Le Comique Madame Bovary

individus, la vie urbaine ou provinciale et les misères et ascensions sociales. En France, on peut distinguer des œuvres réalistes telles que : Le Rouge et le Noir (1830) de Stendhal, Le Père Goriot (1834) et La Cousine Bette (1846) de Balzac, Madame Bovary (1857) et L’Education Sentimentale (1869) de Flaubert, Germinie Lacerteux (1865) de E. et J. de Goncourt En Russie, Anton Tchekhov est auteur des pièces de théâtre et de nouvelles réalistes. En Angleterre, George Eliot écrit Adam Bede (1859)

L'adaptation consiste en la réécriture d"un œuvre littéraire dans un autre domaine artistique. Elle suppose de garder tout ce que l'on peut de l'œuvre d'origine, tout en tenant compte des contraintes de la nouvelle forme choisie. Exemple : Madame Bovary de Flaubert a été adaptée de nombreuses fois au cinéma (dont une version par Claude Chabrol), en bande dessinée, en roman-photo (!!) ... 4°) Le détournement d'un texte Le pastiche consiste à reproduire, le plus fidèlement possible, le style

l’excès, de l’ornementation, du pathétique, elle marque l’art européen des XVIe et XVIIe siècles. Dans la littérature française, elle produit des œuvres riches en images et en effets saisissants (d’Aubigné, Les Tragiques, 1616 ; Corneille, L’illusion comique, 1636). C. L’âge classique (1650-1700) Opposé à la sensibilité baroque, le classicisme érige en valeurs la simplicité, l’équilibre, le respect des règles imitées de l’Antiquité. La tragédie (Corneille, Racine) se fixe des règles qui viennent

le poète de son temps le successeur d’Orphée, capable de révéler les mystères du monde. CORNEILLE (1606-1684) Originaire de Rouen e se destinant d’abord au métier d’avocat, Corneille se fait connaitre d’abord par des comédies : L’illusion comique, la place royale, le menteur. Il se consacre ensuite à des tragi-comédies, dont la plus célèbre, le cid, avant d’aborder la tragédie. Il écrit Horace, Cinna, Polyeucte, pièces dont certaines le mettent en compétition avec Racine. Théoricien de la

Brunehaut. Il rédige le numéro 2 d’Art et Progrès, Les Soirées d’étude, journal littéraire, rédacteur G. Flaubert. Flaubert a été en voyage à Caudebec avec Eustache-Hyacinthe Langlois et Alexandre Bourlet de la Vallée. Il voit beaucoup de spectacles : comique, opéra, vaudeville, et lit Jeanne de Flandre de Victor Herbin, ainsi qu’Antony d’Alexandre Dumas. Il commence à rédiger Frédégonde et Brunehaut : « Tu sais que j’ai en tête Frédégonde et Brunehaut, que je m’en occupe (mentalement) depuis environ trois

d’après Guy de Maupassant Mise en scène et réalisation : Michel Favart, 1972 Durée totale : 1 h 30 min DISTRIBUTION – Blanchette BRUNOY : madame Roland – Pierre DORIS : monsieur Roland – François MARTHOURET : Pierre – Jean-Pierre DUPERRAY : Jean – Henri VIRLOJEUX : Marowsko – Alexandre RIGNAULT : le capitaine Beausire – Marianne VERCRUYSSEN : madame Rosémilly – Fernand GUIOT : Maître Canu – Liliane SORVAL : Alphonsine – Sylvie HERBERT : la concierge – Nicole DUBOIS : Joséphine DISCIPLINES

l'absurde" en mettant en scène des personnages loufoques aux dialogues décousus, dans une histoire dont la logique est absente. Cette "anti-pièce" est plutôt mal accueillie par le public qui a du mal, dans un premier temps, à en saisir la dimension comique. Il publie ensuite d'autres pièces absurdes ainsi que des oeuvres plus politiques comme Rhinocéros, en 1958. Sous des dehors décousus, les oeuvres de Ionesco cachent une réflexion plus profonde sur le langage, le péché et la mort. Dans ses dernières

avant-propos de La Comédie humaine (Balzac, 1842) - Le réalisme (Champfleury, 1857) - Etude sur le roman (Maupassant, 1888) Ecrivains et uvres : - Balzac, La Comédie humaine (1842 1848) - Stendhal, Le rouge et le noir (1830) - Flaubert, Madame Bovary (1857) - Maupassant, Une vie (1883) Le naturalisme Epoque : Seconde moitié du XIXème siècle Principes : S’appuyant sur les découvertes de la science, les écrivains naturalistes transposent dans le roman les lois de l’hérédité et du milieu

ivrogne, son refus du petit verre d’alcool que lui offre Madame Lefrançois nous montre qu’il ne l’est pas : « Voulez-vous prendre quelque chose ? Un doigt de cassis, un verre de vin ? L’ecclésiastique refusa fort civilement ». (3) Flaubert, d’ailleurs, souligne dans sa correspondance que Bournisien « est très chaste et (qu’) il pratique tous ses devoirs » (4). C’est donc un honnête homme, un bon curé qui s’indigne lorsque, comme M. Bovary père, on se moque de la religion en parodiant le sacrement

classique : « Ce sont des conversations sous un lustre ». c l’unité de ton Tristesse majestueuse de la tragédie. Cothurnes = chaussures très élevées qui donnent une majesté aux acteurs et les empêchent de marcher trop vite. Dignité : le comique est bannit. Le Cid est une tragi-comédie, car la fin est heureuse. 3 le drame romantique contre Aristote et contre les classiques En 1827 dans la préface de Cromwell, Hugo donne les règles du drame romantique, qui est un avatar de la tragédie