Le Cid Scene Final

Rostand. De plus, Cyrano avait bien une cousine appelée Roxane et mariée à un baron, Christophe de Neuvillette. Le comte de Guiche est aussi un personnage historique, de même que le comédien Montfleury et même Ragueneau, que Molière mettra aussi en scène par la suite. Cependant l’écrivain a su s’éloigner du personnage historique. Ainsi l’idylle amoureuse est une pure invention. On ne peut donc pas parler de copie conforme. Rostand a construit un personnage haut en couleurs, l’a embelli, l’a en quelque

rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie est un drame, c’est-à-dire une action, une imitation (mimésis) de la vie des hommes sur une scène de théâtre. Il y avait les acteurs d’une part et un chœur d’autre part, lequel commentait, par des chants, l’action qui se déroulait sur la scène. Dans sa Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit ainsi la tragédie :
« La tragédie est donc l’imitation d’une action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une certaine

répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe, 1re partie

chatte L’aigle, la laie et la chatte se partagent un arbre, mais la chatte sème la discorde en dénonçant ses voisins l’un à l’autre : l’aigle et la laie se laissent mourir de faim. x Explicite L’ivrogne et sa femme Une femme organise une mise en scène faisant croire à son mari, ivrogne, qu’il est mort. x Explicite La goutte et l’araignée L’Enfer propose à la goutte (maladie) et à l’araignée d’habiter deux maisons différentes : la première chez un pauvre homme ; la seconde dans un palais.

fonction des représentations, il est indicatif de l’intention générale de la mise en scène. Par exemple, dans l’une de ses pièce, Langhoff, metteur en scène allemand, présente un sol problématique avec plusieurs plans, rempli d’obstacles ce qui montre la complexité du monde et celle du jeu des comédiens et la multiplicité des lieux d’application de la pièce ; à son contraire, le parquet ciré que Vitez, metteur en scène influent du théâtre d’après guerre, présenta pour Phèdrefait allusion au monde lisse

salle de répétitions d'une troupe de théâtre amateur... 7 femmes : Charlotte, ELISE, Juliette, Maryse, Mélanie, Emilie et Michèle sont en réunion, donc assises, et en grande discussion. ELISE, la responsable du groupe et, sans doute, sa metteuse en scène, mène les débats. On est manifestement en pleine distribution des rôles pour la prochaine pièce. ELISE : Bien... donc pas de volontaire pour le rôle du pilier de rugby ? (Un temps) Mélanie, non, vraiment, ça ne te branche pas ? On te rembourrerait

consistant à utiliser deux mots dans|« Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » | | |dérivative |une même phrase ayant la même racine |— Corneille, Le Cid | | |[rythmique] l'isocolie |[Stylistique] répétition d'une cadence sur |« Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son

finir. Ex : « troncs, rameaux, feuilles, fibres, touffes, vrilles, sarments, épines, s’étaient mêlés, traversés, mariés, confondus. » V. Hugo ( n.f.) : Figure d’analogie. Représentation sous une forme figurée, concrète (ce peut être une image, une scène ou une personnification), d’idées ou de notions abstraites. Ex : la mort représentée par un squelette portant une faux. Ex : « Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille. » (Charles Baudelaire, « Recueillement ») ( n.f.)  : Rupture de

depuis un certain temps (voir v. 61) sans autre précision et n’a produit jusqu’ici que de « légers combats » (v. 69). L’action plonge dans un passé plus ou moins lointain et, comme c’est souvent le cas dans une tragédie, ne débute pas avec la première scène. En revanche est soulignée à plusieurs reprises l’importance du jour qui commence : « Mais aujourd’hui qu’il faut que l’une ou l’autre tombe/Qu’Albe devienne esclave, ou que Rome succombe… » (v. 79-80) (Voir aussi les vers 107, 108, 210). C’est le

rationalité. Romantiques reprennent traditions. de Nerval = celui qui s’intéresse le plus au rêve (fournit explications plus précises que celles fournies par rationalité). Film : BATAILLE NERNANI (1830) → tragédie V. Hugo 1 bataille avant : Le Cid (classiques/baroques) Hernani (classiques/romantiques 3ème bataille (1896) HERNANI Espagne au 16ème (intronisation roi Don Carlos qui devient Empereur Charles Quint, roi tyrannique devient bon empereur) père = roi Jean d’Aragon : exclusion