Le Cogito Pratique Hegel

[Paralogismes] → toutes choses peut être remises en question « Je pense donc je suis » Cogito ergo sum → La certitude que le sujet a de sa propre existance se fonde sur la csce qu'il a de penser. Syllogisme → Raisonnement de 3 propositions 1ère prop: (majeure) Tous les hommes / sont mortels 2ème prop: (mineure) Socrate / est un homme 3ème prop: (conclusion) Socrate /est mortel → déduction logique -/> intuition Cogito ergo sum → cette évidence est telle que rien ni personne ne peut la remettre

(lapsus, rêves) · Suis-je aux yeux des autres ce que j’ai conscience d’être ? · Recherche de soi · Freud, la psychanalyse · Descartes (cogito) « je pense donc je suis » - (cogito ergo sum) · Est-il possible de définir le « je », le « moi » · Le « je » est-il identique à la conscience de soi ? · Différence entre notre identité et notre

|double division : en-soi/pour-soi, et | | | | |théorie/pratique. | | |Résumé et plan |Définir les concepts |Expliquer les arguments |Intérêt philosophique

dimension réflexive du cogito théorique. II- HEGEL (1770 - 1831) : Mais l'homme ne se limite pas à la seule activité pensante car il est confronté au réel qui exige de lui l'action. Voilà pourquoi, comme l'a compris Hegel, le cogito théorique se double d'un cogito pratique par lequel l'homme construit un monde à visage humain, c'est à dire un monde selon l'homme. L'histoire n'est pas autre chose que cela. Hegel écrit que : "L'homme se constitue pour soi, pour son activité pratique parce qu'il est

(Kant, Anthropologie d'un point de vue pragmatique, §74(la passion comme maladie de l'âme) - sentiments= (Kant) : “On appelle la capacité d’avoir du plaisir ou de la peine en raison d’une représentation sentiment” (Métaphysique des Moeurs) = (Hegel) : “Le sentiment est l’affection simple, et cependant déterminée, du sujet singulier, en qui ne se trouve encore posée aucune différence entre lui et son contenu” (Propédeutique Philosophique) REM : Amour passionnel ( pathologique= maladie   =/=

sait que l'on existe : voici la base de la connaissance philosophique sur la conscience. Ici, l'exigence de la conscience, c'est à dire de savoir qu'on existe, est de penser, ce qui est propre à l'Homme. Descartes nous montre, d'après sa citation "Cogito ergo sum" qui signifie "Je pense donc je suis", qu'à partir du moment où je pense, j'existe. Il explique également que « La conscience est l'essence de la pensée », et réciproquement. D'après lui, si on échappe à cette exigence qui est de penser

consiste en la pensée, en la saisie de nous-mêmes, en cette conscience qui fait notre puissance, mais qui est inséparable de la saisie de notre néant et de notre faiblesse. C] Unité de la conscience : Qu’est essentiellement la conscience ? Le cogito est d’abord fondamentalement unité et effort de synthèse. Le courant psychique est mobile, changeant mais la conscience demeure, en tant qu’unité. Nos états psychologiques si multiples, si variés, soient-ils, se fondent dans l’unité de la conscience

pas l'un sans l'autre. On peut donc en déduire que la conscience subjective est consubstantielle à la liberté. 2. La fondation cartésienne de la subjectivité Descartes, Méditation Métaphysique (1641) Correspondant au cogito (« cogito ergo sum » : « je pense donc je suis »). Pour en arriver là, Descartes a entreprit, dans la première Méditation, de remettre en question toutes ses opinions car c'est pour lui la véritable méthode pour dégager une vérité absolument certaine

La conscience Introduction 2 I. Approches épistémologiques 2 A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts

AUTRUI INTRODUCTION Autrui s’impose à nous dans notre vie la plus quotidienne, que ce soit sur le plan affectif, pratique, moral ou intellectuel. A tel point que le mot solitude se définit par autrui, et non l’inverse (comme l’erreur se définit à partir de la vérité, et le néant par l’être.) A considérer la solitude, nous pouvons constater qu’il en existe deux sortes : - La solitude physique : qui se caractérise par l’absence physique de l’autre, mais qui en général est présent