Le Chomage Des Jeunes

Ce document a été fabriqué par PDFmail (Copyright RTE Multimedia) http://www.pdfmail.com CHOMAGE ET POLITIQUE DE L’EMPLOI Introduction : Le chômage étant la conséquence d'un déséquilibre sur le marché du travail, les politiques de lutte contre le chômage agissent à la fois sur la demande globale de travail, l'offre globale de travail et sur le fonctionnement même du marché du travail. 1 / la réduction de l'offre de travail : La quantité de travail offerte dans une économie dépend de

| |chômage et l’emploi | |1. Indemniser le chômage | |Instaurer des allocations chômage|Permet de rendre socialement |Le coût économique est élevé. |Accroissement des charges | | |supportable le chômage. |L’aide aux familles de chômeurs |sociales et perte de

contrario, le ralentissement de l’activité économique à partir du milieu des années 1970 s’est traduit par l’élévation du taux de chômage, et cela de façon durable. De la même manière, depuis un quart de siècle le ralentissement de la progression du chômage, voire sa diminution a coïncidé avec des périodes de regain de croissance économique. Toutefois, cette réduction du chômage grâce au retour de la croissance n’est pas pour autant synonyme de plein emploi. Loin s’en faut et même si, depuis la fin des

A nous allons voir la lutte contre le chômage et B nous allons voir la lutte contre l'inflation. I-La politiques économique A) La politique structurelle et la politique conjoncturelle Une politique conjoncturelle est une politique à court terme de l'Etat dans le domaine économique. Limitée dans le temps, elle a pour objectif d'infléchir une conjoncture considérée à risque et ainsi favoriser la stabilité de l’économie : croissance, inflation, chômage, équilibre extérieur.Les politiques conjoncturelles

Faut-il une réforme sociale-libérale du marché du travail ? Fiche de lecture de : « Le Chômage, fatalité ou nécessité ? » de Pierre Cahuc et André Zylberberg. L’ouvrage que viennent de publier les deux professeurs d’économie de l’Université Paris-I se veut paradoxal. Selon la quatrième page de couverture, « le chômage est nécessaire : il est indispensable à la croissance ». D’une part, le chômage est utile. Il ne faut surtout pas contrarier le processus de création/destruction d’emplois, source

Le chômage atteint 10,2% 6 septembre 2012 à 09:29 5,3% des personnes ayant un emploi sont en situation de sous-emploi, parmi lesquelles 4,9% effectuent un temps partiel subi. (Photo Jeff Pachoud. AFP) Les jeunes sont particulièrement touchés, avec un taux de chômage de 22,7% en métropole. Le taux de chômage en France a continué à augmenter au deuxième trimestre 2012 par rapport au trimestre précédent, atteignant 9,7% de la population active en métropole (+0,1) et 10,2% avec les départements

même de l’entreprise. De même pour le secteur de l’industrie. Ceci veut dire qu’il est préférable de motiver la création d’entreprises dans le secteur de l’administration publique, enseignement, santé, action sociale si on veut combattre le taux de chômage sur le territoire de la Lorraine. 2.2.3. Créations d’entreprises par secteurs d’activité Analysons la proportion des entreprises créées à travers les différents secteurs d’activité en Lorraine. Suite à cela, nous verrons si ce sont les

peu de créations nettes d'emplois, ce qui explique , en partie, un niveau de chômage qui reste élevé. Une forte augmentation des emplois précaires (CDD, Intérim, Stagiaires), même s'il faut rester nuancé sur leur part, plutôt marginale, dans l'emploi total. Par contre, certaines catégories d'actifs (jeunes, peu qualifiés, femmes) sont très exposées à la précarité de l'emploi. Si la flexibilité permet une baisse du chômage, elle n'élimine cependant pas les inégalités. De nos jours, on peut être pauvre

retournement du marché du travail. Le taux de chômage* a augmenté de 0,1 point au troisième trimestre, atteignant 7,3 % de la population active en France métropolitaine, soit 2,03 millions de personnes (7,7 % si l'on inclut les départements d'Outre-Mer, DOM). La décrue du chômage, entamée en 2006, avait marqué le pas au deuxième trimestre avec un taux identique au premier trimestre, à 7,2 %. Les moins de 25 ans sont les plus touchés, avec un taux de chômage de 18,9 % en métropole (+ 0,5 point par rapport

En France avec le choc pétrolier des années 1970 le chômage reste à un niveau élevé jusqu’au milieu des années 2000 – autour de 10 % tandis que des autres pays développés parviennent à revenir à des niveaux plus ou moins proches du plein-emploi. Le risque du chômage concerne inégalement la population. Les catégories les plus durement touchées sont les suivants : les jeunes de moins de 25 ans, les femmes, les personnes âgées de plus de 50 ans. Les secteurs d’activité économique les plus durement