Le Chat Et Le Renard

technologiques etc. ) XIXe SIÈCLE DARIEN, RENARD, VERNE, Le Voleur L’Ecornifleur L’Ile mystérieuse ; Vingt mille lieues sous les mers XX/XXIe SIÈCLES Béatrice BECK, Léon Morin prêtre Robert BOBER, Quoi de neuf sur la guerre ?; Berg et Beck BOVE, Mes Amis ; Le Pressentiment CAMUS, Le Premier homme CHANDERNAGOR, Couleur du temps Emmanuel CARRERE, La Moustache ; La Classe de neige ; L’Adversaire Philippe CLAUDEL Les Âmes grises François CHENG, Le Dit de Tianyi COLETTE, La Chatte DABIT, L’Hôtel du Nord Jean ECHENOZ

vous présentez, les fables sont les suivants : Le Lion (Livre XI, Fable 1), Le Lion amoureux (IV,1), Le Lion et le Rat (II,11), Le Lion et le Moucheron (II, 9) , La génisse ,la chèvre et la brebis en société avec le lion (I,7), Le Lion malade et le renard (VI,14), Le Lion et L'Ane chassant (II, 19), le Pâtre et le Lion (VI, 1), Le Lion s'en allant en guerre (V, 19). Ces textes ont été choisis pour thème commun, le lion, dont les caractéristiques principales sont sa force, sa crinière lui donne

situation tenues par les personnages principaux : ex du cours : les obsecque de la lionne. Historique : La fable était déjà pratiquée en Mésopotamie, près de deux milles ans avant notre ère. A l’époque on racont déjà brièvement des histoires de renard flatteur, de chien maladroit, (« Le chien du forgeron, n’ayant pu renverser l’enclume, renversa le pot d’eau »), d’éléphant présomptueux (« Un moustique s’étant posé sur le dos d’un éléphant lui demanda si son poids lui était supportable ou s’il devrait

Dit l’ange en tapant des pieds Étranger vous-même Dit l’âne Et il s’envole. » Le chat et l’oiseau Un village écoute désolé Le chant d'un oiseau blessé C'est le seul oiseau du village Et c'est le seul chat du village Qui l'a à moitié dévoré Et l'oiseau cesse de chanter Le chat cesse de ronronner Et de se lécher le museau Et le village fait à l'oiseau De merveilleuses funérailles Et le chat qui est invité Marche derrière le petit cercueil de paille Où l'oiseau mort est allongé

devenus proverbes Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. (Le Corbeau et le Renard, l, 2) La raison du plus fort est toujours la meilleure. (Le Loup et l’Agneau, l, 10) Si ce n’est toi, c'est donc ton frère. (Le Loup et l’Agneau, l, 10) Plutôt souffrir que mourir, c’est la devise des hommes. (La Mort et le Bûcheron, l, 16) Garde toi, tant que tu vivras, de juger les gens sur la mine. (Le Cochet, le Chat et le Souriceau, l, 41) Je plie et ne romps pas. (Le Chêne et le Roseau, l, 22) Il

apparaît. Elle court jusqu'au milieu du plateau ; c'est la Ménagère avec son panier au bras ; une fois arrivée au milieu du plateau, elle laisse tomber son panier, ses provisions se répandent sur la scène, une bouteille se brise, mais elle ne lâche pas le chat tenu sous l'autre bras.)LA MÉNAGÈRE. - Ah ! Oh ! (Le Vieux Monsieur élégant venant de la gauche, à la suite de la Ménagère, se précipite dans la boutique des épiciers, les bouscule, entre, tandis que le Logicien ira se plaquer sur le mur du fond, à

• • Le Berger et son troupeau Le Chameau et les Bâtons flottants Le Chartier embourbé Le Chat et un vieux Rat Le Chat, la Belette, et le petit Lapin Le Chêne et le Roseau Le Chien qui porte à son cou le dîné de son maître Le Coche et la Mouche Le Cochet, le Chat, et le Souriceau Le Cochon, la Chèvre et le Mouton Le Combat des Rats et des Belettes Le Coq et la Perle Le Coq et le Renard Le Corbeau et le Renard Le Corbeau voulant imiter l'Aigle Le Héron Le Jardinier et son Seigneur Le Laboureur et ses

Landercy et R. Renard à travers les propos suivant : « Ainsi s’expliquent nos fautes de prononciation lorsque nous voulons reproduire un message en langue étrangère. Nous le reproduisons mal parce que nous le percevons mal : cette mauvaise perception résulte d’une structuration des éléments informationnels, car dictée par des habitudes sélectives propres à la perception de notre langue maternelle » . L’influence de la langue maternelle atteint un point où, comme l’indique, R. Renard, " si l’on connaît

sortir la nuit, on finit par rencontrer les fantômes (proverbe vietnamien). 11. La fortune envoie des amandes aux gens qui n'ont plus de dents (proverbe espagnol). 12. À grand pêcheur échappe anguille (proverbe français). 13. À la fin le renard sera moine (proverbe français). 14. À la pauvreté toute porte est fermée (proverbe allemand). 15. À l'âne repu, les chardons sont amers (proverbe occitan). 16. À l'homme riche même le diable apporte des cadeaux (proverbe roumain).

POÉSIE SATIRIQUE I. – Le Roman du Renard. 1. Le moyen âge n’aimait pas moins la poésie satirique, que la poésie chevaleresque. De là, le succès des fables (où les animaux représentent, comme chez La Fontaine, les ridicules et les travers des hommes). Nous possédons un grand nombre de fables du moyen âge. Mais nous avons aussi un long poème, où l’on a groupé et relié, par une intrigue, des fables dont le renard est le principal héros : -- c’est le Roman du Renard. 2. Personnages. – Les personnages