Le Cid Politique

historique et géographique doit imprégner le fond du drame. – – – 1 Texte Le drame qu'on va lire n'a rien qui le recommande à l'attention ou à la bienveillance du public. Il n'a point, pour attirer sur lui l'intérêt des opinions politiques, l'avantage du veto de la censure administrative, ni même, pour lui concilier tout d'abord la sympathie littéraire des hommes de goût, l'honneur d'avoir été officiellement rejeté par un comité de lecture infaillible. Il s'offre donc aux regards

réaffirmer l’ambition esthétique de la nouvelle génération, le romantisme. Il demande aussi, et surtout, la mise en valeur du public, le public vrai, le peuple, car c’est lui qui rend les œuvres immortelles, et que « la poésie ait la même devise que la politique : TOLÉRANCE ET LIBERTÉ » L’action principale se situe en Espagne en 1519 (de février à août). ------------------------------------------------- Acte I : Le roi (Saragosse, une chambre à coucher au palais du duc Don Ruy Gomez de Silva, la nuit)[modifier]

Commentaire composé de français Nicomède est une pièce de théâtre de Pierre Corneille (1606-1684). Poète dramatique français, il est auteur de tragi- et comédies (le Cid, 1637) et de tragédies, dont les héros font passer l'honneur et le devoir avant la passion. Cette comédie (1651) lui vaut quelques déboires politiques car elle est accusée de soutenir Louis II de Condé. Cet extrait, acte II scène 3, nous montre le conflit entre Nicomède et son père, Prusias mais aussi le conflit entre Nicomede

de la pièce de théâtre est étable. Pour en finir avec les types de conflits, un dernier exemple soutenant le fait que le conflit est la chose primaire retenue par l’audience d’une pièce de théâtre est les tensions sociales et politiques. Souvent la loi, la politique et l’état sont preuves de désaccord entre les deux personnages principaux d’une histoire rédigé tel un tableau qui illustre à la fois l’image de l’honneur, du pouvoir et des contraintes. Racine rédige en 1670 Bérénice, pièce dans

l'histoire. Le jeu des acteurs et le texte visent à toucher le spectateur. Le public éprouve du plaisir à s'émouvoir pour des personnages perdus, impuissants. Le spectateur se distrait avec des jeux de passions comme la jalousie et le pouvoir, comme Le «Cid»une pièce de théâtre de Pierre Corneille 3)On rêve de s'identifier a des personnage très différents de nous transition II)Le théâtre dénonce et nous guide moralement En effet le théâtre dénonce les défauts comme dans la pièce de théâtre

sont les attributs de chacun des personnages qui permettent de savoir à quel milieu social ils appartiennent. Les fables ne cherchent pas à ce que le lecteur s’identifie au héros. Mais elles veulent le faire réfléchir sur une situation sociale ou politique qui pose problème. Les figures de la ressemblance : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est

Les émotions du personnage que se doit de susciter l’acteur par le discours et le gestuel ne sont pas assimilées par certains spectateurs du fait de la barrière du temps et du langage. Dans l’exemple de l’' uvre théâtrale Phèdre de Jean Racine ou Le Cid de Pierre Corneille, de nombreuses tirades des personnages ayant pour but de susciter des émotions fortes auprés des spectateurs tel que la pitié et la crainte constituent des éléments essentiels à la compréhension de l’histoire même. On peut également

Hippolyte, son beau fils . C’est un amour violent et coupable empreint de fatalité « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ». Le monologue peut aider le héros tragique à faire le point, à poser son dilemme ,c’est le cas de Don Rodrigue dans Le Cid de Corneille où la question se pose si le héros doit obéir à son père et le venger en tuant le père de sa bien aimée Chimène ou bien doit –il abandonner toute idée de vengeance pour garder sa maîtresse : « Il faut venger un père, et perdre une maîtresse;

l’homme. Pour cela, il prône : * Un monde de paix : les humanistes veulent un monde pacifié qui seul permettra à l’homme de s’accomplir. Ils disent vouloir «  une république des Lettres » qui privilégie les intérêts de l’homme à toute cause politique ou religieuse. * Un monde de culture : l’harmonie entre les hommes ne peut s’effectuer qu’à partir du moment où ils peuvent communiquer et se comprendre (on s’intéresse à l’éducation qui doit développer  « un esprit sain dans un corps sain »)

personnages qui agissent proviennent d’histoires ou de légendes connues. Le genre commença à se modifier mais les règles étaient encore conservées : le public est romanesque et aime les histoires d’amour, le héros doit donc être amoureux. Amour et politique sont des sujets quasi obligés de la tragédie. Par contre, on ne pouvait pas employer, même de manière passagère dans un langage, un autre registre que le langage élevé (noble) : il ne fallait rien de trivial (commun, vulgaire), rien de comique. La