Le Canon de Kra

possesseur des prouesses dignes d’un film américain, comme encaisser parfaitement le choc d’une chute de plus de 5 mètres ou porter une voiture de police au dessus de sa tête et la lancer sur les passants… À la fin de l’album Le canon de Kra de Yoko Tsuno, un canon géant monté sur des rails de chemin de fer se met en mouvement et se déplace de plusieurs mètres sous la force de recul de son tir, après que Yoko et ses amis en ont saboté les freins. Ce phénomène paraît tout à fait possible, connaissant

quelques sujets de Côte d’Ivoire au fait de l’art moderne, est amplement mérité. Christian Lattier élabore ses sculptures tout en volume à mains nues avec un matériau éminemment linéaire, le fil de fer et la corde de sisal. Il bouleverse tous les canons et toutes les techniques conventionnelles que l’art sculptural a connus à ce jour. Un concept qu’il justifie en ces termes « Si j’avais fait du bois, on m’aurait accusé de copier mes ancêtres. Si je m’étais mis à tailler la pierre, on aurait dit que

textuel. Ce matin elle a dit à une dame qui venait à la maison je suis la poëtesse, parce qu'on lui avait lu ta lettre, et, en ce moment elle est en train d'affoler la nini avec une de ses poésies qui commence par La jeune fille est tombée dans le canon et ça n'est qu'un commencement! Ça me prépare une belle vieillesse. Lu quelques Johan Bojer 4 et Knut Hamsun5, notamment un en anglais parce que non encore traduit en français, Growth of the soil 6 qui est tout à fait Regains. Relis Guerre et Paix

d’électricité, il connaît parfaitement le fonctionnement de l’économie allemande. C’est en principe un modéré, son rôle sera véritablement déterminant dans l’effort de guerre de l’Allemagne. Il va contrôler une agence centrale qui organisera et dirigera KRA. Il est chargé de convaincre l’industrie allemande de se transformer dans les délais les plus brefs en économie de guerre. Il donnera à l’Allemagne les moyens de résister sur deux fronts : Est et Ouest. Il est chargé de faire gagner du temps, car la

diamantés, BAUDELAIRE. Assoter : (a-so-té), v. t. 1° Infatuer d'une ridicule passion 2° S'assoter, v. pr. Il s'est assoté d'une femme qui le ruinera. Astragale : (a-stra-ga-l'), n. m. Terme d’artillerie. Espèce d'anneau ornemental qui était sur le canon, à un demi-pied prés de la bouche. (Furetière 1690) Asyndète : (a-sin-dè-t'), n. f. Terme de grammaire. Synonyme de disjonction, sorte d'ellipse par laquelle on retranche les conjonctions simplement copulatives qui doivent unir les parties d'une

donnez pas à ces brutes, à une minorité qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves, enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser, qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes machines avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines. Vous n’êtes pas des esclaves. Vous êtes des hommes

TROYAT. Le Cahier (Les Héritiers de l'avenir). Paris, Flammarion, 1968. In-8, broché. 60 € ÉDITION ORIGINALE. Un des 55 exemplaires sur vélin pur fil du tirage de tête. Envoi autographe signé à Armand Flammarion. Henri TROYAT. Cent un coups de canon (Les Héritiers de l'avenir). Paris, Flammarion, 1969. In-8, broché. 100 € ÉDITION ORIGINALE. Un des 55 exemplaires sur vélin pur fil du tirage de tête. Envoi autographe signé à Armand Flammarion. Henri TROYAT. Les Désordres secrets (Le Moscovite)

Marne (5-9 septembre 1914) arrête l'avancée allemande. Enormes pertes dès le début du conflit. Les infanteries attaquent frontalement en rase campagne, après d'épuisantes marches, s'exposant à la puissance de feu des armées modernes (précision des canons de 75mm français, de 77mm allemands, longue porté des fusils Lebel et Mauser, mitrailleuse automatique Maxim). En août-septembre 1914 : 235 000 soldats français tués (1/6e des pertes totales de ces premiers mois). Avancée dévastatrice de l'armée allemande

avait envie d'écrire à propos de ce qu'il lisait et de ce qu'il percevait. L'occasion lui en fut donnée par la création par Doyon de la revue “La connaissance”. Il y publia un article consacré à Max Jacob et un autre consacré à Laurent Tailhade. Simon Kra, un vétéran du métier des lettres parisiennes, l'engagea pour diriger, à l’âge de dix-neuf ans, les éditions du Sagittaire où il éditait à tirage très limité des ouvrages de Sade et d’autres auteurs voués aux enfers des bibliothèques. Il collabora à

se poser. C'était comme s'ils cheminaient sur des traces invisibles qui les conduisaient vers l'autre bout de la solitude, vers la nuit. Un seul d'entre eux portait un fusil, une carabine à pierre au long canon de bronze noirci. Il la portait sur sa poitrine, serrée entre ses deux bras, le canon dirigé vers le haut comme la hampe d'un drapeau. Ses frères marchaient à côté de lui, enveloppés dans leurs manteaux, un peu courbés en avant sous le poids de leurs fardeaux. Sous leurs manteaux, leurs habits