Le Caravage

Ange ou Léonard De Vinci sont les disciples immédiats des concepts et de l'éducation humaniste. Pourtant l'art du Cinquecento, techniquement tout aussi remarquable, paraît plus tendu, plus crûment réaliste, en proie au doute (Le Rosso, Véronèse, Caravage...). En effet la quête d'harmonie semble avoir échoué au XV° siècle du fait des divisions religieuses. Les critiques humanistes à l'égard des pratiques religieuses catholiques font naître des courants «protestants » et des guerres de religions

principe du clair-obscur : Le clair-obscur est une technique picturale dans laquelle des parties claires côtoient des parties très sombres, créant des effets de contrastes parfois violents. Ce procédé a été mis au point dès la Renaissance, par Le Caravage et ses suiveurs, puis par des peintres des écoles du nord, notamment Rembrandt. On peut distinguer dans le tableau plusieurs façons d’organiser ce clair-obscur,cette alternance ombre/lumière : -le premier quart du tableau (du paon jusqu’à la table)

conditions de possibilité de la représentation en peinture du corps non civilisé, ignoble, populaire, quotidien, naturel… Mais on n’est pas encore pour autant dans la manifestation d’un intérêt pour l’existence des humbles… La madone des pèlerins, du Caravage : un style haut pour une madone maniériste (contrapposto remarquable), style bas pour les pèlerins …  La culture classique légitime la hiérarchie sociale, sous le couvert d’une inscription en nature, d’une naturalisation des catégories théoriques

Explication linéaire : Lamartine, « Le Lac », v.1-22. LECTURE CONTEXTUALISATION Les Méditations poétiques est un recueil constitué de 24 poèmes. Ce fut un succès triomphal, sans précédent dans l’histoire littéraire. Lamartine publiera en 1823 les Nouvelles Méditations poétiques, et la dernière édition de 1849 portera à 41 le nombre de poèmes. Ce recueil est reconnu comme le premier recueil poétique du romantisme français. La forme est classique, Lamartine respecte les règles de la versification

en Italie A) Influences française et des œuvres du Louvre : Influences néo-classique avec son maître Guérin. Sa passion pour les chevaux s’accentue avec son maître Horace Vernet. Dans les copies qu’il fait au Louvre il s’inspire de Carrache, Caravage, Rembrandt et surtout de Rubens. Sa peinture est violente à cause de son époque, c’est-à-dire la période révolutionnaire et napoléonienne. Il rompt avec la tradition française : il insuffle le mouvement, les coups de brosse en pleine pâte, pour

objet inanimé est évoqué comme un être vivant : ici, le château, mélancolique, a un front sévère, comme un être humain. [3] Clair-obscur : en peinture, procédé mettant en opposition des éléments clairs qui se détachent sur un fond très sombre (cf. Caravage, manuel p.218-219). Poe, qui écrit un texte sur la peinture, lui emprunte donc des procédés : ainsi le portrait ovale (celui décrit dans le texte) et « Le portrait ovale » (le texte lui-même) utilisent le même procédé. [4] Modalisation : ce procédé

vie. » Les artistes baroques ont traduit avec leurs propres outils la dualité de notre humaine condition entre vie et mort. L’esthétique du clair obscur, en peinture et l’antithèse en littérature. Le dialogue de la lumière et de l’ombre chez le Caravage, Rembrandt Georges de la Tour, Zurbaran, Vélasquez, fait éclater la précarité de la vie. Ce duo inséparable de la lumière et de l’ombre se prête à toutes les interprétations symboliques. b)Mais alors comment surmonter le tragique de l’existence 

00 14 nouveau MAITRES ESPAGNOLS : DU GRECO A GOYA Le Greco (1541–1614) et ses contemporains Un maniériste à Tolède Juan Sanchez Cotàn, Felipe Ramirez Francisco Ribalta, Juan Bautista Maino… José de Ribera (1591-1652) Sur les traces du Caravage Ribera à Naples Francisco de Zurbaran (1598-1664) Le ténébrisme espagnol Naturalisme hallucinant Diego Vélasquez (1599-1660) Les tableaux de genre Au service de Philippe IV Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682) Séries monastiques et monde picaresque

Très grande maîtrise technique. Elle se sert de l’art pour affirmer ses croyances face à celles des protestants : Ange figure caractéristique, histoire des saints. La liturgie et la musique accentuent l’effet de splendeur (tenue des prêtres) Caravage :L’incrédulité de Saint-Thomas, vers 1602 – 1603 huile sur toile,107 X 146 cm, Postdam. Illustration littérale d’un passage de la Bible. Scandalise quand même : les apôtres sont agés, le geste est bizarre. Clair obscur. *et du souverain Arcs de

dans sa dignité d’objet esthétique ne datent évidemment pas du XIXe siècle. On tirerait profit à examiner ce que l’on entend par le « naturalisme » de Vélazquez ou le « réalisme » du Caravage, dans une moindre mesure de Ribera, pour mesurer d’éventuelles filiations (Courbet mérite-t-il son surnom de « Nouveau Caravage » ?) et surtout l’infléchissement des termes dans la critique d’art du XVIIe au XIXe siècle, puis la spécificité de leur acception littéraire : Zola reprend après Castagnary le terme