Le Cid Comparaison Le Cid Don Juan

général éventuel (c'est souvent le contexte qui en détermine l'effet) comparaison la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant « Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir », Baudelaire, Les fleurs du Mal Permet de construire une image (ici, la femme devient un objet religieux, l'ostensoir, ce qui la sacralise) métaphore Comparaison implicite (sans outil de comparaison). « Le soleil s'est noyé dans son sang qui se noie », Baudelaire

Ses œuvres: pour Le Cid il s’est inspiré des légendes espagnoles de Don Rodrigo Diaz de Vivar. L’énorme succès du Cid a suscité des jalousies. Les puristes ont accusé Corneille d’avoir plagié la pièce espagnole et surtout de ne pas avoir respecté les règles. La querelle du Cid a marqué la victoire du théâtre classique sur le théâtre baroque. LE DEVOIR DE VENGEANCE pag. 160 Il s’agit d’un dialogue théâtral en vers. Ce dialogue se passe entre 2 personnages: Don Rodrigue et Don Diègue. Le thème principal

août 1834, puis elle sera republiée au côté des grandes nouvelles en1842. Cette nouvelle est une version très rare du mythe de Don Juan, contrairement à la majorité des auteurs ayant écrit sur le personnage de Don Juan, Mérimée se réfère au personnage de don Juan de Maraña. On va commenter l’étude des personnages qu’on a réalisé après la lecture de la nouvelle. DON JUAN D’abord, avant présenter le personnage principal de cette nouvelle, on va parler un peu du sujet d’où vient son nom... Les Âmes

Emplification de l'effet de surprise, l'idée exprimée, l'objet représenté. Ici le personnage de Cyrano tourne en dérission son appendice nasal. Métaphore Comparaison employée sans mot, outil qui rapproche le comparant et le comparé. « Mr Poiret était une espèce de mécanique. » Père Goriot. Assimile le personnage à une machine. Déshumanise → dépréciative Comparaison Elle rapproche deux éléments comportant une caractéristique commune, (le terme comparé et le terme comparant), à l'aide d'un mot comparatif

Don Juan est le fils espéré du comte don Carlos de Maraña qui veut faire de lui un homme brave tandis que sa mère rêve d’un fils pieux. C’est un enfant très gâté et élevé dans le luxe et l’abondance de biens. Dans sa jeunesse, il fut marqué par un tableau de Moralès qui représentait les tourments du purgatoire infligés à des pécheurs ; tableau qui ornait l’oratoire de la comtesse de Maraña, sa mère. A dix huit ans, Don Juan, doué pour la religion et les armes mais beaucoup moins pour le latin, fut

de l'action », met de la vivacité. Fonction particulièrement évidente à la représentation, où le conflit peut se traduire par : des injures, des coups (de baton dans les fourberies de Scapin) ou des disputes par exemple le défi entre Don Diègue et Don Gormas dans Le Cid de Corneille. II. L'importance du conflit pour éclairer la psychologie des personnages, jouer avec les émotions du spectateur et créer le registre de la pièce : 1. Le conflit permet d’en savoir plus sur les personnages et crée

Prosper Mérimée publiée dans la revue des deux mondes le 15 août 1834, puis elle sera republiée au côté des grandes nouvelles en 1842. Cette nouvelle est une version très rare du mythe de Don Juan, contrairement à la majorité des auteurs ayant écrit sur le personnage de Don Juan, Mérimée se réfère au personnage de don Juan de Maraña. L’auteur: Prosper Mérimée est né le 23 septembre 1803 dans une famille d'artistes bourgeois. Il n'est pas baptisé. Son père, Léonor Mérimée est professeur de dessin

élargissement des études des Histoires littéraires (!!). Au début, il n’y avait que la littérature de l’Europe occidentale, c’est pourquoi on a commencé à demander à chercher les différentes influences du monde : Afrique, Asie… Il faut retenir que la comparaison se tient aux frontières des influences et des emprunts. Les échanges des thèmes, des formes d’écriture, etc.… si on prend GOETHE, toute littérature éprouve périodiquement le besoin de se tourner vers l’étranger. On ne peut pas s’enfermer dans sa

destruction…). La gradation est une succession, une énumération de termes ordonnés selon une intensité croissante (crescendo) ou décroissante (decrescendo). Elle est souvent liée à l'EMPHASE, à l'HYPERBOLE Exemple : Va, cours, vole, et nous venge ! (Le Cid) Elle est parfois comique (écart entre langage et situation réelle) Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! (L'Avare) Elle peut être brutalement interrompue par une chute inattendue : Je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé la gorge, on

1637, le public acclame Le Cid, mais certains dramaturges contestent cette tragi-comédie, au nom de la bienséance. Cela occasionnera une « querelle » restée célèbre. Corneille s’est inspiré d’une pièce espagnole qui romance les exploits d’un grand seigneur castillan du Moyen Âge. (p.64) Argument du Cid : Rodrigue et Chimène s’aiment ; cependant don Gomès, le père de Chimène, gifle don Diègue, le père de Rodrigue, qui a obtenu le poste convoité de précepteur du prince. Don Diègue demande à son fils