Le ciel lui tombe sur la tête

Hamlet HORATIO. − Soit ! asseyons−nous, et écoutons ce que Bernardo va nous dire. BERNARDO. − C'était justement la nuit dernière, alors que cette étoile, là−bas, qui va du pôle vers l'ouest, avait terminé son cours pour illuminer cette partie du ciel où elle flamboie maintenant. Marcellus et moi, la cloche sonnait alors une heure... MARCELLUS. − Paix, interromps−toi !... Regarde ! Le voici qui revient. le spectre entre. BERNARDO. − Avec la même forme, semblable au roi qui est mort. MARCELLUS. −

Epreuve d’Histoire de l’Art, brevet des collèges. Le cri, (The scream), Edvard Munch A propos de son œuvre, Edvard Munch écrit : « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers

indifférent. Il parle d'un parcours, qui, au premier coup d’œil, paraît être de simple retrouvailles. Mais c'est seulement à la fin du poème que l'on comprend que cette escale l'a enfaîte mené ,certes vers un être cher, mais plus précisément sur la tombe de cette personne perdue. Je pense que l'émotion suscitée par le poème suscite l'attention du lecteur. « Elle était pâle et pourtant rose » : Ce poème est cette fois bien plus joyeux. C'est l'évocation d'un souvenir, sûrement de sa fille, mais, par

homme qui possède les plus grandes connaissances artistiques, Soséki. Yuko part à la recherche des couleurs de la neige, élé- ment qui le fascine et à partir duquel il compose tous ses haïkus. En traversant les montagnes, il fait une découverte. Il tombe éperdument amoureux du corps d'une jeune fille européenne, à la beauté diaphane, prisonnière des glaces depuis longtemps. Sa rencontre avec Soséki, ancien samouraï, vieux peintre aujour- d'hui aveugle, va le guider dans sa quête. Mais le savoir suprême

une boucle qui tienne ; Voilà longtemps que j’ai pour unique destin De m’endormir fort tard pour m’éveiller matin, De recevoir des coups pour vous et pour les vôtres. Je suis très-fatigué. Donnez Narbonne à d’autres. » Le roi laissa tomber sa tête sur son sein. Chacun songeait, poussant du coude son voisin. Pourtant Charle, appelant Richer de Normandie : « Vous êtes grand seigneur et de race hardie, Duc ; ne voudrez-vous pas prendre Narbonne un peu ? — Empereur, je suis duc par la grâce

sur l’eau égratignée comme les pattes d’un scarabée gigantesque. Cette cange était étroite, de forme allongée, relevée par les deux bouts en forme de corne de lune naissante, svelte de proportions et merveilleusement taillée pour la marche ; une tête de bélier surmontée d’une boule d’or armait la pointe de la proue, et montrait que l’embarcation appartenait à une personne de race royale. Au milieu de la barque s’élevait une cabine à toit plat, une espèce de naos ou tente d’honneur, coloriée

deux nuits. HORATIO - Soit! asseyons-nous, et écoutons ce que Bernardo va nous dire. BERNARDO - C'était justement la nuit dernière, alors que cette étoile, là-bas, qui va du pôle vers l'ouest, avait terminé son cours pour illuminer cette partie du ciel où elle flamboie maintenant. Marcellus et moi, la cloche sonnait alors une heure... MARCELLUS - Paix, interromps-toi!... Regarde! Le voici qui revient. (le spectre entre) BERNARDO - Avec la même forme, semblable au roi qui est mort. MARCELLUS - Tu

espace, le contraste des mœurs sociales et des mœurs sauvages. Vers l'orient, au fond de la perspective, le soleil commençait à paraître entre les sommets brisés des Apalaches, qui se dessinaient comme des caractères d'azur dans les hauteurs dorées du ciel; à l'occident, le Meschacebé roulait ses ondes dans un silence magnifique, et formait la bordure du tableau avec une inconcevable grandeur. Le jeune homme et le missionnaire admirèrent quelque temps cette belle scène, en plaignant le Sachem qui

possède une partie dédiée au Spleen et a l'Idéal. Spleen et Idéal est la première partie des Fleurs du Mal, la plus longue où Baudelaire va à la découverte de sa dualité, cause de son mal : Dualité de l’expérience de l’artiste placé entre le ciel qui l’attire et le sol qui le retient. Dualité de l’amour charnel et mystique, . Dualité de l’expérience de la solitude : Emporté par l’Idéal ou accablé par le Spleen, le poète découvre la fêlure de son âme, sa blessure secrète. L'auteur

mystérieux du monde occidental. Chaque soir, espérant des lendemains épiques, L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques Enchantait leur sommeil d'un mirage doré; Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles, Ils regardaient monter en un ciel ignoré Du fond de l'Ocean des étoiles nouvelles. BRISE MARINE DE STEPHANE MALLARME La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !