Le Cogito Ergo Sum

conscience d’objet, que l’homme partage avec les autres animaux, et la conscience de soi, conscience propre à l’homme. En effet, l’homme est conscient d’être conscient. Descartes en fait d’ailleurs l’archétype et le prototype de toute certitude « COGITO ERGO SUM ». - On parle de conscience morale pour désigner la capacité des êtres humains à juger ses propres actes ainsi que celles des autres. Étymologie : - Du latin « CUM + SCIENTIA » : Savoir avec. Il s’en dégage une idée d’accompagnement

la division du travail. Parlons maintenant, de l’individualisme qui est donc un autre exemple prépondérant dans la société. Quand Descartes pose son cogito ergo sum, il indique bien, par rapport à ce qu'était la pensée collective du Moyen-âge, qu'il n'y a de pensée qu'individuelle. D'ailleurs la formule latine dans son entier est plus intéressante : « cogito ergo sum in arcem meum », « je pense donc je suis, dans la forteresse de mon esprit ». La contrainte de la communauté est de penser constamment comme

Mais qui est donc René Descartes, l'homme au Cogito ergo sum, dont le nom est devenu synonyme de rigueur mathématique. Etre cartésien, nous dit le Petit Larousse, c'est être méthodique et rationnel. René Descartes est né le 31 mars 1596 dans un petit village de Tourraine, d'une famille de moyenne bourgeoisie (son père est conseiller au Parlement de Bretagne). Il ne connaitra jamais sa mère, décédée des suites de son accouchement. Lui-même sera handicapé toute sa vie par une santé fragile. A l'age

règles) pour éviter l'erreur, et y développe une philosophie du doute, visant à reconstruire le savoir sur des fondements certains, en s'inspirant de la certitude exemplaire des mathématiques – la célèbre phrase « je pense donc je suis » ( cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donnera une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques

faire un examen très précis, très minutieux, vérifie que ces éléments soit indubitables (=incontestables, dt on ne peut pas douter). Veut avoir des certitudes sur ses connais. « Je suis une substance pensante » → si je pense c que j’existe, « cogito ergo sum » « Je pense dc je suis » car le rien ne peut pas réfléchir dc il existe car il pense. « Bien conduire sa raison », il va contredire sa thèse, donner contre-argument qu’on pourrait lui dire qu’il appelle l’argument du « mauvais génie » → on suppose

d’Urfé : l’Astrée Charles Perrault : Contes Fénelon : les aventures de Télémaque Boileau : art poétique. Malherbe Saint Amant la Bruyère : les Caractères la fontaine : fables la Rochefoucauld : Maximes Descartes : discours de la Méthode « Cogito ergo sum » = je pense donc je suis Pascal : les pensées XVIIIe siècle dit le siècle de lumières (contre l’obscurantisme) Philosophes Théâtre Roman L’encyclopédie : Condorcet, d’Alembert, Diderst Diderot : Jacques le fataliste, le neveu de rameau

que nous croyons être, et l’image que nous renvoyons à autrui n’est elle pas fausse ? Peut être que la conscience de soi nous éloigne de ce que l’on est réellement.           J’ai conscience que j’existe, et conformément au cogito Cartésien « Cogito ergo sum », je ne peux douter de cela. Exister en tant qu’homme entraine donc que je pense, que j’agisse, que je réfléchisse, et personne ne peut le faire à ma place et être plus proche de moi que je ne le suis. De ce point de vue il paraît évident

consiste en la pensée, en la saisie de nous-mêmes, en cette conscience qui fait notre puissance, mais qui est inséparable de la saisie de notre néant et de notre faiblesse. C] Unité de la conscience : Qu’est essentiellement la conscience ? Le cogito est d’abord fondamentalement unité et effort de synthèse. Le courant psychique est mobile, changeant mais la conscience demeure, en tant qu’unité. Nos états psychologiques si multiples, si variés, soient-ils, se fondent dans l’unité de la conscience

et d’unifier toutes mes représentations. En effet, de mon corps, des autres corps, du monde je peux toujours douter, mais je ne peux, en aucune façon, douter de moi en train de douter de mon corps, des autres corps et du monde. « Dubito ergo cogito, cogito ergo sum » : je doute donc je pense, je pense donc je suis. Comprenons par là que je ne peux douter qu’en ce moment je suis en train de douter. Douter est un bien un mode parmi d’autres de la pensée (« tout ce qui apparaît en moi de telle sorte

Problématique I : le Sujet La Conscience : Socrate : la seule chose que je sais, c’est que je ne sais pas Husserl : Tte conscience est conscience de quelque chose Freud : « Etre normal »= aimer et travailler Descartes : Je pense donc je suis= Cogito Ergo Sum (latin) L’inconscient : Spinoza : La liberté est la connaissance de la nécessité Hegel : du fait que la nécessité est connue, elle n’est plus la nécessité Platon : a constat que l’âme (l’esprit) ne sait pas tjr ce qu’elle sait, qu’elle