Le Caravage

 de   peintre   la   rencontre   d'Utrecht   Gerrit   van   Honthorst   et   de   Hendrick   Terbrugghendes,   maîtres   hollandais   de   l'école     du   grand   peintre   italien   Caravage.   L'influence   de   cette   école   marquera   l'ensemble   de   son   œuvre,   la   «  Madeleine   aux   deux   flammes  »   en   étant   un   excellent   exemple,   par   la

multimédia autre que wikipedia et un ouvrage/ revue. Biographie + détail d’une œuvre. La Renaissance italienne : Raphaël Le Primatice Rosso Fiorentino Andrea Mantegna Jules Romain Sandro Botticelli Giorgio Vasari Le Titien Le Bernin Caravage Piero Della Francesca Pontormo Paul Véronèse La Renaissance flamande : Jan Van Eyck Roger Van der Weyden Jérôme Bosch Paul Rubens Pieter Brueghel l’Ancien Jan Vermeer Rembrandt Quentin Metsys Robert Campin Hans Memling La Renaissance

* La scène immerge de l’ombre * Philosophe perdu au milieu de la scène * L’escalier représente l’esprit du philosophe (torsion, vise = tourment intérieur) * Méthode du clair / obscur Crucification de Saint Pierre : de Caravagio (Caravage) en 1600 : * Reproduction réaliste * Obscurité à l’arrière plan * La lumière guide l’œil sur des éléments précis * Un éclairage artificiel. Vanité : Delatour : * Présence du crane dans les peinture * Rappel qu’on meurt

essentiellement pour ses jeux d’ombres et de lumières, il utilise le clair-obscur dans des scènes nocturnes ou la source de lumière ne se résume qu’à une chandelle. Il s’illustre par de nombreux tableaux réalistes et religieux. Il est influencé par le Caravage. Il a été nommé peintre ordinaire du Roi lorsqu’il vient à Paris en 1639. Biographie Vermeer : c’est un peintre hollandais très connus pour ses couleurs vives et pures et par son utilisation de la lumière une fenêtre situé à gauche qui éclaire

femme en flamme à droite, qui lève les bras vers le ciel Elle est brulée vive. Elle implore Dieu le bras levé au ciel. Ses yeux sont en forme de larmes ce qui signifie la souffrance et la douleur. Femme dans les flammes La mise au tombeau - Caravage La mort de Maximilien - Goya (1602-1603) la femme dans les flammes = ( bombes incendiaires) - La fleur blanche unique au centre du tableau Pour les chrétiens : représente la pureté, renvoie à la vierge Marie Dans la mythologie : représente

tue, se servant de son bouclier poli comme d’un miroir pour ne pas la regarder. [pic][pic]Réunissant la thématique du regard, ainsi que celle du miroir, le mythe de Méduse traverse de manière emblématique l’histoire de la peinture: de Léonard au Caravage, aux frères Carrache, à la peinture surréaliste. L’approche de Roland Barthes, forcément pluridisciplinaire, interpelle la philosophie, les arts plastiques, la littérature, l’histoire et leur enseignement. L’exposition présente en vis-à-vis de l’univers

Mais la peinture italienne présente trois panneaux monumentaux de l’Histoire de Nastagio degli Onesti de Sandro Botticelli et la Sainte Famille à l’agneau de Raphaël. Viennent ensuite Paolo Verronèse (Jésus parmi les Docteurs dans le Temple), et le Caravage (David et Goliath). Outre des œuvres des principaux primitifs flamands Rogier Van der Weyden, Hans Memling, Dierick Bouts, le musée du Prado possède une 7 étonnante concentration de tableaux de Jérôme Bosch, de Bruegel l’Ancien (le Triomphe

exposition à la fondation Paul Ricard, « Muses et Hommes », amorce un nouvel élan. Avec un brin d’arrogance et comme pour signifier une continuité avec les maîtres de la peinture, elle y réinterprète un certain nombre d’œuvres de maîtres anciens (Le Caravage, Rubens, Raphaël, Delacroix, David, Gauguin, Manet, Toulouse-Lautrec, Gustave Moreau[4]…), rehaussées de charges critiques, de jeux de mots scabreux, « Femme au bord d’elle même » qui rappellent Marcel Duchamp[Quoi ?]. Miss.Tic l’artiste éphémère

duc de Saint-Simon), les œuvres morales (Maximes du duc de La Rochefoucauld et Caractères de Jean de La Bruyère) mais aussi les contes (notamment ceux de Charles Perrault). Comme Nicolas Poussin sait s’éloigner en peinture à la fois du style du Caravage et du maniérisme, le roman abandonne à la fois le réalisme cru des « histoires comiques » (Charles Sorel, Antoine Furetière, Cyrano de Bergerac) et l’irréalité élégante des longs romans de bergers (notamment les romans pastoraux illustrés par Honoré

appelle « le sommeil de la raison » sont chose rare chez les auteurs et les artistes classiques. Il y a beaucoup moins de visionnaires au siècle de Poussin et de Vermeer (qui est aussi celui de Rembrandt) qu'il n'y en avait eu à celui de Bosch et de Caravage, ou plus tard avec Piranèse et Goya. Mais associée à la vérité chez les classiques, et le plus miraculeusement chez La Fontaine, est cette autre vertu qu'est le naturel, précisément dans cet art littéraire qui requiert travail, calcul, recherche