Le Cogito Cartesien

universelle. Mais expérience individuelle car c’est moi qui pense, sent… Le projet cartésien ou la découverte du sujet : René Descartes : français, XVIIe, a étudié philosophie sciences, grecque > école jésuite donc croyant. Véritable connaissance de soi = douter de tout pour voir la seule chose qui résiste au doute. Texte : Extrait de Méditations métaphysiques : En quoi consiste ce projet cartésien ? - Rechercher une certitude absolue, à savoir « quelque chose de constant et de ferme

pense pour être. C’est une « substance pensante », une chose qui pense, c'est-à-dire qui est consciente, consciente d’elle-même. C’est à travers ces méditations que nous découvrons que le cogito est une substance consciente, et que sa raison est son propre fondement. Ce qui caractérise en soi le « cogito cartésien » est un principe universel impliquant que l’Homme maitrise totalement sa raison, et donc sa sincérité qui suit. Enfin, ce qui peut nous inviter à penser que la connaissance de soi peut

seconde méditation Contexte de la deuxième méditation : Après avoir usé méthodologiquement de l’arme sceptique (le doute hyperbolique), Descartes est certain d’avoir un fondement assuré pour reconstruire le savoir : le cogito (certitude ontologique de l’existence corrélative au doute comme mode de pensée, « je pense, je suis »). Cherchant désormais à construire à partir de ce principe - ou plutôt à déduire - tout le savoir, il commence par son corps. Celui-ci

absolue, qui sera sa conclusion: 4) "Je pense donc je suis" (Cogito ergo sum). C'est ce qu'on appelle le COGITO cartésien. Retenez bien les deux évidences sur lesquelles il débouche: 1) Le fait même que je doute m'assure de mon existence 2) Je suis un être pensant : par là est donc affirmé le primat de la pensée sur tout objet connu (en particulier par mes sens). 16/ Expliquez les jalons fondamentaux de la méthode cartésienne Le refus de l'évidence sensible et le doute hyperbolique :

comment si cet inconscient existe et me dirige au moins en partie puis je être responsable de mes actes ? » L’inconscient dans la philosophie classique et moderne C’est Leibniz le premier qui a démontré l’insuffisance de la conception cartésienne de la conscience (cogito). Pour Descartes, conscience et pensé étaient intrinsèquement liés. La conscience étant la volonté réfléchie, la faculté mentale d’appréhender de façon subjective des phénomènes externes ou internes (à ne pas confondre avec la conscience

Savoir, 5ème livre, § 354. L'homme selon Descartes domine et pense le monde qui l'entoure. C'est la certitude de sa propre conscience qui lui permet d'établir cette hypothèse. L'être humain pour lui est indissociable de la conscience d'où son « cogito ergo sum ». Par contre il ne nous indique pas d'où vient cette conscience. Dans son texte, Nietzsche s'interroge sur la conscience, est-elle naturelle et présente chez l'homme? Il procède à une analyse critique de toute philosophie sur ce sujet

méthode » : Méthode Phrase emblématique : « Je pense donc je suis. » Aussi appelé le Cogito Cartésien. Développement de sa pensée : « Si je doute c’est que je pense, si je pense c’est que je suis » 1è vérité indubitable (dont on ne peut pas douter) Quête de la vérité, essaye de trouver ce qui est juste, pour l’homme comme pour la science Va tout mettre en doute pour voir les choses dont ne peut plus douter (doute cartésien) 3) Pascal (1623 – 1662) Œuvre à connaître : « Pensées » : Philosophie/Sciences

savoir. Dualisme cartésien : cogito (esprit) : substance pensante corps : substance sensible. Descartes ds le Discours de la méthode : doute cartésien → attaque tt ses opinions ( sceptiscisme) : – méthodique : s’attaque d’abord aux sens puis à la raison. – radical : s’attaque aux racines (opinions reçues ds l’enfance). ⇒ recherche d’une base solide. – volontaire : ce n’est pas un souci existentiel. – hyperbolique : rejette comme faux tt ce qui est douteux. Descartes : «Cogito ergo sum.» : peut-être

réalise, produit cette relation? - la conception du cogito selon Descartes fait problème en qu'elle isole la conscience dans son essence de chose pensante. Considérée comme une substance, c'est à dire une entité existant par elle même hormis le concours de Dieu, elle semble tout entière présente à soi. Dès lors, la prise de conscience commence par la revue progressive de son propre fond inné. - S'inscrivant certes dans la postérité cartésienne, la démarche de Husserl déréalise toutefois la conscience

1. Dans ce texte, Descartes dit qu’il désire «vaquer seulement à la recherche de la vérité». Dites dans vos propres mots ce qu’il entreprend pour y parvenir. René Descartes utilise sa propre méthode soit la méthode cartésienne qui définit quatre règles devant mener à une certitude absolue, en d’autres mots, à la vérité. La première règle est celle de l’évidence : la raison doit accepter aucune chose pour acquis ou vraie et se mettre à douter de tout, sauf si elle se présente comme étant claire