soldat napoléonien, il est le témoin de Luigi Porta à son mariage. Il n'apparaît

principaux les Martins, les Smith ne sont que secondaires. De plus cette scène d’exposition ne donne aucune information sur la pièce à venir. La conversation n’est pas fertile ; madame Smith parle de ce qu’elle a mangé, confie que ça la fait aller aux cabinets… Elle monopolise la parole et Mr Smith se contente de claquer la langue. De plus la description est des plus saugrenu, l’horloge anglais sonne sept coup anglais tandis que madame Smith annonce les neuf heures. Ionesco fait donc cette scène capitale

sous-tendu par un projet délibéré de préservation, de conservation. Les collections, qui se différencient du cabinet de curiosités, précèdent le musée. Le cabinet de curiosités appartient au Moyen Âge ; il est hétéroclite et associe création de la nature (rare, exotisme, bizarre, tératologie) et créations des hommes (monnaie, bijoux, objets antiques). Dans les pays du nord les cabinets de curiosités ont survécu jusqu'au XVIIIe siècle. Ils seraient nés à la Renaissance italienne. La démocratisation

Le crâne… Un des premiers éléments que voit le profane en entrant dans le cabinet de réflexion et qui le conforte dans sa seule certitude qui est celle de « mourir un jour ». Ce crâne, symbole de mort, attire l’œil du profane qui va mourir d’une mort symbolique afin de renaitre dans un monde nouveau. Mais, ce crâne, au delà du fait de représenter une mort certaine, ne symbolise-t-il pas également autre chose ? Nous ne pouvons pas passer outre certaines représentations symboliques du crâne. Car

Le Cabinet des Antiques Honoré de Balzac Publication: 1839 Source : Livres & Ebooks A MONSIEUR PURGSTALL, LE BARON DE HAMMER- Conseiller aulique, auteur de l’Histoire de l’Empire ottoman. Cher baron, Vous vous êtes si chaudement intéressé à ma longue et vaste histoire des mœurs françaises au dixneuvième siècle, et vous avez accordé de tels encouragements à mon œuvre, que vous m’avez ainsi donné le droit d’attacher votre nom à l’un des fragments qui en feront partie. N’êtes-vous

livre est un instrument sacré : XIX siècle sacralisation du livre Louis Liard 1883 = lecture aux jeune enfant Ecrivain : maître de morale Maître de patriotisme Matérialité du livre = sacralisation du livre Présentation virile Cabinet de lecteur = petite boutique livre à la location Messe, mort, sommeil Aux livres : plaisir, distraction Présentation des femmes : les femmes qui lisent sont dangereuses Nouvelle dimension : l’auteur (encore sacralisation)

mot ; il sonne très bien dans l’arabe, à cause de son laconisme sentencieux ; il doit être écrit à l’heure qu’il est et j’aurai le plaisir de vous le remettre, dimanche.» Plus tard, en 1839, Balzac remercia le baron Hammer en lui dédiant “Le cabinet des antiques”. Rentré à Paris, avec le précieux papier, il allait le faire figurer dans une prochaine édition des “Contes philosophiques”. Celle-ci, la cinquième, s’annonça bientôt. Elle devait faire partie d’un ensemble de toute l’œuvre de Balzac, “Les

écrivain, fréquente les salons libéraux et romantiques parisiens , Il y rencontre Hugo, Musset et Stendhal. La monarchie de Juillet lui permet de faire valoir ses idées libérales. Il enchaine les hautes carrières, en 1831, Il est nommé chef de cabinet du ministre du commerce et des travaux publics, en 1832, directeur des Beaux-arts. En 1834, Il devient Inspecteur général des Monuments historiques. Apres la révolution de 1848, Mérimée se rallie au second Empire et devient hostile aux idées républicaines

mort de notre Maître Hiram. Devenue maîtresse par substitution, je renaissais alors même que j’apprenais que la parole était perdue. Je vivais un état de transition dans la souffrance et les larmes. Ce décor de tristesse et de deuil m’a ramené au cabinet de réflexion du premier degré. Là où dans le silence de la crypte l’impétrante que j’étais, avait ressenti le besoin d’entreprendre le voyage en profondeur de mon être. Admise au 4eme degré, je suis toujours dans l’obscurité, je retrouve la

voyage pour connaître, et pour ramener de ses déplacements des objets qu’on va ensuite exposer dans la maison une fois rentré, dans une pièce qu’on appellera le cabinet de curiosité. On peut ramener des objets archéologiques ou artisanaux, des fossiles ou bien des cailloux (ce qu’on appellera des « naturalia »). On a l’idée que le cabinet de curiosité sera un microcosme. C’est une culture de l’accumulation. Le voyageur humaniste dit toujours qu’il cherche le point d’équilibre entre l’ « utilitas »