Le Cobaye

Pourquoi alors le choix des deux scientifiques porte sur ce dernier pour la première expérience sur les humains ? Charlie est un attardé mental avec un score de QI de 70. Il a des difficultés à se faire comprendre et se faire des autres. Il est donc le cobaye parfait pour cette tentative d’augmentation des facultés intellectuelles d’un être humain de façon artificielle. D’ailleurs, on peut se rendre compte du niveau d’intelligence de Charlie dans les premiers chapitres du roman. En effet, dans les premières

l'enregistrement qui décrit la machine vante des fonction inutiles (comme l’aérodynamisme) et insiste sur le gain de temps. Après à lieu la démonstration. Lorsque le directeur arrive, des trompettes retentissent, elles l'annonce tel un héros. Charlot est le cobaye et les inventeurs se soucient plus de leur machine que de Charlot, ainsi Charlot est comme frapper par la machine, de plus, il est enfermé et ne peut rien faire. Malheureusement pour lui les choses ne font qu'empirer, la machine est incontrôlable

→ Il se rend compte à sa grande surprise, que peu des cobayes ont des scrupules quant à électrocuter en cas d’erreur, et suivent les règles établies. MILGRAM va trouver une théorie dans la cybernétique : études des automates selon laquelle ils fonctionnent bien en équilibre et mal en déséquilibre, et ont donc le besoin de rétablir l’équilibre par un système régulateur extérieur à l’équilibre des automatismes, de la dynamique. → Les cobayes préfèrent obéir à l’autorité scientifique de MILGRAM plutôt

à la lumière des grandes théories que sont l’évolution de l’espèce humaine mais aussi dans une moindre mesure les expérimentations animales. Le chapitre IX de la première partie du livre décrit la battue orchestrée par les singes pour trouver des cobayes humains à des fins scientifiques. En 1859, Charles Darwin le fondateur de la théorie de l’évolution, explique dans son ouvrage « l’origine des espèces » le mécanisme de la sélection naturelle et la survie de cette dernière. Le roman de Pierre Boulle

RECHERCHE EVALUATION L'ACTIVITE ET DE BIOLOGIAUE DES SUBSTANCES VEGETALES A VIS DU S.N.C., IN VIVO. CHEZLA VIS qOU,l/S ET VtS A VtS DES RECEPTEURS CHOLTNERGTAUES, UiSr,qATNenGrcUESET oPIoIDEs, IN VITR1. AI] NIVEAU D;U DUODENUM RAT ET DE L'ILEON COBAYE. DE DE Soutenue Le 14 janvier1992 par RACHID SOULIMANI JURY tû..J.M. PELT [f,..B. KRAFFT lf. F. MORTIER U:iJ. FLEURENTIN ffi n. MISSLIN ff .t. CRQS *' fllte D. Bhfi t lffifr|ffiilil|]ilffiffiffiffiffiff Nce iAnoevar ffi""u'' BrBLrorHEo

envers l'ennemi pour combattre > Propagande, manipulation, bourrage de crâne. Toutes les vérités ne sont pas dites ou sont transformés.et > Lancement des bombes Hiroshima et Nagasaki afin de voir l'effet de la bombe nucléaire sur l'homme, donc cobaye c) Les femmes manipulées et non respectées > Les femmes ont subi beaucoup d'atrocités : - Enlèvement, violence, harcèlement et viol des femmes par les Japonais "Femmes de réconfort" lors de la 2nde g mondiale (env. 20 000 à 200 000) -

déportés participent à la sélection : mes plus faibles envoyés dans les chambres à gaz (fausses douches) utilisées pour tuer massivement et rapidement. Les corps sont ensuite brulés dans des fours crématoires. Les valides travaillent ou servent de cobaye lors d’expérience. A la fin de la guerre les SS tentent d’effacer les traces de leurs crimes (dynamitage des chambres à gaz, exécution des juifs chargés de bruler les cadavres). IV. La victoire des Alliés a. Le tournant de 1942 De juin

Prévert énumère toutes les nationalités étrangères présentes à Paris : « Kabyles » (algériens) ; « Tunisiens » ; Polonais ; Espagnols ; Sénégalais ; …. Il utilise des périphrases pour les désigner : « hommes des pays loin » ; « cobayes des colonies », sachant que cobaye a une connotation péjorative les associant à des animaux que l’on manipule. L’emploi du mot colonie rappelle le passé peu glorieux de la colonisation. L’énumération des étrangers est en gradation : « Boumians » et « Polacks » appartiennent

mieux servir la dénonciation, au centre du texte. qui devient un CHANT de la DENONCIATION. Des hommes-objets. Le poète dénonce l’abus de pouvoir exercé sur ces hommes, et qui les rend totalement passifs : Ce sont des « cobayes », réduits à fournir les travaux les plus ingrats : « brûleurs des grandes ordures de la ville de Paris », « ébouillanteurs des bêtes trouvées mortes sur pied au beau milieu des rues » : ici, il semblerait que le poète use de la périphrase pour ne

scientifique, dans cet extrait Zola montre l’addiction, la frénésie de l’achat des clientes esclaves de leur désir. On peut comparer ce sentiment de possession à une maladie psychologique étudiée par Zola. Dans ce texte les clientes deviennent les cobayes de Zola, il analyse la façon de réaction des clientes. Il sème des problèmes pour faire de l’expérimentation, « malgré sa rancune jalouse, elle achetait… », Ici Zola met Mme Desforges à l’épreuve, il rajoute une complication en travers de sa route