Le Cid Metaphore

Le Cid, Pierre Corneille La biographie de Pierre Corneille Pierre Corneille est un dramaturge et un poète du XVIIe siècle. 6 juin 1606 à Rouen, au Nord de la France issu d'une famille de bourgeois et est l'aîné d'une famille de 8 enfants, dont 2 morts prématurément. Il fait des études de droit et prête serment comme avocat le 18 juin 1624, à l'âge de 18 ans. C'est en 1629, après des échecs sentimentaux, qu'il commence à écrire. Il s'attaque à la poésie , puis au théâtre. En 1637, un an avant

de... Exemples : Il est malin comme un singe. Il regarde son œuvre tel un père regarde son enfant.La métaphore La métaphore est fondée sur une ressemblance entre les termes. Elle constitue une comparaison implicite puisqu’elle n’utilise pas de terme comparatif. Lorsqu’une métaphore se prolonge sur plusieurs termes, il s’agit d’une métaphore filée. Exemples : « La nature est un temple... » (Baudelaire, Correspondances)

substitution Métaphore n. f. Figure de style qui rapproche un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison). On distingue deux sortes de métaphores : dans la métaphore annoncée, le comparé est présent : (La métaphore annoncée est assez proche de la comparaison ; mais contrairement à ce qu'on trouve dnas une comparaison, l'outil de comparaison («comme») n'est pas exprimé explicitement) Lorsque le comparé est absent et qu'il ne reste plus que le comparant, la métaphore peut

inconciliables dans le même groupe syntaxique. Elle permet de créer un effet de surprise. → « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. » (Pierre CORNEILLE, Le Cid, 1637) • Le chiasme est un prallélisme qui dispose ses termes en AB/BA, c'est-à-dire qu'il inverse les termes employés. → « Vous êtes aujourd'hui ce qu'autrefois je fus. » (Pierre CORNEILLE, Le Cid 1637) 3/ Les figures d'amplification et d'atténuation • L'euphémisme, grâce à une expression adoucie, atténue ou masque une réalité désagréable. →

produire un effet . On distinguera au niveau de la classe de 3ème, Quatre grandes familles : 1.1 Les figures d’analogie et de substitution qui rapprochent deux éléments (comparaison, métaphore, personnification, allégorie, symbole) ou qui désigne un élément sous une autre dénomination (périphrase, métonymie, synecdoque). a/ La comparaison  : elle met en relation un comparé

toujours la prendre dans mes bras ! » (E. Rostand, « Cyrano de Bergerac ».) La gradation est une énumération dont les termes sont ordonnés du plus faible au plus fort ou du plus fort au plus faible.« Va, cours, vole et nous venge ! » (Corneille, « Le Cid ».) L'hyperbole est une exagération excessive.« J'ai dix cœurs, j'ai vingt bras... » (E. Rostand, « Cyrano de Bergerac ».) L'antithèse emploie dans la même phrase, deux mots de sens opposé.Le Canada est le paradis de l'homme d'affaire, c'est

|la métaphore |image sans outil de comparaison – on distingue la métaphore |ex.1, métaphores annoncées : | | | |annoncée (ex.1) où le comparé et le comparant sont présents et la |« Son rire de pluie fraîche » (Julien Gracq) | | | |métaphore directe (ex.2) dans

l’océan comme = outil de comparaison Rapport d’analogie = bleus Ses yeux sont bleus comme l’océan. La métaphore Figure de style qui rapproche un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison). On distingue deux sortes de métaphores. Dans la métaphore annoncée, le comparé est présent : Ex : Son regard est un océan limpide. La métaphore annoncée est assez proche de la comparaison ; mais contrairement à ce qu'on trouve dans une comparaison, l'outil de comparaison

comparé - l'outil de comparaison - le comparant « Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir », Baudelaire, Les fleurs du Mal Permet de construire une image (ici, la femme devient un objet religieux, l'ostensoir, ce qui la sacralise) métaphore Comparaison implicite (sans outil de comparaison). « Le soleil s'est noyé dans son sang qui se noie », Baudelaire, Les Fleurs du Mal Permet souvent des images surprenantes, et l'expression d'un sentiment (ici, le coucher de soleil est un

L'action La mémoire Les opérations rhétoriques: • Adjonction (ex : comparaison) • Suppression (ex : ellipse) • Inversion (ex : figure du chiasme) • Substitution (ex : métaphore) Les grandes figures de rhétorique: • Synecdoque/litote • Hyperbole/ellipse • Antithèse/comparaison • Tautologie/double sens • Métaphore/métonymie Synecdoque : figure de style consistant à prendre la partie pour le tout, le tout pour la partie, le genre pour l'espèce, l'espèce pour le genre, etc. Ex. : acheter