Le Coeur Du Pitre De Rimbaud

[pic] Arthur Rimbaud 1854 - 1891 BIOGRAPHIE (1854 – 1891) Rimbaud, né à Charleville le 20 octobre 1854, connaît une enfance difficile : ses parents se séparent en 1861 et sa mère lui donne une éducation très stricte. L'année suivante, Arthur entre à l'institution Rossat de Charleville et s'y fait remarquer par ses prix d'excellence. En 1865, il entre au collège de la ville, réputé pour son enseignement religieux. Il saute la sixième et se passionne pour le latin. En 1868,

instance réceptrice, et ne devient plus que le lieu d’une sensation : « je les écoutais », « je sentais ». L’idée de révolte est suggérée par la présence de ses « poings dans [s]es poches crevées » et par la référence implicite à la fugue même si Rimbaud refuse l’aspect biographique et ne fait par de référence directe à ses propres fugues. B. Un dépouillement volontaire La progression du poète s’accompagne d’une disparition, presque d’une dissolution de ses vêtements : « poches crevées », « Mon

dédie ce poème à sa fille Léopoldine. Il veut représenter dans son poème la relation entre un père et sa fille, une relation de type très affectif. Le père est un "cœur": Il pardonne voire le dominé il est accessible, il est le "petit père", il n'est pas le Dieu tout puissant et inaccessible. Ici, le père est le cerveau, le savoir, le cœur de la famille. C'est un passé lumineux éclairé par Léopoldine, jeune fille qui apparait ici comme un ange, et qui s'oppose au présent qui n'offre aucun futur au

joue ! Mon désir gonflé d'espérance  Je suis les membres et la roue,  Sur tes pleurs salés nagera Et la victime et le bourreau ! Comme un vaisseau qui prend le large, Je suis de mon cœur le vampire,  Et dans mon cœur qu'ils soûleront  Un de ces grands abandonnés  Tes chers sanglots retentiront  Au rire éternel condamnés,  Comme un tambour qui bat la charge ! Et qui ne peuvent plus sourire ! Ne

1854 Année de naissance de Jean-Nicolas Arthur RIMBAUD à Charleville (le 20 Octobre). Sa mère, Vitalie Cuif vie seule, son mari et père d'Arthur est Capitaine d'infanterie et ne rentre que peu, jusqu'à abandonner sa femme après lui avoir donné plusieurs enfants : Frédéric (1853), Arthur (1854), Vitalie (1858), Isabelle (1860) ainsi qu'une fille née en 1857 mais qui n'a pas survécu longtemps. 1862 En octobre, Arthur entre à l'institut ROSSAT, une institution réservée aux bourgeois de

personnification aux vers 5 et 6 : Quelquefois un peu de verdure Rit sous les glaçons de nos champs « Feuilles volantes » Le ciel se fait lourd quand râlent les pupitres Annonçant dans la cour un vide insoutenable Et le cœur enchaîné, sous la coiffe du pitre, S’entrechoque aux paroles de maîtres de sérénades. Les rêveries s’élèvent et frôlent l’amertume Des sombres feuilles folles qui tanguent en narguant Les évadés punis, aux mains griffées de plumes Dont leur omniprésence n’en

dans le monde de l’usine. Il insiste sur le fait que ce sont les enfants et non les adultes qui donnent la joie de vivre au monde.Le contexte de la guerre fera éclore un élan de résistance au sein des poètes, notamment avec Desnos. Celui-ci, dans « Ce cœur qui haïssait la guerre », est tiraillé

que dirige le poète symboliste Jean Royère. Ce dernier les publie et met Breton en relation avec Paul Valéry. À la déclaration de guerre, le 3 août, il est avec ses parents à Lorient (Morbihan). Il a pour seul livre un recueil de poèmes d'Arthur Rimbaud qu'il connait mal. Jugeant sa poésie si "accordée aux circonstances", il reproche à son ami Fraenkel sa tiédeur devant "une œuvre aussi considérable". Pour sa part, il proclame "l'infériorité artistique profonde de l'œuvre réaliste sur l'autre."[3]

Objectifs: le sonnet, cours, la poésie engagée, Rimbaud, histoire  littéraire suite Support, « Le Dormeur du val », Rimbaud 1/ cours :Le sonnet, origine, histoire Sonnet :     Originaire   d'Italie   (XIIIe siècle),   où   Pétrarque  l'illustra   (1470),   le   sonnet   gagna   au   XVIe siècle   la   France  (Mellin   de   Saint­Gelais,   Clément   Marot),   où   la   Pléiade   le   tint  très en honneur, puis le Portugal et l'Espagne. Les vers étaient  alors   répartis   en   deux   quatrains  

sur Lyon pour le 15 juillet. Yann est aux commandes depuis le matin. Et tout à coup sort Nicolas, un de ses amis et comédien des rues.Je suis fascinée. Il est pitre et facétieux. Je leur parle de mon amour pour le théâtre. Pique-nique et repas chez les éclusiers où Nicolas a fait un spectacle et a récoté le bateau ivre de Rimbaud. J'avais la gorge nouée. J'avais l'impression d'être revenue à l'époque de la jeunesse de mes parents, avec des fêtes au son de l'accordéon. Nicolas, hier, sous l'orage